Incipit In Medias Res

I. Un univers rendu familier A) Entrée in medias res dans un univers • Comme si tout était connu du lecteur, pas d’explication : complément circonstanciel de lieu « ici » (position connue), « juste au virage » (à + le, article défini = endroit connu) • Nom de lieu « Avers », « Chichiliane » = comme si le lecteur pouvait visualiser l’endroit • Cadre spatio-temporel indiqué au fur et à mesure de l’incipit (pas d’un coup de manière très explicite comme dans d’autres œuvres) : « en 1843-44-45 »

encore, avec un bruit doux d'écailles gluantes et de nageoires soulevées, d'efforts impuissants et mous, et de bâillements dans l'air mortel. Guy de Maupassant - Pierre et Jean - Début du chapitre I Annonce des axes Etude I- Un début " in medias res " Début abrupt de par l'interjection "Zut !" : ce mot accroche l'attention du lecteur. L'aspect soudain est encore accentué par "tout à coup" et par les passées simples. L'utilisation du dialogue rend le début plus vivant. => changement entre

polovina duše amicus certus in re incerta cernitur ve věci nejisté pozná se jistý přítel anima candida čistá duše arbiter elegantiae rozhodčí ve věcech vkusu (Petronius) ars longa, vita brevis život je krátký, umění dlouhé (přetrvá věky) audantes (audaces) fortuna iuvat odvážným štěstí přeje (fortes fortuna adiuvat) audiatur et altera pars ať je vyslyšena i druhá strana aurea mediocritas zlatá střední cesta (aurea via media) ave, imperator, morituri te

" bâbord " et " tribord ". | |II - Une ouverture dynamique | |A. Une entrée en matière in medias res : le roman commence par la restitution d’une parole vivante en train de se tenir : | |" Zut "; le lecteur entre de plain pied dans le roman sans savoir à qui il a affaire; cette entrée en matière est d’autant| |plus déconcertante (surtout pour

de vue, Lisette ne comprend pas pourquoi Silvia ne veut pas se marier. Lisette est tout excité pour le mariage à l'inverse de Silvia. I. Une discussion animée a) Etude du mouvement de la scène (progression de la construction) : début " in medias res "(= dans le schéma quinaire, l’élément perturbateur est intervenu avant le début du livre) : les reproches entre Silvia et Lisette ont commencés avant le levé du rideau. Leur sujet est le choix du mari, et quelles sont les qualités d’un bon mari

certaine supériorité est présentée en premier. Le narrateur interne ou omniscient en sait plus sur l’histoire que le lecteur, il va vouloir savoir toutes les informations possible par le biais du narrateur, être à son niveau. Pour finir, l’incipit in medias res provoque l’appartenance au récit directement car on rentre dans l’histoire après que l’action ait commencé ce qui va provoquer chez le lecteur l’envie de savoir ce qu’il s’est passé au début. Il va alors être, lui aussi, un personnage de l’histoire

lecteur et lui donne envie d'en savoir plus. En une seule phrase, beaucoup d'éléments sont présents. Contrairement aux deux autres débuts de romans du corpus, dans la première phrase de Pierre et Jean de Guy de Maupassant, la scène commence in medias res, c'est à dire au milieu de l'action. Toujours en rupture avec les deux autres extraits, ici, la phrase est plus longue. L'interjection « Zut ! » surprend le lecteur, et là aussi on découvre un personnage appelé « le père Roland  ». Grâce à certains

personnages a pour fonction d'exposer la situation de façon vraisemblable afin d'informer les spectateurs sur l'identité des personnages et sur un certain nombre d'éléments indispensables à la compréhension de la pièce. Ici, la pièce commence "in medias res" -> on arrive au milieu de l'histoire. PROBLEMATIQUE: En quoi peut-on dire qu'il s'agit d'une scène d'exposition ? I ) portrait d'Arnolphe A ) un bourgeois Nous apprenons qu'Arnolphe fait partie de la bourgeoisie. Son appartenance sociale

réalité. Tout d’abord, on y trouve de nombreux indicateurs spatiaux temporels comme « à l’arrière du bateau » ou «le large horizon des falaises » .Ce vocabulaire figuratif s’inscrit dans la réalité. Le choix d’écriture pour ce début de roman est In medias res L’auteur donnes une sonorité aux poissons « leurs palpitation d’agonie s’accentua », pour accentuer cela l’auteur leurs donne un vocabulaire descriptif qui a un rapport avec l’argent, car M. Roland avec l’habitude de touché de l’argent dans son

Cyrano de Bergerac, la première scène est dédiée à une mise en abyme du théâtre : les spectateurs s’installent dans le parterre avant le lever de rideau. Ils mangent, jouent aux cartes, se battent comme ce qui va suivre dans la pièce. Ce début in medias res offre une ouverture naturelle, spontanée vers le développement de l’intrigue qui s’amorce à la scène 2, lorsqu’on apprend que Montfleury va jouer alors que Cyrano lui avait interdit de se produire sur scène. On aperçoit Christian tressaillir devant