Ile Des Esclaves Idées Lumières

: Le corpus qui nous est proposé est composé de trois extraits de pièces de théâtre allant de l’Antiquité romaine (Plaute) au XXe siècle (Beckett), en passant par le XVIIIe siècle (Marivaux). Les deux premières (La Marmite de Plaute et L’Île des esclaves de Marivaux) sont des comédies. La troisième (En attendant Godot de Samuel Beckett) fait partie du théâtre de l’absurde et peut être considérée comme une farce tragique. Quelles que soient ces différences d’époque et de genre, ces trois extraits

soi-même est de considérer ce que fait de nous la solitude. Existe-t-il une personnalité sans les autres ? Nous examinerons trois cas de solitude : celui des enfants sauvages, le cas de certaines maladies mentales et enfin le cas de Robinson dans son île déserte. L'exemple des enfants sauvages est celui d'une solitude totale, depuis la prime enfance. Victor, abandonné dans les forêts de l'Aveyron alors qu'il devait avoir trois ou quatre ans, a vécu ensuite totalement seul, hors de la société, jusqu'au

humanistes enviables. 1534 Gargantua de Rabelais, L'abbaye de Thélème 1699 Les aventures de Télémaque de Fénélon 1996 Les fourmis de Bernard Werber Une robinsonnade < Robinson Crusoé de Daniel Defeo → aventure d'une petite communauté humaine sur une île qui prend conscience de son humanité, de la difficulté de survivre, qui fait preuve d'une grande intelligence voire d'une conscience supérieure. Cette communauté retrouve la vie naturelle, première de l'être humain, en réorganisant le réel par le travail

fait de nous la solitude. Existe-t-il une personnalité sans les autres ? Nous examinerons trois cas de solitude : celui des enfants sauvages, le cas de certaines maladies mentales et enfin le cas de Robinson dans son île déserte. L'exemple des enfants sauvages est celui d'une solitude totale, depuis la prime enfance. Victor, abandonné dans les forêts de l'Aveyron alors qu'il devait avoir trois ou quatre ans, a vécu ensuite totalement

soi-même est de considérer ce que fait de nous la solitude. Existe-t-il une personnalité sans les autres ? Nous examinerons trois cas de solitude : celui des enfants sauvages, le cas de certaines maladies mentales et enfin le cas de Robinson dans son île déserte. L'exemple des enfants sauvages est celui d'une solitude totale, depuis la prime enfance. Victor, abandonné dans les forêts de l'Aveyron alors qu'il devait avoir trois ou quatre ans, a vécu ensuite totalement seul, hors de la société, jusqu'au

courant intellectuelle. Le courant utopique est plus courant, à une histoire que le terme en lui-même. Il s’appelle C’es un dialogue entre deux personnages, c’est un texte littéraire qui à alimenter la littérature utopique. Chez Platon, c’est une île. Littérature positive aujourd’hui mais chez Platon c’était une dystopie car Platon dans son époque, il ne supporte pas Athènes et ses mœurs légères. Il oppose la vielle Athènes qu’il idéalise et Athènes dont il vit. L’Atlantide c’est l’opulence et à

qu’il en manque toujours », dit Bossuet. Mais chacun définit différemment ces « pièces » du bonheur. Ainsi un moraliste philosophe comme Pascal, un fabuliste comme La Fontaine – pratiquement contemporains au XVIIe siècle – ou des philosophes des Lumières aussi différents – et presque « ennemis » – que Voltaire et Rousseau font tous dépendre le bonheur d’éléments différents. • Pour Pascal, être heureux c’est combler un « gouffre », un manque et remédier à une « impuissance », celle de l’homme.

Don Juan Marivaux Pierre Carlet de Chamblain de Marivaux Né le : 4 février 1688 Mort le : 12 février 1763 Métier : Dramaturge, romancier Questions étudiées et plans associés : ➢ a) Les personnages : maître et valet b) Le lieu et le moment : une île après un naufrage, époque grecque c) Une situation qui se transforme II. Une scène comique a) Comique de caractère : Arlequin b) Comique de gestes et de paroles c) Comique de situation : renversement Auteur également de : ➢ ➢ ➢ Le jeu de l'amour et

et Hésiode retranscrirent de nombreux mythes grecs. Couchés sur papiers les mythes font l’objet de discussions : les mythes ne mettaient pas en scène autre chose que les hommes. Xénophane (570 A.J.C) : les hommes ont créé les dieux à leur image. Esclaves : tâches matérielles ; Citoyens libres : vie politique et culturelle. Chacun pouvait se poser des questions d’ordre philosophique sans avoir recours à la tradition des mythes. Nous sommes passés d’un mode de pensée mythique à un mode de pensée fondé

détails ainsi que la scène, les gestes, les mouvements, les changements et même la lumière. Le langage scénique vient s’ajouter au langage présent et fait voir tout ce qui ne relève pas du simple échange dialogique, autrement-dit, tout ce qui est dissimulé dans le langage. Cette approche concernant des images scéniques nous conduit à approfondir les non-dits des pièces dramatiques d’Eugène Ionesco à travers les idées d’Arnaud Rykner selon qui il faut «redonner à la scène son pouvoir» (Rykner, 2010: