Image Décrite

ardentes » révèlent le feu intérieur qui anime les voyageurs. Baudelaire nous décrit ensuite la composition de cette tribu : elle est composée de femmes et d'enfants « en portant ses petits sur son dos, ou livrant à leurs fiers appétits le trésor toujours prêt des mamelles pendantes ». « Le trésor » est une métaphore représentant le lait que boivent les enfants bohémiens. Dans ces deux vers Baudelaire nous donne une image assez négative des bohémiens ; il compare les bohémiennes à des animaux « mamelles

pense que les gens n'arrivent plus à distinguer le réel, situation que les empêche de délibérer, de réfléchir, de savoir dans quel monde ils se réveillent chaque matin. Il s'indigne de la théâtralisation de la vie menée par les publicitaires. Ceux-ci décrits d'une manière fort crue par l'écrivain F. Beigbeder, qui nous montre un personnage qui ne mâche pas ses mots. Pour ce publicitaire fictif, la création de besoins artificiels et de rêves impossibles n'a aucun secret, pour lui le malheur et la frustration

vue d’une image ou l’écoute d’un son. Dans « Fantaisie » Nerval nous présente un rêve qui s’impose à lui lorsqu’il pense à une mélodie particulière « Un air très vieux, languissant et funèbre, Qui pour moi seul a des charmes secrets. » Par cette mélodie , le poète replonge dans une période ancienne et imagine tout un décor qui devient au fur et à mesure une scène de théâtre dans laquelle il est acteur (Verlaine reprend plus tard cette idée dans les fêtes Galantes ou il nous décrit lui aussi

concernant un cadre fantastique il y a le personnification des cloches : « Des cloches…un affreux hurlement ». ça signifie un cri à Dieu de l'aide. Ensuite, on voit les créatures de l’enfer qui prospèrent « des esprits errants et sans patrie ». C’est une image des fantômes, de la mort-vivant, peut être qui sortent des tombes du cimetière. L'impression est formée que le mal triomphe, et on reste effrayé et désorienté. Le inconfort physique inflige le personnage du poème ; il est torturé par plein de choses

de son neveu à partir de 1551, le rendent un candidat idéal pour supporter le cardinal pendant son séjour romain. Avant 1553 notre poète partage avec les humanistes français une conscience des origines culturelles de sa pensée qui lui fournit une image familière de Rome, lieu emblématiques chargé de symboles, source du savoir classique, d’autant plus étincelante de son prestige et de gloire aux yeux de Du Bellay qui s’est appliqué, pendant les années de sa jeunesse, à un travail forcené pour s’approprier

l’œuvre : la renaissance physique du Colonel Chabert aussi difficile soit-elle, n’est rien en regard de l’épreuve qui consistera à retrouver son rang social. I – Un récit haletant qui suscite l’attention du locuteur et du lecteur Adresses à Derville, image du lecteur et volonté de le convaincre de la réalité de son récit le « Monsieur » initial repris l.118 et en dernier mot du texte ; les « vous » l.85-86 et la prétérition « dont je ne vous donnerais pas une idée en vous entretenant jusqu’à demain »

inconsciente narcissique ? + donner un exemple C’est le fait de rechercher un être qui ressemble à ce que l’on pense être ou à ce que l’on voudrait être, qui est ou qui a tout ce dont on rêvait. C’est-à-dire un faire-valoir, un miroir qui renvoie une image positive de soi-même. Exemple : Virginie a flashé sur Christian, pourquoi ? Elle le trouvait merveilleux, riche, sûr de lui-même, gai. Il possédait tout ce qu’elle rêvait d’avoir : une famille, le père et la mère dont elle a toujours rêvé. Son amour

parlerons plutôt d’appropriation de formes déjà expérimentées par d’autres cinéastes au culot formel plus ou moins affirmé. Mais de quelle forme parlons-nous ? Mais de celles qui font que le cinéma est un langage (voir le découpage séquentiel où sont décrits les évènements de la mise en scène caméra), un langage comme tout autre forme articulée, c'est-à-dire en évolution, structurelle et culturelle : les transformations s’opérant par les avancées technologiques (ici un usage majoritaire du procédé «Steadicam»)

est ainsi proche de la réalité. Mais elle ne se contente pas de la dépeindre ; elle l'éclaire, redonne vie au quotidien et à la banalité, grâce au langage poétique. Ainsi, les poètes s'attachent à parler de la réalité, dans toute sa modernité ; on décrit les objets familiers pour les faire apparaître sous un jour nouveau en leur prêtant un éclairage singulier. La poésie nous fait percevoir la réalité en nous éloignant de nos habitudes de perception grâce au langage poétique. Paradoxalement, elle peut

peut y ajouter le point commun : le comparé qui est la réalité ; le comparant, l’élément qui fait image ; l’outil de comparaison (comme, pareil à, tel que, ressembler à, plus… que, etc.). Exemple : La lampe brille comme une étoile. La lampe brille comme une étoile le comparé le point commun l’outil de comparaison le comparant La comparaison a une double valeur : elle explique par une image ; elle met en relation deux univers. LA MÉTAPHORE  Elle établit une assimilation entre deux termes