Hôtel de Soubise

qui allait entre la rue des Blancs-Manteaux et la rue des Haudriettes .C'est dans cette portion que se trouvent l'hôtel de Soubise (au n° 58 de la rue des Archives) et les Archives nationales . 4° La rue du Grand-Chantier allait de la rue des Haudriettes à la rue Pastourelle. On y voit l'hôtel Guénégaud (au n°60), qui abritati le musée de la Chasse et de la Nature. Cet hôtel a été construit par Mansart entre 1648 et 1651, pour le conseiller d'Etat Jean-François Guénégaud des Brosses. 5° La rue

Armand Gaston Maximilien de Rohan Soubise est né le 26 juin 1674 à Paris et mort le 19 juillet 1749 à Paris est un homme d'Eglise qui joua également un rôle politique important surtout en Alsace où il fut l'un des personnages les plus puissants. Nous allons donc dans un premier temps expliquer comment il est parvenu à devenir aussi puissant. Puis nous allons décrire la situation de Strasbourg à cette époque et l'importance de la position qu'il occupait à l'époque. Finalement nous allons évoquer les

dirigera à leur création. | |Saint-George est, alors, aussi réputé pour sa virtuosité que pour ses compositions. Les concertos de ce musicien prodigieux attirent la foule vers l'immense hôtel de | |Soubise (actuel siège des Archives nationales) où se produit le Concert des Amateurs (quatre vingt musiciens), tandis que ses opéras (dont un livret a été écrit pour lui| |par Choderlos de Laclos) connaissent un indéniable succès populaire à la Comédie

encouragement... | | | Hotel d’ Angoulême |1590 - 1611 |Commencée sur des plans de 1590, sa construction se poursuivit jusqu'en 1611. L'hôtel fut élevé pour Diane de | | |France, fille légitimée d'Henri II sous le nom de duchesse d'Angoulême

Watteau * Le Verrou, Fragonard * Le décor intérieur de l’hôtel de Soubise, Germain Boffrand * "La jeune fille", Watteau * "Femme a la toilette", Q. de la Tour * La Liseuse, de Jean Honoré Fragonard * Marie-Louise O'Murphy (1737-1818), maîtresse de Louis XV, peint par Francois Boucher en 1752 Exemples d'architecture rococo * Hôtel de Soubise (Paris) (1735-1740) Germain Boffrant et Pierre-Alexis Delamair * Hôtel de Lassay (Paris) * Château de Nymphenburg en Bavière (Allemagne)

: └> ass se % en 2 = « fermes » : ce n'est qu'en inspirant la crainte et en étant determiné que que la paix continuera, pas de G juste peur que si trop faible d'être – crédible. Faut ↑ des garanties mil et po ex: Henri de Rohan, Benjamin de soubise + « prudents » : intransigeance mène à retour de G ce qui contraire à intérêt des prot, obtenir qq concessions en plus ne vaut pas la peine surtt si retour de G. Faut se contenter de la situation acquise et bienveillance du pvr royal. Ex : Bouillon

MONTORGUEIL I~ RUE DE LA PAIX Convoitée dès I'enfance par les amateurs de Monopoly, cette rue faisait déjà rêver. Ses ad resses prestigieuses fascinent toujours Ie flilneur: cristalleries Baccarat et Daum, bijoutier Poiray, horloger Rolex, fastueux hötel Westminster, galerie d'art Vendöme. Cartier, joaillier depuis 1847, créa son anneau aux trois ors en 1924. En 1955, il conçut I'épée d'académicien dessinée par Jean Cocteau et enfin en 1975 les must s'imposaient. Pour un petit déjeuner luxueux, rendez-vous

 boudoir,…   Thème:  badinage,  frivolité,  érotisme,   séduction,….   II.  La  France   1. Architecture  d'intérieure.   Germain  Boffrand,  salon  de  la  princesse  de  soubise,  Hôtel  de  soubise,  Paris.  1735   C'est  dans  les  intérieurs  des  salons  de  maitre  qu'apparaissent  les  premières   formes  de  rococo.    C'est  un  style   décoratif  (comme

Armand Gaston de Rohan et ses sept prédécesseurs sur le trône épiscopal, qui étaient enchâssés dans les boiseries. Détruits en 1793, ces portraits furent remplacés après la Révolution par les allégories des vertus civiques, le palais étant devenu hôtel de ville. Les huit bustes d'empereurs romains, copies du XVIIe siècle, ont échappé aux ventes révolutionnaires et occupent toujours la place qui leur a été assignée par le cardinal de Rohan. CHAMBRE DU ROI La Chambre du roi, avec le salon d'assemblée

religieux au 12e siècle ont bientôt suivi l'exemple et les établissements religieux se sont alors multipliés. Puis les nobles se sont également épris de cet endroit et ont fait de celui-ci leur lieu de prédilection et y ont fait construire de magnifiques hôtels. Comme toujours dans l'Histoire de la capitale, celle de ce quartier s'érige en un ballet de jeux de constructions sur le modèle de la chanson: «j'ai un beau château, ma tante tire lire lire.... le nôtre est plus beau ma tante tire lire lo, …. nous