Initiative pays pauvres très endettés

main d’œuvre. Cette intensification des échanges internationaux de tout nature lier à la libéralisation et l’ouverture progressive des économies nationales sur le marché mondial fait que l’espace géographique de référence devient mondiale, et chaque pays s’y intègre, à divers degré au travers des échanges, ce qui nous conduit à ce qu’on appelle «  l’économie monde » qui implique une interdépendance économique entre les Etats plus renforcée. Afin de mieux cerner notre objet d’étude, on va devoir analyser

notion de développement durable : au-delà du souci environnemental qui en constituait le noyau dur, s’y intègrent désormais les questions politiques et sociales. Cet élargissement de la notion ouvre la voie à des définitions très variées et à sa déclinaison sous des formes très diverses. Notamment en ce qui concerne la place qu’y occupent les droits et libertés. Ces différences peuvent être appréhendées à partir de la distinction entre approche substantielle et approche instrumentale. La première considère

mondialisation économique, n'étant pas encadré politiquement, accroît les inégalités dans le monde : d’une part entre la population mondiale la plus riche et la plus pauvre, d’autre part entre les pays du Nord, et une majorité des pays du Sud dont l'Afrique subsaharienne et les PMA. Ce dernier point peut toutefois être contesté par l’analyse du PIB par pays sur les 50 dernières années, un indicateur que les altermondialistes contestent en général. Certains altermondialistes accusent les grandes compagnies de

entre les enfants de divers milieux, alors que ceux des pays du nord ont atteint un statut quasi identique à celui de l’adulte, les enfants issus des pays en voie de développement sont souvent soumis à l’autorité parfois violente d’un adulte qui les force à travailler. En effet, dans le monde plus de 250 millions d’enfants entre 5 et 14 ans selon Bureau International du travail sont contraints au travail. Ils vivent pour la majorité dans les pays du Tiers-Monde où parfois la scolarité n’est pas obligatoire

crédit de programme de 800 millions de francs destiné à financer les mesures de politique économique et commerciale au titre de la coopération au développement pour la période 2008–2012. Les mesures de politique économique et commerciale en faveur des pays en développement s’inscrivent dans la politique de coopération au développement de la Suisse. Elles trouvent leur fondement, sur le plan légal, dans l’art. 54 de la Constitution fédérale et dans la loi fédérale du 19 mars 1976 sur la coopération au

géographiquement très sélective. Tout d'abord, la mondialisation correspond à l'existence de flux de toutes natures à l'échelle de la planète. En effet, les flux explosent: marchandises, services, informations, capitaux, hommes. De 1980 à 2003, le commerce des marchandises est multiplié par 4,5; celui des services est multiplié par 10. On peut aussi remarquer une globalisation financière (libre circulation des capitaux): plus de 1500 milliards de dollars par jour passent d'un pays à un autre, soit

terme « mondialisation » désigne l'expansion et l'harmonisation des liens d'interdépendance entre les nations, les activités humaines et les systèmes politiques à l'échelle du monde. Si elle a commencé il y a plusieurs siècles, elle s'est cependant très fortement accélérée depuis les années 90. Tous les territoires ne sont pas concernés de la même manière : si la Triade est un espace intégré qui tire profit du phénomène, l'Afrique s'est toujours vu imposer la mondialisation. L’Afrique est un continent

vivent en Afrique subsaharienne; elles sont parmi les plus pauvres de la planète. Pour stimuler la croissance économique qui créerait des emplois, élèverait le niveau de vie et accélérerait le développement, cette région doit attirer plus de capitaux étrangers. Elle augmentera ainsi les importations de technologie et les transferts de savoir-faire, une stratégie dont les effets positifs sur la productivité ont été démontrés dans beaucoup de pays. Nombre d’entre eux ont attiré les investissements en modifiant

zone de l'Afrique sub-saharienne semble stagner[1].  La seconde cible Fournir un emploi décent et productif à tous, femmes et jeunes inclus. Ces dix dernières années, la productivité dans les pays d'Asie et de la CEI a été multipliée par quatre, contribuant à faire baisser le nombre de travailleurs pauvres. En revanche, l'Afrique sub-saharienne reste en retard sur cet objectif, avec plus de 50% de travailleurs vivant avec moins d'un dollar par jour [2].  La troisième cible Réduire de moitié entre

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