Influence Le Serment Des Horaces

articles mettent en lumière les « vices », les erreurs et les aveuglements entretenus par les pouvoirs politique et religieux. Ainsi l’ouvrage défend une société égalitaire et la liberté de pensée. C’est une arme importante des philosophes car elle influence le changement d’état d’esprit de la société et contribue à provoquer la Révolution française. Quelques philosophes et leurs œuvres : • MONTESQUIEU (1689 – 1755) [pic] - Penseur de l’organisation politique et sociale, il est l’inventeur

traduit par la reproduction de grande scène de l’Antiquité, on emprunte la mythologie gréco-romaine avec David en 1785 « Le serment des Horaces » et en 1795 « L’enlèvement des Sabines ». Certains sont plus novateurs, le baron Gros, qui se soucie de la couleur locale, avec son œuvre « Napoléon Bonaparte visitant les pestiférés de Jaffa » en 1804). Le romantisme trouve son influence : Allemagne (Goethe, Faust traduit par Gérard de Nerval) et du côté britannique (Shelley Marie, Frankenstein ; Mac Pherson

sainte. Cette œuvre s’inscrit dans un contexte diachronique, c’est à dire que l’artiste revisite une scène de l’antiquité, de la mythologie ou encore de la Bible, ce qui est le cas ici. Wicar a énormément été influencé par David qui, à cette époque, était occupé à peindre le Serment des Horaces. Peut-être a-t-il voulu suivre son maître en se lançant sur un sujet biblique, en rupture avec les peintures sentimentales et frivoles du XVIIè siècle ? Certains disent que Jean-Baptiste Wicar se serait trop

au Salon où il expose régulièrement de 1800 à 1810, puis à nouveau en 1814 et 1819. Il est décoré de la Légion d'honneur, et meurt à Paris le 16 février 1819. Oublié quelques décennies après sa mort, Valenciennes exercera pourtant une profonde influence sur les générations suivantes, principalement en ce qui concerne l'art du paysage qui, de genre mineur qu'il était au XVIIIe siècle, deviendra à la fin du siècle suivant le lieu d'expériences esthétiques radicales. En Italie, Valenciennes exécute

l'Université à Cambridge. Il publie en 1687 son œuvre maîtresse : Principes mathématiques de philosophie naturelle. En 1699, il publie Optique fruit de ses recherches sur la lumière. En 1736, c'est au tour de Méthodes des fluxions d'être publié. Il influence les autres scientifiques du XVIII, car il est admiré, et l'imitation de Newton devient pour les scientifiques une ambition secrète, quelle que soit leur science. Le système de Newton d' intelligibilité est admis comme le prototype de toutes les connaissances

plus tard que celle de l’Italie, de l’Espagne et de l’Angleterre.La littérature progresse plus lentement en France qu’en Italie, en Espagne et en Angleterre. Donc, La Renaissance et d’autres mouvements littéraires étrangers exercent une certaine influence sur la tragédie classique francaise en termes du contenu et de la forme à la fois. Mais le tragique ne peut être distingué sauf les efforts effectués par les précurseurs dans l’époque du classicisme de la France. Les quarantes « immortels » y ont

annoncent déjà l'esprit philosophique et le Siècle des Lumières... Parmi eux, on peut citer : · Descartes, (1596-1650) mettant en place le doute cartésien et la célèbre formule :"Cogito Ergo Sum" · Blaise Pascal, (1623-1662) janséniste, exerce une influence importante avec l'idéologie de son oeuvre et sa valeur esthétique. · Pierre Gassendi, (1592-1655) choisit l'expérience en tant qu'arme pour rejoindre l'idéologie de Descartes. Il contribue au libertinage. · Pierre Charron, (1541-1603) héritier

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . La querelle des Anciens et des Modernes. . . . . . . . . . . . . . . . Chapitre 8 : Le foisonnement du début du siècle. . . . . Les influences étrangères . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Une indépendance d’esprit. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

moralisateurs (1755 "un père de famille expliquant la bible à ses enfants").  Jean-Baptiste GREUZE "La malédiction paternelle. Le fils ingrat " 1777 . H. : 1,30 m. ; L. : 1,62 m. Musée du louvre C'est Jacques-Louis David (1748-1825) avec "le serment des Horaces" en 1784 qui devient le chef de file de ce courant : sujet pathétique, héroïsme de l'expression, comoposition rigoureuse, coloris sobre, rigueur du dessin. David allait devenir le peintre de la révolution et de l'empire. Jacques-louis DAVID "Les

sur les rivages Le fils audacieux qui railla son front blanc. Frissonnant sous son deuil, la chaste et maigre Elvire, Près de l'époux perfide et qui fut son amant, Semblait lui réclamer un suprême sourire Où brillât la douceur de son premier serment. Tout droit dans son armure, un grand homme de pierre Se tenait à la barre et coupait le flot noir, Mais le calme héros, courbé sur sa rapière, Regardait le sillage et ne daignait rien voir. | |