Idolâtrie

découverte de la perspective au 14ème siècle. Depuis, l’Occident ne cessera d’augmenter le nombre d’images. Le 8ème siècle, à Byzance est marqués par la lutte entre les iconoclastes (qui sont contre la représentation du sacré car considéré comme une idolâtrie) et les iconophiles (qui pensent que le sacré doit être représenté). Les iconophiles se sont imposé et cela a permis une diversification. L’image est légitime. Cependant, il manquait une révolution technique : c’est Gutenberg à la fin du 15ème siècle

« les gens ont intérêt à vendre à des particuliers ». Témoin de la mort progressive d’une amitié: affrontement. Gradation du mépris « l’Art », remise en cause du jugement, ironie. Yvan: valeur marchande, Serge: esthète, statut fétiche de l’objet, idolâtrie, rapport consumérisme à l’art. « l’Art »: art= fantasme de reconnaissance sociale s’illusionne lui-même en prétendant aimer cette toile. Il ne la désire pas mais désire société. Imposture que Marc tente de faire entendre. Marc: décalage cf « ouais »

corps humain est pour Platon non sans rapport avec l’âme mais une statue ne sera qu’une copie d’une copie de l’âme. Une âme dotée d’un corps est déjà une âme plus grossière que celle d’un dieu sans corps donc au fond la statue est pour Platon une idolâtrie. Pour Platon l’art égyptien qui symbolise et évite de confondre les dieux avec des corps d’hommes est plus spirituel. 2 - Aristote pour l’imitation comme mimesis de l’art classique. Aristote bien que disciple de Platon n’adhère pas à sa critique

"L’interprétation des rêves est la voie royale de la connaissance de l’inconscient." FREUD "Les œuvres d’art [sont] les satisfactions imaginaires de désirs inconscients, tout comme les rêves." FREUD "L’inconscient est une méprise sur le Moi, c’est une idolâtrie du corps."ALAIN "Je pense où je ne suis pas, donc je suis où je ne pense pas." LACAN 4.Autrui "L'homme est un loup pour l'homme" HOBBES "L’enfer, c’est les autres" SARTRE "Autrui est d’abord pour moi l’être pour qui je suis objet." SARTRE

sur la nature de la réponse : d'ordre politique - v. 50 à 57 : Mise en cause violente de Napoléon III. Critique plusieurs points :     - Goût du luxe     - Politique "sauve famille, église et société" > Rappel de certains titres de livres.     - Idolâtrie - Vers 58 : conclusion faussement logique "c'est pour cela que " > semble établir le lien entre comportement de Napoléon III et la mort de l' enfant. - 3 derniers vers : généralisation Texte qui se veut dénonciateur, recours à l'émotion et au pathétique

attitude conciliante face au fascisme italien : Accord du Latran signés en 1929. Le contentieux est résolu, mais les 2 pouvoirs continuent à se disputer le contrôle de la jeunesse. Mais dès 1931, Pie IX en vient à dénoncer le fascisme comme une idolâtrie. (Encyclique « non abbiamo bisogno »). - Idem face au nazisme : veut d’abord se montrer conciliant : signature d’un Concordat en 1933 avec l’Allemagne : permet d’asseoir le prestige encore mal établi du nouveau régime. Espère protéger la communauté

foi, et la raison de croire que chacun de nous d’essayer à répondre raisonnablement « pourquoi ? » (Chapitre 4). En cherchant de résoudre par les plus beaux discours sur Dieu, l’homme risquera tomber en échec s’il ne restait pas en alerte devant idolâtrie. Un faux Dieu n’est pas parce qu’il ne peut qu’être faux mais parce qu’il fausse l’homme (chapitre 5). Comment penser droitement le visage de Dieu pour connaitre ce qu’est Dieu ? Pour Luther, ce n’est pas à partir d’une idée de Dieu mais à partir

la ville europeenne, j'étais et je serait toujours fasciné par l'architecture des façades qui entourent cet avenue, et cela bien avant que je sache le sens de mots tels que eclectisme, moresque, arabisance ... Bien que j'ai toujours éprouvé cet idolatrie envers ce monde qui est la ville europeenne, j'ai toujours été un fervent adepte de "non integration", j'ai haissais ce mot, dans mes projets je n'ai jamais su respecté l'architecture identisue au lieu, sous faux pretexte d'ouverte. Mais, au cour

l’idolâtrie " Ligne 26, la soumission totale à une personne est en fait une injure faite à Dieu. A la Ligne 22 " il permet (...) mais " est une concession : Dieu autorise l’autorité parmi les hommes à condition qu’elle ne se transforme pas en idolâtrie. Ligne 26 à 34 : Ce dernier passage est l’illustration par l’exemple de l’idolâtrie que condamne Diderot : attitude physique (prosternation) qu’on a devant le roi qui est une double condamnation : l’attitude devrait être réservée à Dieu et pas

sur la nature de la réponse : d'ordre politique - v. 50 à 57 : Mise en cause violente de Napoléon III. Critique plusieurs points :  Goût du luxe  Politique " sauve famille, église et société " > Rappel de certains titres de livres.  Idolâtrie - v. 58 : conclusion faussement logique "c'est pour cela que " > semble établir le lien entre comportement de Napoléon III et la mort de l' enfant. - 3 derniers vers : généralisation Texte qui se veut dénonciateur, recours à l'émotion et