Innovation Remet En Cause Concurrence Pure Et Parfaite

i.e l'histoire des séries statistiques. Ernest Labrousse (1895-1988) a récupéré la chaire de Marc Bloch à la Sorbonne et est l'historien sériel de référence en France. Aujourd'hui néanmoins, beaucoup d'historiens et d'économistes remettent en cause la suprématie du chiffre et des séries statistiques au dépend d'autres indicateurs et phénomènes. Aujourd'hui on étudie davantage la "business history", école anglaise s'intéressant à l'histoire des entreprises. I - Les grandes questions de l'histoire

progrès social : Le vieillissement de la population occidental entraîne un problème de financement des retraites et à terme un besoin de migration de main d’oeuvre auquel une partie de la population européenne a parfois du mal à se résoudre, La concurrence des pays émergents dans les secteurs les plus traditionnels occasionne des pertes de parts de marché et donc d’emplois, ou des délocalisations qui cristallisent les angoisses des travailleurs les moins qualifiés, Les deux dernières décennies ont

service de ses droits. Le libéralisme a été mis en place à travers le droit naturel, il existe des lois économiques qui sont indépendantes de ce que veulent les gouvernements. Pour ces physiocrates la liberté individuelle dans des conditions de concurrences parfaite doit être au centre du libéralisme. Cette liberté individuelle va permettre à chaque individu de trouver son intérêt propre d’où à la contribution du bien être collectif. Trois lois sont à retenir : Cette loi naturelle doit être considérée

taux d’emploi, du taux de chômage… La croissance du stock de capital (rythme des investissements, rythme de l’obsolescence du capital fixe…). L’évolution du progrès technique mesuré par celle de la productivité globale des facteurs, du rythme des innovations… Compte tenu de l’évolution passée de ces trois dimensions, la croissance potentielle de la France ne devrait pas dépasser les 2,1% par an entre 2008 et 2015. 3. La croissance effective correspond à la croissance réellement obtenue par le pays.

redistribué, par exemple consommé par les retraites) Déficit budgétaire (aide à la relance Economique) : C’est lorsque l’on dépense plus qu’on a de recettes. Tous les ans l’Etat est en déficit. Il ne doit pas dépasser les 3% du PIB (2009 = 8% du PIB à cause de la crise). Dette publique : Elle cumule les déficits d’année en année. Les pays pauvres s’endettent auprès des organisations internationales (FMI, Banque mondiale) Les pays riches s’endettent auprès des marchés financiers (dette par des étrangers

libertés et des droits individuels. Le marché, c’est la libre confrontation des offres et des demandes qui permet l’établissement d’un prix d’équilibre, sans intervention consciente de quiconque. Pourtant, très rapidement, le marché va être remis en cause, la “ question sociale ” au XIXe siècle apparaît à nombre de commentateurs comme la conséquence de l’application de la logique marchande à toutes les sphères de la vie économique et sociale. Au marché autorégulateur facteur d’harmonie, on oppose donc

aide à comprendre, et peut- être à résoudre, les problèmes concrets auxquels nos économies sont confrontées » MICROECONOMIE : Théorie du consommateur, théorie de la firme (production), arbitrage travail/loisir, biens publics, les marchés de concurrence imparfaite… MACROECONOMIE : Inflation, chômage, croissance, politique monétaire, politique budgétaire, commerce international… Des extensions récentes : le sport, l’environnement, la criminalité… Levitt S. et Dubner S. (2006), Freakonomics

pré-ind ne st pourtant pas immobiles. Leur changement éco, leur croissance est lente – mais ces soc ne st pas immobiles. Pour l’historien BRAUDEL, et les ethnologues, tous ces changements lents préparent des évolutions « révolutionnaire ». PT et innovation ne st pas apparus soudainement de nulle part. Une optique de très long terme est indispensable en histoire. Certaines structures institutionnelles ne conviennent plus : augmentation de la bourgeoisie qui demande l’abolition des privilèges, qui

acteurs sont apparus, qui ont modifié le rapport de forces (largement en faveur des grossistes au début des années 1960) au sein du champ de la commercialisation des produits frais. Cette émergence de nouveaux acteurs, donnant lieu à une mise en concurrence du stade de gros traditionnel, a eu lieu aussi bien en aval, avec les coopératives, qu’en amont, avec la grande distribution. Comme on le verra dans la première partie, la montée en puissance de ces nouveaux groupes économiques a été rendue possible

le détail, on s’aperçoit que les pays les moins avancés ont vu leur PIB progressé mais faiblement. L’Afrique a vu son PIB régressé : la richesse dans le monde progresse mais ne bénéficie pas à tout le monde. Cette vision du libre échange mondial a causé des inégalités ce qui explique les courants altermondialistes. La richesse crée par habitant peut être très forte mais c’est la répartition entre chacun qui permet l’amélioration du bien être individuel. La convergence : pour qu’il y ait convergence