Innovations Financières Et Globalisation Financière

biens = 12% /an  Δ annuelle moyenne des échanges de services = 12% /an  Δ éco moyenne = 3,5% /an  USA réclament une libéralisation des services afin de pouvoir prendre de parts de marchés ce qui revient pour eux à profiter de la manne financière constituer par la progression des échanges de services à l’échelle mondiale. Etant donné que 75% des X de services viennent de l’OCDE il est tout à fait logique que ces derniers réclament une libéralisation des services.  Les services représentent

majeures assises toutes les deux sur l'innovation et l'intelligence: La première fait que les grandes entreprises ne sont plus les seules à guider l'acte de produire et d'innover. La globalisation exige un degré de flexibilité auquel les PME peuvent répondre mieux que les grandes firmes (la flexibilité rime avec la globalisation). D'où la nécessité de renforcer la présence des PME / PMI à l'internationale comme gage de compétitivité, d'innovation et de flexibilité-flexurité. Une exigence aussi pour le Maroc

Empire des Indes et îles de l’océan indien (Ceylan), Australie et NZ, Est et Sud de l’Afrique) L’empire britannique compte alors près de 400 millions de personnes = présence britannique sur toute la planète. Enfin, le RU exerce une domination financière : la livre sterling sert de monnaie de référence pour les échanges internationaux et la City est la 1ère place boursière et le centre de la finance mondiale. Le RU est alors le « banquier du monde » A la fin du XIXe, la domination du RU est contestée :

être durablement faible. – La mondialisation est-elle responsable de tous nos maux ? Que recouvre d’ailleurs ce concept utilisé partout et tout le temps ? Un de ses aspects est la globalisation financière qui traduit le fait que les capitaux sont parfaitement mobiles à l’échelle planétaire. Cette globalisation financière a été à l’origine des crises internationales de ces dernières années. G • 24 ÉCONOMIE GÉNÉRALE B – Micro-économie / Macro-économie L’économie a donc à traiter de multiples

importante, PR veut croitre de façon organique grâce à une + forte innovation. A l’image du « Ricard », pastis préféré et incontesté parmi les consommateurs, l’entreprise veut garder cet esprit pionnier. Forte concurrence sur le marché, beaucoup de marques présentent. Il est plus difficile pour les consommateurs du au trop grand nombres de marques présentent de faire un choix au moment de l’achat. Certaines innovations peuvent nuire à l’image de la marque si elles ne marchent pas.

globale, à travers un effort particulier pour cerner les défis auxquels sera confronté notre pays sur le plan économique. CHAPITRE1 : DEFINITION DE LA MONDIALISATION CARACTERISTIQUES ET DEBAT THEORIQUE. 1_definition La mondialisation (ou globalisation pour les anglo-saxons) est le processus d'ouverture de toutes les économies nationales sur un marché devenu planétaire. La mondialisation est favorisée par l'interdépendance entre les hommes, la déréglementation, la libéralisation des échanges

LES MECANISMES DE LA MONDIALISATION INTRODUCTION Page 2 Partie 1 : LES ORIGINES DE LA MONDIALISATION 1) Du premier emploi du mot… 2) …A la mondialisation actuelle 3) Mondialisation et globalisation : synonymes ? 4) Sur les sentiers de l’actuelle mondialisation Partie 2 : LES FACTEURS DE LA MONDIALISATION 1) Facteurs technologiques 2) Facteurs institutionnels 3) Facteurs démographiques Partie 3 : LES DYNAMIQUES DE LA MONDIALISATION 1) Les flux d’hommes 2) Les flux de biens et services 3)

favoriser le libre-échange ? Le protectionnisme est-il encore d’actualité ? Quel rôle jouent les institutions internationales ? i – Une ouverture internationale croissante Définitions : internationalisation, mondialisation, globalisation, globalisation financière  DOC 5 p 296 A/ Le développement du commerce mondial a) Les échanges mondiaux de la révolution industrielle à 1945 DOC 2 p 294 b) Les échanges internationaux depuis 1945 DOC 1 p 245 B/ Les produits échangés

stratégie
 car
 la
 couverture
 géographique
 (150
 pays),
 l’ancienneté
 et
 le
 poids
 (près
d’un
siècle,
deuxième
leader
mondial)
lui
confère
une
inertie
qui
l’oblige
à
 penser
son
devenir
sur
le
long
terme.

 Dans
 cette
 perspective,
 la
 globalisation,
 l’intensification
 de
 la
 concurrence
 ainsi
 que
la
polarisation
du
marché
qui
ont
touché
le
domaine
d’activité
autour
duquel
 elle
 s’est
 recentrée
 (l’électroménager
 grand
 public)
 doit
 l’interroger
 sur
 l’évolution
 potentielle
 de


une nouvelle phase : davantage de croissance que par le passé, moins de volatilité, une diminution des inégalités, une montée en puissance des bourses qualifiées d’émergentes et enfin, moins de vulnérabilité aux chocs extérieurs. Lorsque la crise financière est apparue avec la brutalité que l’on sait dans les pays développés, ces mêmes économistes ont pensé que ces économies ne seraient que peu affectées, que leur conjoncture serait « découplée » de celle des pays industrialisés et pour certains –