Immersion linguistique

Francis Debyser La linguistique contrastive et les interférences In: Langue française. N°8, 1970. pp. 31-61. Citer ce document / Cite this document : Debyser Francis. La linguistique contrastive et les interférences. In: Langue française. N°8, 1970. pp. 31-61. doi : 10.3406/lfr.1970.5527 http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/lfr_0023-8368_1970_num_8_1_5527 Francis Debyser, BELC, Paris. LA LINGUISTIQUE GONTRASTIVE ET LES INTERFERENCES Parmi les espoirs placés par

compte de « plusieurs autres choses que des images qui peuvent exciter notre pensée ». Descartes sort donc du cas de la vision pour opposer aux scolastiques les cas limites des « signes » et des « paroles ». Dans le cas des « paroles » la linguistique saussurienne nous aide à comprendre qu’un terme est composé à la fois d’un signifié, qui comprend son sens ou sa dimension intelligible, et d’un signifiant, qui renvoie à un signe graphique ou phonique c’est-à-dire à sa dimension sensible. Le signifiant

inaccentuables ces voyelles se trouvent dans des syllabes qui du fait de leur position non finale de mot ne peuvent jamais porter l'accent rythmique. Elles n'ont donc pas la même 5 J. Clarenc Parcours FLE (2006/2007) importance sur le plan linguistique que les syllabes accentuables. on observe les tendances suivantes : - en syllabe fermée, le timbre est plutôt ouvert : porter [pOR'te ] seulement [s”l'mA) ] mercredi [mERkR´ 'di ] en syllabe ouverte, le timbre est moyen, entre [ o ] et [ O ] ,

de l’expression personnelle en anglais Baccalauréat séries L LV2, ES LV1, S LV1 et LV2 Suggestions du groupe d’anglais de l’Inspection Générale des langues vivantes Réalisation (de l’exercice et traitement du sujet : 4 points Recevabilité linguistique : 6 points Total des points 0,5 point - présentation inacceptable - écriture illisible - consignes non respectées - hors sujet - contresens 1 – 1,5 – 2 points - recopiage du support - hors sujet partiel - sujet compris mais traitement plat

pour certaines redites, mais je vais devoir commencer par une rapide description des effets de la mondialisation sur la situation linguistique du monde avant de présenter des instruments nous permettant d’élaborer quelques hypothèses sur l’évolution de cette situation. Ma démarche répond à la volonté d’éviter deux obstacles, lorsque l’on parle de la situation linguistique du monde, celui de la passion d’une part, que nous trouvons chez quelques ayatollahs de la francophonie, et d’autre part celui du

consignes explicites. Il s'agit de donner aux apprenants des r�flexes d'�veil et de r�flexion sur le fonctionnement de la langue. La compr�hension du fait linguistique doit d'abord venir des �l�ves eux-m�mes ; ce n'est qu'apr�s leurs d�couvertes que l'enseignant explicitera le fait, non avant. -�L'INTERLANGUE : Tout apprentissage, a fortiori linguistique, comporte des phases de ma�trise provisoire, interm�diaire. L'erreur fait partie int�grante de cet apprentissage. Pour Christine TAGLIANTE (3) , " les

enregistrements) . (Non instrumentée) Demande beaucoup de temps . Accès au terrain, recueil des données, traitement, communication. Cadre théorique . A la suite de D.H Hymes (ethnographie de la communication) et de Gumperz (socio interactionnelle) . Linguistique anthropologique "étude du langage a l'intérieur de l'anthropologie" proche de la sociolinguisistique (Duranti 97) Langage comme instrument social Parler comme pratique culturelle Formes de participation . Un camp interdisciplinaire ouvert aux

Exposition Linguistique  On va parler du texte explicatif, les phénomènes de reprise qu’on trouve dans un texte explicatif et sa structure séquentielle. Avant aborder ces sujets il faut définir ce que c’est qu’un texte explicatif. Comme tous les textes, il est informatif parce qu’il donne des informations nouvelles pour le lecteur/récepteur mais le texte explicatif donne des informations avec lesquelles le lecteur/récepteur pourra faire un enchaînement causal ou établir des liens logiques. Autrement

sa pauvreté lexicale et l’absence de noms est compensée par l’ajout constant du pronom adverbial « y ». On se souvient tous de l’emblématique « Y’a bon » du chocolat en poudre Banania. Plus sérieusement, le « petit noir » est aussi un « outil » linguistique qu’emploient les colons sur le mode de la dérision et de la parodie pour se moquer des noirs en général qu’ils considèrent de toute évidence comme inférieurs (l.1 « le sauvage »). Il est également utilisé par les serviteurs noirs « civilisés »

pragmatique et la communication publicitaire en mettant l’accent sur les différents niveaux de l’énonciation. Ensuite, nous essaierons d'éclaircir les éléments de cette communication argumentative en évoquant les fonctions du langage aussi bien au niveau linguistique qu'iconique. Enfin, du point de vue sémiologique, nous nous intéressons à la publicité en considérant l'objet d'étude comme un ensemble de signes dont nous décrirons le fonctionnement interne. Dans un second temps, nous passerons en revue les éléments