Image Décrite

Baudelaire 1. « Baudelaire décrit souvent les manifestations de l’injustice sociale, mais il est difficile d’identifier sa propre position là-dessus. » S’agit-il d’une analyse pertinente du Spleen de Paris ? Expliquez votre position en vous référant au texte. L’ami des misérables Mon choix s’est porté sur ce sujet, car pour moi, Baudelaire a toujours représenté le défenseur par excellence des plus démunis. À mon avis, un poète aussi engagé et aussi grand que Baudelaire est toujours

croyant ingénûment y aller pour assister à une représentation, quand personne n'y vient que pour observer, s'informer des nouvelles, entreprendre quelque discussion dans le monde : certainement pas pour voir un spectacle. Une telle ambiance a son image dans le style suggestif et rapide de l'écriture de Vivant Denon. La vivacité et la fougue du jeune héros se retrouvent dès les premières lignes du conte, dans des juxtapositions qui montrent bien l'absence de réflexion poussée de la part du héros sur

: " la voix des foules ", " cette mer vivante et pullulante " - regard vertical dû à la description - ville est décrite comme un lac et les parcs comme de feuilles de nénuphar Paris est comparé à une femme : - " s'alanguissait " marque que la ville s'abandonne au repos - " gris doux et tendre " : ressemble à une toilette de femme avec des bijoux : " piqué ça et là " * Une image fantastique : - allusion au mythe de Danaé dû à la poussière d'or - ville comme dans conte des Mille et une nuits

deux tableaux en contraste de deux mondes opposés irréconciliables : la ville, que le poète veut fuir mais où « se plaît » la « parisienne » à laquelle il s’adresse, et les « bois verts » dont le calme l’attire. De la première, le poème donne une image négative, peu engageante. 1. Un tableau désordonné et violent La « ville » est présentée comme un univers statique. Les articles définis qui la déterminent, elle et ses éléments – « la ville », « du gaz », « la réclame » – lui confèrent une présence

disant qu’elles pensent « musicalement », « sans arguties, sans syllogismes, sans déductions ». Tout de suite, le poète nous présente des petites signes de sa douleur existentielle, en parlant de l’intensité qu’il éprouve à cause de la situation décrite, qui lui donne « un malaise et une souffrance », mais encore en la qualifiant de « positive ». Ensuite, l’immensité du ciel, qui appartenait à son monde idéal et sacré, se transforme en « la profondeur » du ciel qui le consterne, la « mer » se transforme

l’horreur / des images révélatrices des états d’âme l’image de la souffrance/ du malheur : - le son : «Criant et lamentant» (1919) «Un silence, un effroy par les troupes se glisse» (1951), - couleur «Le sang tiede jaillit, qui la place tacha» (1965) - image de la mer + métaphore filée «découlant à val» «canal» (2089 2090), - description physique des partisans et de Sédécie «pâle» «maigre» «dos courbé» - l’image du tyran : comparaison «Comme un bucher farci de gros charbons ardans» : une représentation

travers celle-ci le poète fait passer une image de la vie. Etude des axes I Un monde vivant : On peut en effet remarquer que les êtres qu’évoque ce poème sont des êtres qui ont pris vie grâce à une personnification. On voit que le navire prend la parole « je » et revendique sa véracité avec des verbes au présent. Le « je » est très présent en début de vers « je cours dessus les eaux » qui sous entend des jambes, « portant toujours le front » image de la proue, « me crevant le sein » qui revêt

Sujet : Lamartine définit ainsi la poésie (1834) : « C’est la langue complète par excellence, qui saisit l’homme par son humanité tout entière, idée pour l’esprit, sentiment pour l’âme, image pour l’imagination, musique pour l’oreille » Commentez cette définition à la lumière de vos connaissances des œuvres poétiques. corrigé entièrement rédigé L’œuvre poétique, à l’instar de toute œuvre littéraire digne de ce nom, vise un but précis : la parfaite symbiose entre l’éthique et l’esthétique

apparaît en dehors de tout acte créateur logique, et pourtant. La reproduction biologique constitue notre repère principal, et il est logique qu'il y en ait d'autres. Celui décrit dans le conte est le reflet d'une autre réalité, celui de la création divine. Et oui, rien que cela ! Rappelez-vous : "Dieu créa l'homme à son image", "Il le façonna avec de l'argile", etc. Pour créer un système autonome, il faut avoir préalablement finalisé sa forme, ses organes et fonctions. C'est ce que nous faisons lorsque

morte. En effet, il commence par nous dire qu'il n'arrive pas a se rappeler de son visage : Je m'obstinais encore a me représenter le visage de M'man Tine, l.1. Il ne perçoit pas cette partie d'elle car l'image de son visage ne lui vint pas : « cette image se refusait »l.2. Mais par la suite, un souvenir de sa grand-mère lui revient et le marque. il a une sorte d'illumination. Elle est perçu par le fait que le troisième paragraphe de l'extrait ne présente que ces deux mots : « ses mains. ». Cela nous