Horreur Sympathique

ordinateur. Parents : ils sont toujours là pour moi. Vacances : j’aime voyager et visiter. EPS : j’aime les sports pratiqués au collège. Télévision : c’est ce qui me permet de me détendre. * Mots que je n’aime pas : Devoirs : j’ai horreur de devoirs, faire du travail en plus de ce que l’on fait au collège. Collège : je n’aime pas aller à l’école, je préfère faire du sport ou être à la maison. Punition : je n’aime pas être privé de quelque chose, je culpabilise et me sens mal à

d'un couteau, Laurent d'un flacon de poison, chacun méditant de faire mourir l'autre. Ici, en comprenant les intentions l'un de l'autre, les deux époux «se firent pitié et horreur». Cette pitié réciproque se traduit par une «crise suprême» qui n'est pas l'occasion d'un repentir ni d'une rédemption qui les rendraient sympathiques au lecteur. Ils la subissent, comme le montre la construction de la phrase : c'est le mot «crise» qui est le sujet, tandis que les héros sont représentés par les pronoms compléments

personnifie une chanson à une sorcière pour finalement la qualifier de nymphe et continuer en la décrivant de manière méliorative comme par exemple ses hanches « amoureuses » (vers 21). Il poursuit cette transformation du laid en beau dans le poème « Horreur Sympathique » situé à la fin de la section « Spleen et Idéal » dont le nom fonctionne d’ailleurs sur une opposition comme la transformation que Baudelaire opère dans le poème. Il inclut une dimension divine en se comparant à Ovide « chassé du paradis latin »

vivacité = emploi littéraire et vieilli]. L'italique marque ici, comme habituellement chez Stendhal, l'emploi rare du mot. " L'admiration enfantine " avec laquelle Fabrice contemple le maréchal après l'avoir identifié est un de ses traits les plus sympathiques. IV - " M'y voilà donc enfin " Cette admiration n'empêche pas Fabrice de noter un phénomène " singulier " mais l'empêche d'abord de chercher à le comprendre. Le phénomène est décrit avec précision : Stendhal note même dans le creux des sillons

> « toutes les peines du monde », « ne faisait pas assez d'attention à son devoir de soldat » : la qualité d'humanité de Fabrice est aux dépens de l'attitude militaire nécessaire. Donc un anti-héros puisque n'a pas les qualités guerrières, mais sympathique puisque montre une véritable attention aux blessés. 2. L'ironie du narrateur L'épisode du cheval « Ce qui lui sembla horrible, ce fut un cheval tout sanglant qui se débattait sur la terre labourée, en engageant ses pieds dans ses propres entrailles

-> La désacralisation et la désillusion se font donc par l'intervention du narrateur. Fabrice est encore pris dans ses illusions, malgré sa confusion et son horreur. Conclusion Ainsi, nous avons pu constater que cet extrait de La Chartreuse de Parme nous donnait à voir un héros improbable, naïf dans ses illusions guerrières et qui se retrouve confronté à une réalité bien loin de tout héroïsme épique. Pour

Séverine avant de tomber lui-même, emporté dans sa lutte avec Pecqueux. Amour et mort sont donc liés dans ce livre très noir où Zola manifestait son goût du mélodrame, se montrait plus proche d’Eugène Sue que de Balzac, trop complaisant pour des horreurs qui laissent une impression pénible. Il se déroule dans des espaces clos (chambres, compartiment de chemin de fer, tunnel), que tout contribue à rendre étouffants (nuit, neige, pluie, brume, regards qui épient). Se libèrent ainsi des forces obscures

emploi littéraire et vieilli]. L'italique marque ici, comme habituellement chez Stendhal, l'emploi rare du mot. " L'admiration enfantine " avec laquelle Fabrice contemple le maréchal après l'avoir identifié est un de ses traits les plus sympathiques. IV - "M'y voilà donc enfin" Cette admiration n'empêche pas Fabrice de noter un phénomène "singulier" mais l'empêche d'abord de chercher à le comprendre. Le phénomène est décrit avec précision : Stendhal note même dans le creux des sillons

exemple, Bardamu dans Voyage au Bout de la Nuit, de Louis-Ferdinand Céline, est un homme peu sympathique, cynique, parfois lâche et ridicule, mais par son ironie et ses nombreux défauts, il montre l'absurdité du monde et de l'être humain, et permet au lecteur de se sentir proche de lui, car malgré ses nombreux vices on peut ressentir la même douleur que ce personnage, sans pour autant avoir vécu les horreurs qu'il a subit à la guerre. Un personnage médiocre permettra également plus aisément de mettre

III, Le Cadre IV, Le Portait), Semper Eadem, Chant d'automne, À une madone, Chanson d'après-midi, Sisina, Franciscæ meæ laudes (poème en Latin), Sonnet d'Automne, Une Gravure Fantastique, Obsession, Le Goût du Néant, Alchimie de la douleur, Horreur, Sympathique, L'horloge. Tableaux parisiens (18 poèmes) : Paysage, Le Soleil, À une Mendiante rousse, Le Cygne, Les sept Vieillards, Les Petites Vieilles, Les Aveugles, À une Passante, Le Squelette laboureur, Le Crépuscule du soir, Danse macabre, L'amour