Imam

Al Imâm Muhammad Ul Amîn Ibn 'Âbidîn Al Hanafî (qu'Allâh lui fasse miséricorde) a dit : « Il est dit dans Durr Ul Mukhtâr : « Il est interdit de consommer du banj et du hashîsh. » Le banj est une plante connue sous l'appellation shaykrân dans la langue arabe. Elle grise, provoque la somnolence, abruti et engendre des hallucinations, tel que cela fut expliqué par le Shaykh Dâwud dans At Tadhkirah. Il est dit dans Al Qâmus : « La plus nocive est la variété rouge, puis vient ensuite la noirâtre

loin de la ville de Kénitra. L’exécution est faite par les militaires après une décision du ministre de la Justice. Plusieurs personnes doivent y assister, notamment le président de la Cour pénale qui a prononcé la sentence, l’avocat du condamné, un imam et deux adouls. | |

Il travailla comme notaire à Djenné en même temps qu'il était suppléant de l'imam de la mosquée de Sankoré. À partir de 1627, il devint l'imam titulaire de ladite mosquée. Vers 1637, Es Sa'di regagne Tombouctou, sa ville natale, où il sera nommé imam. Plus tard il occupe la charge de Kâteb, c'est-à-dire secrétaire de gouvernement. Ce qui l'amène à jouer un rôle significatif dans les affaires politiques de son pays sous protectorat marocain. Il accumula des missions de médiation politique de grande

utilisés par les protagonistes pour justifier la polygamie dans une si longue lettre sont d'ordre religieux et social. Jetons un regard sur la justification des personnes déléguées par MODOU FALL pour annoncer son entrée dans le cercle des polygames. Imam- Quand Allah le tout puissant met cote à cote deux êtres, personne n'y peut rien. -Dans ce monde rien n'est nouveau. - il n'a fait qu'épouser une deuxième femme.- Dieu lui a destiné une deuxième femme, il n'y peut rien. L'argument religieux est

ces derniers, on peut citer le nom d’Al Hadji Malick. Cheikh As-Saïdi Al Hadji Malick Ibn Uthman Ibn Demba Ibn Chamsidine SY1 (1855-1922) est un érudit appartenant à l'école de jurisprudence malikite et à l'école de théologie ash'arite, ainsi qu'un imam de la confrérie soufie tidjane, une voie spirituelle musulmane qu'il contribua largement à diffuser au Sénégal et en Afrique noire. Biographie Fils de Sidy Ousmane Sy et de Sokhna Fatoumata Wade Wele, Malick Sy est né à Gaé (Gaaya en wolof) près

public et organisation politique Avant le Protectorat, le Maroc était régi par des pouvoirs théocratiques, despotiques et patriarcaux personnifiés par le Sultan. Il n’y avait pas de séparation de pouvoirs ;le Souverain était à la fois Souverain et Imam(chef religieux) et, le Makhzen, subordonné à celui-ci, assurait l’administration centrale. -Pendant la période du protectorat, le traité franco-marocain signé le 3OMars 1912 consacre la souveraineté spirituelle du Sultan qui, une fois destitué des

fou de rage, il essaie d'étrangler Laila. Mariam l'abat d'un coup de pelle. Mariam est condamnée et exécutée publiquement dans le grand stade de Kaboul. Laila, qui entretemps a retrouvé Tariq, fait un pèlerinage à la maison d'enfance de Mariam, où un imam voisin lui transmet une boîte destinée à Mariam: c'est l'héritage que le père de Mariam, repentant, lui destinait pour se faire pardonner. Laila garde la somme en souvenir de son amie. Tout va donc bien pour le couple Tariq et Laila qui s'installe

29 10 65 1626, avenue Al Majd, hay Massira C.y.m.  Mahmoud Traiteur 05 37 76 66 31 8, rue Al Araich (Larache), Hassan  Manzeh Diafa s.a.r.l. 05 37 75 95 89 6, bd Mehdi Benbarka -ex Béni Znassen  Mataouna s.a.r.l. 05 37 63 90 71 Bd Mohammed VI -ex Imam Malik ang. Ahmed Refaai, c.com. Prestige  Maymana Traiteur s.a.r.l. 05 37 65 23 70 248, bd Mohammed VI -ex John Kennedy, Souissi  Mounassabat AlHamraa 06 76 32 05 67 1, avenue Al Majd, résid. Bahja mag.1 Amal 5  Patachou s.a.r.l. 05 37 79 15 50 477

musulmane qui doit désigner le calife. * Le califat et imam : terme khalifat ou calif, est traduit du mon arabe khilafa, donc succéder suivre, dans le coran le terme khalifa est désigné à adam successeur des anges et de dieu. * Dans les prérogatives prophétiques de Mohamed, rien ne donnaient lieu à la succession, l’expression fut donc récusée par l’orthodoxie islamique. * Dans les textes juridique on emploie plutôt le terme Imam, chef, car le calife est bien le chef de la communauté au nom

cette situation a par conséquent fait d'objet de plusieurs grands de débats. En effet, pendant que d'aucuns critiquent vivement ce soulèvement qui secoue le monde arabe en le qualifiant de simple mouvement ou même comme Saleh Ben Mohamed Al-Taleb, Imam de la Mecque de "chaos religieux et moral". D'autres penseurs parlent d’une vague de révoltes basée sur la dynamique interne constituant selon eux le point de départ des transitions démocratiques dans ces pays. On se demande ainsi si la révolte