Image disque

parties, ainsi que la lumière (partie gauche beaucoup plus sombre que la partie droite). 2- Quatre parties correspondent aux différents groupes de personnages :-femme à l’enfant (L'enfant mort dans les bras de sa mère se rapprochent-ils d'une autre image à portée universelle : celle d'une piéta ? ) et taureau (symbole de la force brute, de la cruauté )-cheval (symbole du peuple sacrifié) et lampe(symbole de l’espoir) ;-les deux femmes ;-le personnage bras en croix dans les flammes (référence au « Tres

actualisé, au fil de ses emplois, dans l'une ou l'autre de ses réalisations particulières. Etudier le lieu commun que constitue le jardin, c'est donc observer une constellation de termes. Autour de ceux-ci, se construisent les fonctions du topos , image multiforme qui épouse le contexte et le révèle tout à la fois. On ne peut donc parler de ce lieu commun en passant sous silence son rôle dans un cadre textuel ou pictural précis, puisque c'est ce rôle même qui lui donne sa forme. Par exemple, le jardin

jeunesse. La deuxième partie s’oriente davantage sur les pistes d’analyse qui permettent de dévoiler les usages sociaux d’Internet par les jeunes adultes et leur inscription dans la culture de l’écran : Internet permet le lien, représente un espace à son image et met en forme une nouvelle manière d’accéder au savoir. Ce papier se fonde sur une enquête empirique à la fois quantitative et qualitative. L’accent a été mis sur des profils de pratiques marquées auprès de jeunes adultes ayant un usage régulier

arriver à son but, une fortune rapide, il s'arme d'une cruauté sans limite face à la capitale et sa passion pour son rêve semble tourner à la folie lorsqu'à travers son discours il personnalise les rues et immeubles de la ville pour apporter une mort imagée de ceux-ci : « Paris, […] les veines ouvertes ». apparaît alors un Saccard fou et obsédé par son désir de réussite, ses gestes de la main, telle une arme qui découpe Paris renforce cette folie des grandeurs : « De sa main étendue […] comme un coutelas »

delicieuse pareillement et courageuse, ennemie professe et irreconciliable d'aigreur, de desplaisir, de crainte, et de contrainte, ayant pour guide nature, fortune et volupté pour compagnes : ils sont allez selon leur foiblesse, faindre cette sotte image, triste, querelleuse, despite, menaceuse, mineuse, et la placer sur un rocher à l'escart, emmy des ronces : fantosme à estonner les gents. Les Essais, livre Ier, chapitre XXV - Montaigne Annonce des axes Commentaire I – Le corps, représentant

ligne 10. Dans cette énumération très imagée, le vice est décrit comme présent dans toutes les sources d’eau de Paris : « bassins, jets d’eau, pluie, ruisseaux ». - La pluie est même décrit comme pénétrante, personne ne peut échapper au vice, il est en tout être sur Paris. - Paris est même décrit clairement comme un lieu de débauche, on peut lire : « La ville n’était plus qu’une grande débauche de millions et de femmes (l.6-7) b) Un extrait imagé - Il y a tout d’abord comme dit

Ma représentation est un homme se regardant dans un miroir, fendu, brisé. Cet homme contemple son reflet, presque toujours déçu de ce qu’il y voit, y plaçant pourtant encore des espoirs. On dit que Dieu a fait l’homme a son image, mais dans mon interprétation, ce que recherche l’homme dans ce reflet est le Dieu qu’il n’a jamais vu et dont il se fait une représentation à la mesure de son imagination, c’est à dire, le reflet de lui-même, en moins imparfait. Cette scène peut également rappeler

jamais achevée : « doit la cultiver » : injonction. - Mépris pour ceux qui s’autoproclament (sans être) : égoïsme contre « je est un autre », distance critique. ..3. Cultiver l’extraordinaire - Tiret + « mais » : autre aspect pratique, description imagée : « se faire », réfléchi (= « cultiver »), « âme monstrueuse » : monstre : ce que l’on montre, l’hors norme. Montrer son âme ? oxymore : cultiver l’extraordinaire sans soucis des conventions. Un premier exemple : les comprachicos, voleurs d’enfants

l'attirance pour la chute, déchirement à l'origine de l'envie nommé spleen, indissociable de la condition humaine et qui finit par triompher. L'albatros traduit chez Baudelaire la conscience d'être différent des autres. Baudelaire a recours à une image très suggestive pour dépeindre sa propre condition dans une société qui l'ignore complètement. L'image de l'albatros capturé évoque l'idée d'un être totalement étranger au monde qui l'entoure. Baudelaire faisait partie de la génération des poètes maudits

prononçait avec un [k], avec un… y (u !) grec, il est vrai…. La métonymie de «verdures» (pour : la verdure de ses frondaisons) accentue l’impression de fusion. Sans souci de logique, toujours dans le cadre de l’émotion à faire naître chez le lecteur, une image biblique sourd, celle de Moïse (après la nature, et sa déesse païenne… un tel mélange est fréquent chez Baudelaire qui oscille entre son mysticisme chrétien, et sa sensualité païenne, pour ne pas dire son manichéisme), le fondateur de deux grandes