Image Décrite

tradition moralise du XVII : c'est un moraliste virtuose qui s'exprime a) . Recherche d'une grande expressivité par le recours à l'allégorie Ce sont essentiellement des verbes d'action qui permettent de caractériser le de façon concrète et imagée à travers des scènes de vie mondaine : le repas (l.3 à 12), le sermon, le théâtre (l.13), le départ en villégiature ou voyage (15 à 18). Les nombreuses répétitions qui tentent toutes de décrire l'égocentrisme donnent à ce défaut des manifestations

du fer froide. Strophe 5 La strophe donne une impression de lourdeur en contraste avec les précédentes. Vers 1 : « À te voir » montre que c’est l’auteur qui observe. Marcher en cadence ramène la thématique de la danse. L’on peut s’imaginer une image très sensuelle d’une femme qui danse. Vers 2 : l’abandon reprend l’indolence du départ. Vers 3 : « on dirait » est un conditionnel qui montre que le serpent qui danse est une interprétation de l’auteur. Le titre est enfin exprimé clairement dans

de sa mère Agrippine. Dans cette scène Néron l’empereur décrit a Narcisse qui est le confident de son rival ses sentiments envers Junie. Comment le récit de l’enlèvement de Junie révèle-t-il de la part de Néron un amour sadique ? Après avoir analysé le récit de l’enlèvement de Junie nous opposerons un Néron amoureux à un Néron sadique. Le récit de l’enlèvement de Junie est présentée a l’aide d’une hypotypose c'est-à-dire une image, un tableau, Néron peints les faits dont il parle comme

s'apparente au songe en comparaison avec le vent.thèmes un certain nombre de figures et de sujets expriment l'incertitude et la stabilité à travers les arts et la littérature de l'époque. 1. mouvement et inconstance la figure de l'inconstance décrit et exprime les changements d'un monde instable. l'eau est à l'image même du mouvement, devient un élément récurrent en architecture à travers les fontaines, mais aussi en littérature (ex : la mer, l'eau dans le texte complémentaire de cyrano de

des corps et de la couleur qui est très forte. C'est pour ces raisons que cette image ne choque pas, car on nous montre une illusion, on nous propose un show, un spectacle. De plus, le photographe présente un tour de magie bien connu du grand public : celui de la femme coupée en deux. On n'y croit d'autant moins qu'on sait que ce tour n'est qu'illusion, un tour de passe-passe. Et pourtant, à travers cette image, selon moi, l'artiste dénonce le fait que la femme est traitée comme un objet qu'on

ce mal implacable. Ainsi, dans ce poème, l'auteur déplore la mortalité de l'espèce humaine dans son ensemble face au temps. Nous évoquerons donc tout d'abord le temps perçu comme une souffrance, puis l'universalité de ce mal que Baudelaire décrit succinctement dans « Enivrez-vous ». Nous nous intéresserons en premier lieu à l'aspect du Temps comme un mal. D'abord, la personnification du « Temps » (l.3 et 18) traduit par l'emploi d'une majuscule au nom, dénote qu'il n'est pas entendu

interrogative. Il souhaite interpeller le lecteur grâce au registre pathétique du poème. Il met en opposition sous la forme d’une antithèse « tous » et pas « un seul ». En fait tous ces enfants devraient rire. Il suscite l’intérêt du lecteur. Victor Hugo décrit avec réalisme l’état physique des enfants. Il insiste sur leur mauvaise santé « que la fièvre maigrit; quelle pâleur ! », leur fatigue « bien las ; rachitisme ! ».Au vers 2 et 3, Hugo utilise une anaphore « ces » qui est un adjectif démonstratif afin

interrogative. Il souhaite interpeller le lecteur grâce au registre pathétique du poème. Il met en opposition sous la forme d’une antithèse « tous » et pas « un seul ». En fait tous ces enfants devraient rire. Il suscite l’intérêt du lecteur. Victor Hugo décrit avec réalisme l’état physique des enfants. Il insiste sur leur mauvaise santé « que la fièvre maigrit; quelle pâleur ! », leur fatigue « bien las ; rachitisme ! ». Au vers 2 et 3, Hugo utilise une anaphore « ces » qui est un adjectif démonstratif

pédagogie traditionnelle 1) Une critique très imagée En deuxième partie, nous allons voir la critique de la pédagogie traditionnelle exprimée par l’auteur lui-même. Le reproche principal de Montaigne fait à la pédagogie traditionnelle est de privilégier l’accumulation des connaissances par le biais de « la méthode du par cœur » « répéter les mots de sa leçon » (l.29). Il critique cette méthode à la ligne 9 « si l’on versait dans un entonnoir » une image désignant le gavage de l’oie, qui a une connotation

Or c'est ce qu'on attend de vous ! Jamais « cela montre bien que » c'est paraphraser le texte. Construire le devoir comme une succession de remarques jamais liées ensemble. b) je ne finis pas mes phrases avec les mots de l'auteur La Bruyère décrit la débauche des jeunes courtisans qui « boivent de l'eau-forte » et « ont des amours ridicules » paraphrase pure et simple : vous ne faites que dire ce que dit le texte : or on attend de vous que vous l'expliquiez ! Solution= « les jeunes courtisans