Idolâtrie

-l. 25 réapparition du personnage avec la maison et la famille → Nouvelles informations sur M.de Renal B. L’aura du maire : influences sans bornes Cette aura se mesure en observant le comportement des villageois + description du narrateur -Idolâtrie : « tous les chapeaux se levèrent » -Les villageois sont désignés par «  on » ou « les gens » : communauté sans visage avec une parole unique. Le maire = Le roi / Verrières = Versailles III. Un personnage ambigu : de la naïveté villageoise à

la nature de la réponse : d'ordre politique - v. 50 à 57 : Mise en cause violente de Napoléon III. Critique plusieurs points : - Goût du luxe - Politique "sauve famille, église et société" > Rappel de certains titres de livres. - Idolâtrie - Vers 58 : conclusion faussement logique "c'est pour cela que " > semble établir le lien entre comportement de Napoléon III et la mort de l' enfant. - 3 derniers vers : généralisation Texte qui se veut dénonciateur, recours à l'émotion et au

satirique, Lucrèce passe en revue différents rites absurdes qui constituent autant d’aliénations : aveuglement de l’esprit (porter un voile, réel ou symbolique), pratiques superstitieuses conjuratoires (s’approcher de tous les autels), fétichisme et idolâtrie (adorer des statues), humiliation (se prosterner sur le sol), sacrifices inutiles qui témoignent d’une peur des dieux (effort pour s’attirer leur bienveillance), enfin prières sans fin, qu’il fallait relier aux vains désirs, aux désirs infinis parce

qu’il ne peut pas appartenir à un autre homme, il appartient à Dieu («maître aussi jaloux qu’absolu»). Cependant la ligne 22 indique une concession car il autorise l’autorité parmi les hommes à la seule condition qu’elle ne se transforme pas en idolâtrie. Diderot définit donc l’attitude à adopter envers Dieu d’une part («pouvoir toujours absolu sur la créature», «maître absolu toujours», «ne perd jamais ses droits», «aveuglément et sans réserves») et envers l’homme exerçant l’Autorité d’autre part

chose qui la rende stable, c’est l’émotion et la haine » L’extrait s’achève par une alternance de photos et de discours d’Hitler, mettant en valeur l’expressivité violente de ses gestes ; en fond, un opéra de Wagner. Culte de la personnalité : idolâtrie du chef suprême (qui caractérisait notamment le régime stalinien) Une campagne électorale Près de dix ans après sa tentative de putsch, Hitler se présente à l’élection présidentielle contre Hindenburg. Goebbels organise la campagne avec des

narrateur chez les Swann sera profondément contaminée par la présence d’éléments religieux. Cet effet de concomitance sera d’abord inauguré dans l’extrait par l’obsession que le narrateur porte à la chevelure de son amie. Cette obsession, cette idolâtrie pourrions-nous dire, est révélée lorsque le narrateur raconte que « les nattes de Gilberte dans ces moments-là touchaient [sa] joue. Elles [lui] semblaient […] un ouvrage unique pour lequel on avait utilisé le gazon du Paradis. » Cette fascination

Dans cette tyrade nous voyons que P considere H comme un dieu pluto qu’un homme en effet aucune caractéristique phisyque est nommée .el le vpoit très vite comme un ennemi quil fo « abbatre et eloigné .Le premier sentiment qu’elle ressen Lamour idolâtrie , amour qu’elle ne choisit pas . il ya une transgression ( amour interdiimpossible c’est la ytrait du danger ) C’est amour subit . apres elle ressenla tristesse ,honteuse et la revolte et va essayer de le dompter avec la raison et la prière et

police politique, l’OVRA (Organisation de Vigilance et de Répression de l’Antifascisme), et un tribunal spécial sont créés dans le but de traquer tout opposant au régime fasciste qui sont déportés ou exécutés. Mussolini fait l’objet d’une véritable idolâtrie de la part de la majorité des italiens. Le Duce est considéré comme un véritable oracle dont l’infaillibilité se résume dans la formule «Mussolini a toujours raison» (tiré des « 10 commandements du milicien fasciste »). Il crée, en 1933, l’IRI (Institut

sur la nature de la réponse : d'ordre politique - v. 50 à 57 : Mise en cause violente de Napoléon III. Critique plusieurs points : Goût du luxe Politique " sauve famille, église et société " > Rappel de certains titres de livres. Idolâtrie- v. 58 : conclusion faussement logique "c'est pour cela que " > semble établir le lien entre comportement de Napoléon III et la mort de l' enfant.- 3 derniers vers : généralisationTexte qui se veut dénonciateur, recours à l'émotion et au pathétique

Elles lui paraissent sauvages et effectivement différentes physiquement des Européens ce qui le conforte dans son idée d'être aux Indes puisqu'il sait, sans les avoir vu que les Indiens sont différents. Ligne 9 : « ils n'ont aucune secte ni idolâtrie » ; ligne 9-10« ils croient seulement que la puissance et le bien résident dans le ciel » ; ligne 10-11« ils croyaient que moi et mes gens venions du ciel avec nos navires ». Pour Colomb, les peuples qu'il rencontre n'ont pas de croyances pré-existante