Intendant des finances

nommés par une lettre de provision émanent du Roi. Son office, devenue vénale (A) puis héréditaire (B), est une fonction publique déléguée par le monarque. A) La vénalité des offices La vénalité des offices, a savoir leur transmission moyennant finances, n’est instaurée qu’après que la stabilisation de leurs titulaires a pu être obtenue. Le point de départ de l’évolution est une ordonnance rendue en 1302 par Philippe IV Le Bel. D’après ce texte, les offices sont attribués librement

de choisir de conseillers et ministre suivant leurs compétences et sur des points très précis. Il fait tout de même appel à Colbert en 1661, pour l’économie et les finances à Louvois. Il va également renforcer la centralisation monarchique afin de mieux contrôler le royaume, c’est pour cela qu’il envoi dans chaque province un intendant doté de pouvoirs afin de faire respecter les décisions royales. Et pour fini il va renforcer son autorité en réduisant les opposition s religieuses. En 1685, par l’Édit

le fils de Louis 7, Philippe-Auguste qui accomplira l’œuvre majeure L’empire carolingien s’est disloqué au 10ème siècle cet empire est totalement désagrégé sous l’impulsion de nombre de forces de dissociations : -L’économie rurale fermée -des finances rudimentaires -Ces hommes ont une conception patrimoniale royale du pouvoir => Chez eux. Ils n’ont aucune idée de ce qu’est un état de pratique et pratique la vassalité. Le roi à l’administration très insuffisante. Il a laissé apparaître des

d’Araminte. Scène 2 : Dorante retrouve un de ses anciens valets, Dubois. On apprend que, jeune bourgeois de belle mine, mais fils d'un avocat ruiné, il est amoureux fou d'Araminte, veuve roturière fort riche, et veut se faire engager par elle comme son intendant sur la recommandation de son oncle procureur, M. Remy. Dubois, se faisant son complice, se charge d’oeuvrer en sa faveur, de plaider habilement sa cause, et d'amener adroitement Araminte à reconnaître son penchant et à se déclarer. Scène 3 : M. Remy

la determinent, il n'hésite pas à imposer des taxes indecantes à la population. La croissance de l'importance de la guerre va engendrer des hausses d'impots considérables. En effet, l'essentiel des dépenses de l'Etat sont liées à la guerre, poru financer les alliés et particulièrement rembourser les emprunt ce qui se révèle être un véritable problème à l'époque . En effet l'emprunt est très courant et le moyen de le rembourser est particulier. L'emprunt peut être levé par l’État royale auprès de

compagnies ont mise de côté le peuplement. À partir de 1663, Louis XIV et son conseiller, Colbert, décident de prendre en main la colonie. Ils instaurent de nouvelles mesures pour peupler la Nouvelle-France. On nomme Jean Talon comme nouvel Intendant de la colonie. On veut créer une colonie auto-suffisante qui servira de marché aux produits de la métropole. Talon a donc trois missions : 1. Peupler la colonie 2. Augmenter la production agricole 3. Diversifier

l’admiration des étrangers par exemple Cavalli note « nul pays plus uni que la France est c’est le roi lui même qui a contribuer par son action au rayonnement du pouvoir central. » Il n’y a pas d’exécution spectaculaires mais il y a celle du sur-intendant des finances Monsieur Semblançay, l’exceptionnel politique de François 1er est un succès. Il ne diminue pas les impôts ni les augmente, quand il meurt il laisse dans le trésor public 17mille écus d’or, il a été l’un des rois le plus obéit, sous règne

d’Araminte. Scène 2 : Dorante retrouve un de ses anciens valets, Dubois. On apprend que, jeune bourgeois de belle mine, mais fils d'un avocat ruiné, il est amoureux fou d'Araminte, veuve roturière fort riche, et veut se faire engager par elle comme son intendant sur la recommandation de son oncle procureur, M. Remy. Dubois, se faisant son complice, se charge d’oeuvrer en sa faveur, de plaider habilement sa cause, et d'amener adroitement Araminte à reconnaître son penchant et à se déclarer. Scène 3 : M.

reste la même, le roi lui succédant est Philippe II Auguste. Le processus de dislocation de l’empire carolingien entamé au 9ème siècle s’accélère au 10ème siècle. L’Etat se désagrège complètement : l’économie est devenue rurale et fermée ; les finances sont inexistantes ; chez ces rois, existe une conception patrimoniale du pouvoir. Les rois considèrent que leur pouvoir est leur propriété ; autre facteur de désagrégation, pratique de la vassalité ; hiérarchie administrative insuffisante : les particularismes

devrait aller • Une jeune femme qui a besoin de décider quel amoureux encou- rager • Une mère de famille qui a besoin de sagesse pour gérer un problème avec l’un de ses enfants • Une veuve qui a besoin de direction sur la manière de gérer ses finances • Un mari qui réfléchit à un changement de travail Vous pourriez tout aussi bien prêcher à partir de Jacques 1.19 : « Que chacun soit prompt à écouter, lent à parler, lent à la colère », sur le thème : « Conseils aux parents d’adolescents », ou