Internationale ouvrière

Peut-on parler d’une disparition de la classe ouvrière ? Introduction : La notion de classe sociale désigne, dans son sens le plus large, un groupe social ayant les mêmes statuts économiques, sociaux ou politiques, les mêmes droits et devoirs, les mêmes espérances. Ici, le groupe social qui nous intéresse est la classe ouvrière qui semble être un monde à part. Cette classe se caractérise par la position commune dans le processus de production mais aussi par un mode de vie uniforme et cette conscience

* la classe ouvrière * les paysans B- théorie de Karl Marx et Max Webber 1- Selon Karl Marx L’origine des classes sociales est due à l’organisation de la production (sous-entendu : l’organisation de la production du système capitaliste). Cela définit aussi la place occupée par chaque classe dans le processus de production. * la bourgeoisie : propriétaire des moyens de production (capitalistes). * le prolétariat : possède sa force de travail (classe ouvrière). Les ouvriers

Le changement social est donc endogène càd qu’il est le résultat des acteurs sociaux. « La lutte des classes est le moteur de l’histoire ». →conflit de classes = moteur du chgmt social selon Marx. B- La fin de la classe ouvrière ? 1) Qu’est ce que la classe ouvrière ? Caractéristiques de l’ouvrier : peu qualifié, w d’execu°, manuel, responsabilité limité→ posi° plutôt basse dans la hiérarchie. La CO est caractérisé par le fait qu’ils sont obligés de louer leur force de w en l’échange

Ainsi la bourgeoisie s'approprie l'immobilier et les finances, une classe ouvrière, le prolétariat, s'organise et obtient des avancées extraordinaires sur le plan social et sur une petite période de trente ans (1884 à 1913) : des lois qui régissent le travail dont l'indemnisation des accidents, les allocations à partir du 3ème enfant …Quant à la classe moyenne, elle trouve sa place entre la bourgeoisie et la classe ouvrière et devient un pilier dans les systèmes démocratiques. Mais en même temps,

marxisme, les classes sociales ont été une manière de caractériser/désigner cette stratification sociale. On expliquait alors qu’il y avait deux grandes classes qui luttaient pour défendre leurs intérêts : les bourgeois et les prolétaires (classe ouvrière). A partir des années 80, on a parlé de la montée des classes moyennes et du déclin des luttes des classes. Les classes sociales ont-elles disparues ? I. Les analyses traditionnelles des classes sociales 1. Les classes sociales chez

autant exploités et dominés que le prolétaires du 19 siècle. On pourrait parler d'un processus de paupérisation / bipolarisation. Plus encore, 1% des ménages les plus riches possèdent près de 20% du patrimoine. On pourrait regrouper dans la classe ouvrière : les ouvriers, les employés, les exclus du travail, les jeunes sans qualification. Cette analyse serait renforcée par la panne de l’ascenseur social et par le nouvel âge des inégalités. Le temps de rattrapage pour les ouvriers aurait augmenté

doc24 et 25 +Q Bourdieu : revoir chap intro, dict, doc17 +Q, dossier p2 c. Chauvel : dossier p7 et 8, déf des cl ds la 4ème colonne Puis faire le point p91 et 94 B – La stucture de la soc française aujourd’hui : La classe ouvrière en crise : doc22 +Q, et dossier p3 et 4 La bourgeoisie, une classe soc? doc27 +Q, 2 textes p102 Q5 et 6 D’autres formes de clivages : classes d’âge : dossier p5 et 6 (doc Chauvel +Q) ; Hommes/femmes : revoir la soc° différentielle

file » du naturalisme. Les rêves de bonheur banals de Gervaise sont broyés au fur et à mesure de la lecture, inspirant une grande pitié au lecteur. C'est un livre qui laisse une large place au lecteur pour comprendre les conditions de vie de la classe ouvrière du second empire, un livre qui nous amène à réfléchir et que j'ai tout particulièrement adoré. « L'assommoir », voici l'histoire en quelques phrases. Nous sommes au Second empire, lorsque Paris se remplit. Gervaise jeune femme de vingt-deux ans

permettent elles l'amélioration de la condition ouvrière? I- Une classe sociale en formation. 1) Une classe de plus en plus importante: a) Par le nombre b) Par son unité (cadre, difficultés travail, conditions de vie...) 2) Une prise de conscience; a) L'intégration à la vie politique (participation mouvements syndicaux et partis socialistes...) b) visibilité et identité fortes (luttes sociales...) II- Une condition ouvrière en mutation. 1) Un travail ouvrier en mutation

classes opposant les dominants aux dominés qui luttent contre l’exploitation dans la sphère du travail, sur des enjeux économiques comme la hausse des salaires, la baisse des cadences, la diminution de la durée du travail… Elle est portée par la classe ouvrière organisée syndicalement. Or, les mutations du travail depuis une trentaine d’années semblent bien avoir provoqué un net recul de ce type de conflits. Ce déclin est visible dans la baisse du nombre annuel de jours de grèves : autour de 4 millions