Hune

caractérisée par l’avidité, la cupidité, l’égoïsme. En pensant à ces situations, nous avons senti la nécessité de rédiger notre mémoire de sortie sur cette problématique JUSTICE SOCIALE ET EXODE RURAL VERS PORT-AU-PRINCE, deux thèmes qui font la hune en Haïti depuis presque son indépendance puisqu’ils mettent bien évidemment en facteurs deux couches sociales toujours opposées, les citadins et les paysans, les gens aisés et les pauvres qui sont majoritaires. Les haïtiens sont originaires d’Afrique

n‘étant nulle part, peut être n‘importe où! Où l‘Homme, dont jamais l‘espérance n‘est lasse, Pour trouver le repos court toujours comme un fou! Notre âme est un trois-mâts cherchant son Icarie; Une voix retentit sur le pont: «Ouvre l‘œil!» Une voix de la hune, ardente et folle, crie: «Amour... gloire... bonheur!» Enfer! c‘est un écueil! Chaque îlot signalé par l‘homme de vigie Est un Eldorado promis par le Destin; L‘Imagination qui dresse son orgie Ne trouve qu‘un récif aux clartés du matin. O le pauvre

part, peut être n'importe où! Où l'Homme, dont jamais l'espérance n'est lasse, Pour trouver le repos court toujours comme un fou! Notre âme est un trois-mâts cherchant son Icarie ; Une voix retentit sur le pont : «« Ouvre l'oeil! »» Une voix de la hune, ardente et folle, crie : «« Amour... gloire... bonheur! »» Enfer! c'est un écueil! Chaque îlot signalé par l'homme de vigie Est un Eldorado promis par le Destin ; L'Imagination qui dresse son orgie Ne trouve qu'un récif aux clartés du matin. O le

part, peut être n’importe où ! Où l’Homme, dont jamais l’espérance n’est lasse, Pour trouver le repos court toujours comme un fou ! Notre âme est un trois-mâts cherchant son Icarie ; Une voix retentit sur le pont : « Ouvre l’œil ! » Une voix de la hune, ardente et folle, crie : « Amour… gloire… bonheur ! » Enfer ! c’est un écueil ! Chaque îlot signalé par l’homme de vigie Est un Eldorado promis par le Destin ; L’Imagination qui dresse son orgie Ne trouve qu’un récif aux clartés du matin. Ô le pauvre

nulle part, peut être n'importe où ! Où l'Homme, dont jamais l'espérance n'est lasse, Pour trouver le repos court toujours comme un fou ! Notre âme est un trois-mâts cherchant son Icarie; Une voix retentit sur le pont: « Ouvre l'œil ! » Une voix de la hune, ardente et folle, crie: « Amour... gloire... bonheur ! » Enfer ! c'est un écueil ! Chaque îlot signalé par l'homme de vigie Est un Eldorado promis par le Destin; L'Imagination qui dresse son orgie Ne trouve qu'un récif aux clartés du matin. O le pauvre

part, peut être n’importe où ! Où l’Homme, dont jamais l’espérance n’est lasse, Pour trouver le repos court toujours comme un fou ! Notre âme est un trois-mâts cherchant son Icarie ; Une voix retentit sur le pont : « Ouvre l’œil ! » Une voix de la hune, ardente et folle, crie : « Amour… gloire… bonheur ! » Enfer ! c’est un écueil ! Chaque îlot signalé par l’homme de vigie Est un Eldorado promis par le Destin ; L’Imagination qui dresse son orgie Ne trouve qu’un récif aux clartés du matin. O le pauvre

nulle part, peut être n'importe où! Où l'Homme, dont jamais l'espérance n'est lasse, Pour trouver le repos court toujours comme un fou! Notre âme est un trois−mâts cherchant son Icarie; Une voix retentit sur le pont: « Ouvre l'il! » Une voix de la hune, ardente et folle, crie: « Amour... gloire... bonheur! » Enfer! c'est un écueil! Chaque îlot signalé par l'homme de vigie Est un Eldorado promis par le Destin; L'Imagination qui dresse son orgie Ne trouve qu'un récit aux clartés du matin. O le pauvre

leur navire en sa main comme un bourdon, et mit dedans la hune deux cents trente et sept poinçons de vin blanc d'Anjou, du reste de Rouen, et attacha à sa ceinture la barque toute pleine de sel, aussi aisément comme les lansquenets portent leurs petits panerots 8 et ainsi se mit en chemin avec ses compagnons. Quand il fut près du camp des ennemis, Panurge lui dit « Seigneur, voulezvous bien faire? Dévalez 9 ce vin blanc d'Anjou de la hune, et buvons ici à la bretesque 10 » A quoi condescendit volontiers

aborderons à la terre inconnue. L’aube est venue sans que la mer en soit calmée, la terre était encore lointaine et sur la face mobile des eaux chancelait ma pensée. Le malaise des flots dont toute la chair se souvient. Accrocherai-je une pensée à cette hune vacillante ? pensai-je. Lames, ne verrai-je que l’eau s’éparpiller au vent du soir ? Je sème mon amour sur la vague ; ma pensée sur la stérile plaine, des flots. Mon amour plonge dans les flots qui se suivent et se ressemblent. Ils passent et l’œil

renseignements donnés par les libraires suivants : Biarritz, la Presse. - Brest, la Cité. - Dijon, l'Université. Issoudun, Montpellier, Sauramps. Nice, Cherrier. - Lille, le Furet du Nord. Rudin. - Oriéans, Jeanne d'Arc. - Paris, les Aliscans, Fontaine, la Hune, Julien Cornlc, Varlét6, Weil, - Rennes, le. Nourriture. terre.tres. - Toulon, BonlMlud. - Tournai, Dec.llonne. - Vichy, Roy.le. Didier Deleule Théodoslus Dobshansky L'hérédité et la nature humaine Flammarion / Science. -8! .'" =~ La psychologie