Il Y A Des Mots Qui Font Vivre

Les figures d’ANALOGIE La comparaison : La comparaison sert à rapprocher deux termes afin d'insister sur le fait qu'ils se ressemblent. On utilise en général entre les deux termes, un mot de comparaison: comme, semblable à, ainsi, tel... Pour qu'une comparaison soit valable, il faut : un comparé : c'est ce que l'on compare. un comparant : c'est ce à quoi on compare. un mot comparatif : comme... La nouvelle a rendu Pierre blanc comme un linge. "Pierre" est le comparé, "linge" est le comparant

Rêveries ………………………………………………………………..……………………4 §4. Invincible………………………………………………………………….…………………5 §5. Petite rose……………………………………………………………………………………5 §6. Nana………………………………………………………………………………………….6 §7. Tu es l’……………………………………………………………………………………….7 §8. Hymne à la poésie…………………………………………………………………………..7 §9. Désir………………………………………………………………………………………….8 §10. When I……………………………………………………………………………………...8 §11. Jamais trop tard…………………………………………………………………………...9 §12. J’ai………………………………………………………………………………………….10 §13. Malédiction………………………………………………………………………………

sont absents. -De façon générale, la liberté est un concept qui désigne la possibilité d'action ou de mouvement sans contrainte -Bonheur et liberté. Deux mots sacres qui, depuis toujours, font rêver. Deux mots qui sont devenus des concepts auxquels on accorde une importance démesurée. Deux mots qui ont toutefois tendance à s’éloigner au fur et à mesure que l’on semble s’en approcher. La question implique que soient mises en relation deux notions qui n’ont pas de rapport évident entre elles. Si l’on

Une œuvre se réfère à une production de l’esprit et du talent. Elle apparaît sous différentes formes comme une œuvre d’art, une composition musicale, un film ou encore un écrit. Quelle est la visée d’une œuvre ? Peut-elle à la fois faire rire et faire réfléchir ? En utilisant différentes formes d’œuvres je vais essayer d’apporter une réponse à cette question. Rire et réfléchir semblent être deux verbes qui s’opposent. Rire suppose le loisir et la décontraction tandis que réfléchir suppose du sérieux

d'échos, et à la fin s'effrangeant." Voici une phrase extraite de l'ouverture du roman et qui le définit. C'est en effet le tour de force que Sylvie réalise ici : faire le portrait d'un homme dont personne pas même lui ne sait qui il est... Magnus commence en allemagne où un enfant du nom de Franz-Georg et son ourson Magnus vivent avec les parents de l'enfant. Une vie qui semble paisible, ponctuée de soirée avec des amis et collègues du père de Franz-Georg. Je ne dirais rien de plus quant à l'histoire

dernier est un passage de Forêts, une pièce contemporaine écrite par Wajdi Mouawad en 2006. Ces trois extraits se situent à la fin de leurs œuvres respectives c’est-à-dire au dénouement. Ils ne présentent pas de thème commun et n’appartiennent pas ni à la même époque ni au même courant littéraire mais cependant nous nous demanderons quelles sont les caractéristiques qui font que ces trois textes relèvent du tragique malgré leurs apparentes différences. En premier lieu dans les pièces de Racine et

François-René de Chateaubriand, est un célèbre écrivain français du 19e siècle. Son roman autobiographique intitulée René, a été publié en 1802 qui a marqué le début du romantisme en France. Son ouvrage a été composé en Angleterre, là où il a été mis en exil à la suite de la Révolution. Dans l'extrait suivant, « Levez-vous vite, orages désirés », l'auteur démontre la souffrance du héros propre à cette époque, son lien privilégié avec la nature environnante ainsi que son désir d'échapper au mal dont il est atteint

refoulement de pulsions et de désirs qui agissent sur la vie consciente à son insu. Pour l'exemple de la trahisons des paroles, on dit qu'elle ne nous sont plus fidèles. En quel sens peut on dire que nos paroles nous trahissent ? Quand ces paroles reflètent-elles des pensées que nous aurions voulus garder pour nous ? Ces pensées qui nous trahissent reflètent une partie de notre identité que nous aurions voulue cacher à autruie ou même à nous même. La trahison est une sorte d'insconscient comme l'explique

plan d’analyse A. Idée directrice Chatterton est dans un état de confusion totale, qui le fait passer d’un extrême à l’autre afin de sonder les tréfonds de son âme. B. Idées principales, preuves et idées secondaire 1.I.P. 1 : Le peu d’orgueil que peut avoir Chatterton à cet instant lui donne une dernière lueur d’espoir que tout n’est pas perdu. Preuves et idées secondaires a) P.102 «Et il est certain que ce qui me soutient, c’est cette

I. La mort injuste A. L'expression de la mort - temps : présent début et fin du poème (v.1 et 24) > thème omniprésent, donc important. - image de la mort mise en relief par ouverture du poème. S'impose par anaphore " un homme est mort... " (v.1, 3, 5) - place du mot " mort " à l'hémistiche > accentue brutalité mot monosyllabique - écho créé par construction identique, v.24 ; image mort renforcée par poitrine trouée " v.25 - anaphore insiste sur l'indéfini > Péri prend valeur de symbole - identité