Illusion auditive

spectacle de la jeune fille qui est entrain de danser dans le vaste espace laisse libre entre la foule et le feu. Il croit voir une déesse, une nymphe, une créature supérieure mais au moment ou il voit la pièce de cuivre jaune qui se détacha, toute illusion disparue. On essayera de répondre à la problématique suivante : Comment ce premier portrait de la belle gitan engage-t-il le lecteur dans l’intrigue du roman ? On divisera notre analyse en deux parties, l’émerveillement de Gringoire avec trois sous

d’abords sur nos observations tirés de nos expériences. Ces observations sont donc le fruit de nos sens. De ce fait, il paraîtrait évident que la science connaît le réel car nous avons l’impression que ce que nous percevons est réel. Or c’est une illusion de considérer comme seul réalité celle que l’on voit par les sens. Nous sommes prisonniers de nos perceptions puisque nous n’avons pas la capacité d’aller au-delà. Ce qui fait de nous des ignorants. Et l’ignorance n’est pas compatible avec la science

qui, fatalement, lui échappe ? I- La législation de l’inconscient. II- Problèmes éthiques posés par la notion de fatalité III- L’homme demeure un individu libre en dépit de la notion d'inconscient ’’Est illusion le leurre qui persiste même quand on sait que l’objet supposé n’existe pas.’’ Kant dévoile ici la part de simulacre dans l’illusion en la qualifiant de ’’leurre’’. En effet, l’illusion, du latin ’’illudere’’, est une tromperie qui semble se jouer

la liberté tend à être acquise par l'ensemble des individus. Or, si l'homme a le sentiment de la liberté et s'il agit comme s'il était libre, l'est-il réellement ? Selon le philosophe Spinoza, la liberté telle que la conçoit l'homme n'est qu'une illusion; elle n'est que la simple marque de son ignorance des causes qui le déterminent. Dans un premier temps, l'auteur expose le principe d'un déterminisme universel qui régirait tout objet de notre monde. Puis, il affirme que n'ayant pas conscience

qu'il aurait effectué dans cette oeuvre, celui-ci pourrait très bien répondre: "Ce n'est qu'une illusion". En effet, il respecte bien les unités qui régissent le théâtre de l'epoque (temps, lieu, action) et ceci grâce à l'outil de mise en abyme qu'il utilise énormément tout au long de la pièce. Ce que voit le spectateur n'est qu'une illusion et, en ce sens, son argumentation est révolutionnaire. Cette illusion, cette vérité mensongère est au coeur de la pièce et porte une valeur éducative, non seulement

réalité ou bien une vérité profonde surpassant l’aspect du clinquant et de la fausseté. Nous verrons d’abord comment le théâtre cherche-t-il à faire oublier cette illusion de vérité, pour créer la confusion chez le spectateur, et par la suite nous verrons s’il parvient dans les faits à le réaliser ou s’il reste malgré tout une profonde illusion. Pour convaincre le spectateur que le théâtre est une représentation qui se veut la plus proche de la vérité, il met des moyens qui créent chez lui cette confusion

marquent les distance entre image et réel, entre les deux tableaux imbriqués l’un dans l’autre, et donc, entre le vrai et faux, authentique et artificiel. Non seulement le peintre provoque l’illusion, mais en plus, il nous indique de quelle façon cette illusion survient. De ce que nous voyons, « nous n’en avons qu’une représentation en nous », image illusoire, mais image quand même. De même, l’échange entre le tableau sur le chevalet et le paysage relève aussi de l’illusion. Il s’agit chaque fois d’un mirage

peut être fausse a/ Le désir peut m’aveugler Opinion subjective Désir d’être quelque chose en particulier b/ Ma matière, mon être peut être différent de ce que je pense qu’il soit Vision de la réalité différente de celle que je me fais du moi Illusion de la liberté : Allégorie de la caverne, Platon c/ Il y a une part d’inconscience en moi Ma conscience à des limites et ne peux pas tout contrôler Différents niveau de conscience, Leibniz Les nouveaux essais sur l’entendement humain Connaissance

le romantisme - la scène de la calèche et de l’au-revoir ( topo de la vue) Frédéric ouvrit sa fenetre => on imagine qu’il va lui dire au revoir , avec un mot, un geste. Elle ne le fait pas, elle fait ‘ signe d’avancer à un fiacre” Tout est illusion, rien ne marche comme dans le cliché de l’adieu, pas de larmes, pas de cris, pas de mots. b) la structure de la fin de l’extrait - La structure en phrases très courtes donne à l’ensemble un ton très sec, très dur comme le martelement des roues

L’art critique la société. Sans société il n’y a pas d’art ou d’accès au beau, et sans société, il n’y a pas d’art. Il y a donc différentes visions du beau et c’est ce qui caractérise l’individualité des artistes. En conclusion, l'art est une illusion, il est subversif et dangereux. Il représente en outre une activité improductive, un luxe inutile et élitiste qui peut être sacrifié aux nécessités de la société et de l'économie. Toutefois, l'art est plaisir du beau, communication, connaissance