Image Décrite

« De Gaulle est un de nos grands écrivains latins de langue française ». Il illustre aussi cette culture, faisant allusion aux différents genres littéraires qu’il réussit avec aisance à appliquer aux situations, comme lors du banquet de Staline qu’il décrit comme « un drame bien monté, où l’intrigue demeure en suspens tandis que les péripéties se mêlent et se multiplient jusqu’à l’instant du dénouement. » il use ici du vocabulaire commun à la dramaturgie, montrant ses connaissances des genres et des

passage un rythme légèrement différent du reste du poème, comme si l’auteur voulait illustrer le désordre que les questionnements et les émotions créés dans son esprit. De plus, en allant plus en profondeur, on peut percevoir que la femme est encore décrite sous un angle selon lequel sa beauté est d’une telle ampleur, que l’auteur reste indifférent quant à son ignorance de la couleur de ses cheveux, et ne se souviens de rien de son nom si ce n’est qu’il était beau. En conclusion, on peut sans doute

qui se veut digne héritier des plus grands noms, en commençant par la figure mythique d'Orphée. On se demandera donc que qu'elle figure du poète du Bellay nous présente ici. I. Du Bellay propose une image prestigieuse du poète Le recours au mythe Du Bellay construit une image prestigieuse du poète en s'appuyant sur la tradition mythique et la renommée des grands poètes de l'Antiquité. Il met ainsi en évidence des exemples à suivre, à imiter (il reprend ici la théorie de l’imitation

Pk ? II. L’image de la femme A. La beauté de la passante met en valeur sa silhouette « longue, mince » le ryhtme du vers = crescendo. Insiste sur la grâce de cette femme. métaphore zvec la statue : œuvre d’art > inaccessible le poète décrit sa tenue vestimentaire : vaporeuse, d ans le mvmt de sa démarche. Seulement, pk est t-elle habillée en noir ? B. Une femme mystérieuse et duelle ( 2 côtés) pk habillée en noir ? attirance due au mystère : aucune indication sur son identité

orgueilleux- c´est-à-dire les Tchèques ne le sont pas). On peut soutenir que chaque hétéro stéréotype négatif est en même temps un auto stéréotype positif. Alors, c´est un porteur assez important, parce que le stéréotype se rapporte avant tout à lui et à son image émotionnelle du monde. Comme on a déjà dit, les stéréotypes sont les généralisations des connaissances concrètes qui permettent aux hommes s´orienter dans le monde complexe. Ils sont un produit des émotions, ils ne consistent aux expériences personnelles

approximation grossière : le niveau de l’énoncé correspond à l’ordre du « contenu ») ; le niveau de l’énonciation concerne les modalités du dire. Par le fonctionnement de l’énonciation, un discours construit une certain image de celui qui parle (l’énonciateur), une certaine image de celui à qui l’on parle (le destinataire) et, par conséquence un lien entre ces « places ». » « Un même contenu […] peut être pris en charge par des structures énonciatives très différentes : dans chacune de ces structures

indicibles », « deuil cruel ». Il cherche à apitoyer son auditoire ; celui qui écoute son histoire peut s’identifier au personnage car l’événement est raconté à la 1ère personne (je, nous). Un récit épique Le texte est un récit épique, c’est-à-dire très imagé, très visuel, avec des adjectifs qualificatifs et des comparaisons poétiques. Dans le récit d’Enée, le combat se passe de nuit. Il y a un contraste entre la nuit et le feu de l’incendie. C’est très visuel, la couleur chaude rappelle la couleur du

en 1927, peint de nombreux paysages marins et côtiers. Dans le poème « Marseille » rédigé en vers libres, il propose une description minutieuse et élogieuse de la cité phocéenne, chère à son cœur. Quelle image de Marseille se dégage du poème ? Nous verrons tout d’abord comment Marseille est décrite par le poète, puis quelle relation le poète entretient avec Marseille. DEVELOPPEMENT I. Eloge de Marseille Le poète veut proposer une description précise, sensuelle et affective de la ville.

que peu « de fruits vermeils » autrement dit ,de poèmes dans « son jardin » c’est-à-dire son âme de poète. Par conséquent, le poète nous donne ici une image très négative du temps qui a détruit toute sa production (poèmes) Ensuite, arrive « l’automne des idées » qui est déjà annoncé par la première strophe (été), le poète nous décrit ici son présent et évoque son manque d’inspiration du au « ravage » de son passé « et voilà que » et ces efforts pour retrouver l’illumination et le

tableaux successifs Les quatrains sont construits comme autant de volets/ de panneaux dans un tableau, présentant à chaque fois une scène différente. Ainsi, dans le premier quatrain, une « arlequine » s’est déshabillée et « se mire dans l’étang ». Cette image serait la métaphore du mythe de Narcisse qui s’isole en confondant la réalité avec son reflet. Et c’est ici la fiction qui l’emporte, par la préposition « dans l’étang », qui pose un engloutissement, une plongée dans l’imaginaire, dans la fiction.