In medias res

de père (M. Orgon), l'autorisation d'observer, sous le déguisement de sa suivante (Lisette), le jeune homme à qui sa famille la destine (Dorante), ignorant que ce dernier a eu la même idée qu'elle... I. Un dialogue mouvementé 1. Début " in medias res " : Les reproches entre Silvia et Lisette commencent dès le début de la scène ce qui donne une impression d'agitation, d'empressement entre les deux femmes. Leur sujet est le choix du mari. La tension monte entre les deux femmes, s'en suit une

par une raie au milieu du crâne, il ressemblait bien au mauvais sujet des romans populaires. » I) Il informe Cadre spatiotemporel Présentation du personnage II) Il captive Informartions partielles présentation fractionnée/différée Début In medias res III) Il annonce L’argent est omniprésent Duroy est un personnage séducteur Cet incipit possède donc bien les caractéristiques habituelles d’un incipit de roman, il informe, captive et annonce.

Madame Baptiste – Incipit I- Un incipit réaliste a)- Cadre spatio-temporel caractéristique du registre : - Début in medias res => indication temporelle en pleine action « quand » - « gare » : lieu banal - Loubais – Paris : lieux réels - Précision horaires « 2h et 10mns » - Décor banal, familier + par petites touches = arbres, chien, chat…=> écriture impressionniste // tableau Manet manuel. b)- Un narrateur double : -> Narrateur personnage => crédibilité de l’histoire // témoin fiable -> focalisation

« Quand la caissière lui rendit », ceci annonce que l’on va entrer dans la vie quotidienne de Georges Duroy, le personnage principal au moment le plus important de sa vie. La jeunesse du personnage n’est pas racontée. Le récit commence donc « in medias res ». Plusieurs indices répartis dans l’incipit nous renseignent sur le cadre spatio-temporel de l’histoire. Les indices renvoyant à la monnaie de l’époque sont mis en valeur par le champ lexical de la monnaie  «  la monnaie de sa pièce de cent

de les nommer (« ils ») avant le dialogue. Refus des deux types d’incipit possible : « ab ovo », qui remonte aux origines : le retour dans le passé qui explique la situation des personnages va justement constituer l’essentiel de l’ouvrage. « in medias res » : ce serait le cas si on avait réellement action. Or il ne se passe rien : deux hommes discutent, s’endorment, se perdent, le maître bat son valet pour la forme : guère plus passionnant qu’une scène d’exposition de Beckett. Difficile donc de

traitement du temps : 1 L’ordre : 
L’ordre, qui n’est pas systématiquement chronologique, montre aussi le travail du romancier pour construire la narration.
Un des cas les plus courants est celui d’un début en plein milieu de l’action (incipit in medias res) pour capter d’emblée l’intérêt du lecteur, quitte à lui donner un peu plus tard les informations nécessaires pour tout comprendre, dans un retour en arrière explicatif.
C’est ce que nous observons avec Pierre et Jean :
· Les 60 premières lignes

fondée sur l'attente 1. L'évocation du temps qui passe Notations d'heures : deux heures du matin ; cinq heures. Notations plus floues : "son attente de la nuit". Le jeu des temps verbaux : plus-que-parfait : antérieur au récit, qui commence "in medias res". Plusieurs "flash-back" dans ce passage : premier verbe ; "elle avait aperçu", "on avait ajouté". Cette évocation d'un passé antérieur au récit permet au narrateur de donner au lecteur des informations importantes, sous couvert de souvenirs de

qu’on appelle l’exposition. Ce genre d’entrée sert généralement à présenter les personnages qui seront les acteurs de l’intrigue. L'ouverture de Pierre et Jean nous plonge directement dans une scène du quotidien de la famille Roland. L’entrée « in medias res » permet au lecteur de s’immiscer au sein d’une activité familiale tout en présentant les personnages et les relations qui les lient ensemble. Nous pouvons étudier cet extrait suivant trois moments importants. Le premier serait, dans le respect

culturelle. Argt 2 + exemple (s) : Un bon début de roman ns renseigne sur l’action de différentes manières. Dans La Condition humaine de Malraux publié en 1933, le lecteur est directement plongé au cœur de l’action : c’est ce qu’on appelle un début in medias res (= au milieu de la chose) . Le lecteur découvre un héros sur le point d’accomplir un meurtre. Un suspense est savamment entretenu par le narrateur. Il porte sur l’accomplissement du meurtre, la peur du héros d’être découvert, la présence de la

 temps de la narration = 0 Ex :____________________________________________________________ ________________________________ a) L’auteur peut choisir de faire une ellipse de toute la situation initiale : on parle alors de récit « in medias res » Le lecteur entre directement dans le vif de l’action. (les informations de la SI devront être données dans l’élément perturbateur ou au début des actions). Ex :____________________________________________________________ ________________________________