Horreur Sympathique

dans ses blasons (Michaux). 17 Autre déf. : Emploi d’une expression, d’un terme qui atténuent la pensée et suggèrent beaucoup plus qu’on ne dit (Lexis) : Ce n’est pas très bon, pour c’est mauvais; Il ne m’est pas antipathique, pour il m’est sympathique. Certains théoriciens définissent la litote comme une combinaison de la périphrase et de l’ironie. La litote est associée avec le laconisme (couper les détours expressifs) et la sobriété, on dit beaucoup en peu de mots, on reste en deçà de la

Madame, je serai très heureux de vous le dire, mais je préférerais que cet enfant n'entendît pas notre conversation. MUCHE (à la Baronne). Excellent principe... Allez rejoindre vos camarades... (La Baronne embrasse l'enfant qui sort.) Enfant sympathique et bien élevé. LA BARONNE (à Topaze). Il vous aime beaucoup, monsieur. Il parle souvent de vous à son père en des termes qui marquent une grande estime. TOPAZE. J'en suis très heureux, madame... Je tiens à mériter l'estime de mes élèves..

arrivé et avait loué une chambre donnant sur la mer : cela seul annonçait déjà une certaine aisance pécuniaire. Il se faisait agréablement remarquer, non seulement par son élégance discrète, mais surtout par sa beauté très grande et tout à fait sympathique : au milieu d’un visage étroit de jeune fille, une 15 moustache blonde et soyeuse caressait ses lèvres, d’une chaude sensualité ; au-dessus de son front très blanc bouclaient des cheveux bruns et ondulés ; chaque regard de ses yeux doux

arrivé et avait loué une chambre donnant sur la mer : cela seul annonçait déjà une certaine aisance pécuniaire. Il se faisait agréablement remarquer, non seulement par son élégance discrète, mais surtout par sa beauté très grande et tout à fait sympathique : au milieu d’un visage étroit de jeune fille, une 15 moustache blonde et soyeuse caressait ses lèvres, d’une chaude sensualité ; au-dessus de son front très blanc bouclaient des cheveux bruns et ondulés ; chaque regard de ses yeux doux était

faut dire que les trois gendres sont sympathiques, beaux, intelligents, pas pauvres et ont fait des études (l’un est avocat, l’autre homme d’affaires, etc.). Et qu’ils supportent sans trop se formaliser et avec humour les préjugés de leur beau-papa préféré. Tout le monde est content, donc. Belle-maman est si gentille (et Chantal Lauby si touchante). Eux-mêmes ne manquent jamais une occasion de lancer des vannes pleines de clichés mais censément « sympathiques » à leurs deux beaux-frères (les « Chinois

dans les corons du Voreux lui offre une belle occasion de développer des idées socialistes. Révolutionnaire, il sera préoccupé tout au long de l’histoire à lutter pour le changement, à savoir, l’instauration d’un système plus rassurant et plus sympathique à la cause des opprimés. Lantier arrive de Paris sachant lire et écrire. Cette qualité rare dans les corons lui permettra plus tard de former ses idées socialistes à travers la lecture de Pluchart, son ancien contremaître à Lille, où il fonctionnait

revêtir les dehors les plus attrayants. “C’est celle que nous rencontrons sous la forme des conseilleurs dont les avis sont toujours tentants, car ils adoptent les fausses apparences de la sollicitude. “Avec des paroles empressées et des sourires sympathiques, des gens, qui presque toujours n’ont rien su 15 L'Art d'Influencer faire de leur vie, cherchent à gâter celle des autres, sans parfois se douter de leur crime inconscient. “Ce sont généralement ceux-là qui, de bonne foi, prêchent là

authenticité dévastatrice : «Ce que je déteste en lui, c’est qu’il sait ce qu’il veut […] Il met son pouvoir au service d’une passion plus haute et plus mortelle» (II, 2). Il voit dans son nihilisme militant une menace pour le sens même de la vie. Il a horreur de la façon dont il exerce le pouvoir : «Ce n’est pas la première fois que, chez nous, un homme dispose d’un pouvoir sans limites, mais c’est la première fois qu’il s’en sert sans limites, jusqu’à nier l'homme et le monde. Voilà ce qui m'effraie en

ceux de David Rousset et d’Eugen Kogon, ce sont les trois croquis du camp, un schéma de la hiérarchie, et surtout une série absolument étonnante d’articles cueillis dans les journaux de 47-48 et qui visent à démontrer, sans commentaires, que les horreurs des camps allemands ne sont pas un fait unique - que partout, dans ce monde, les S.S. ont fait et font encore des adeptes, que ces invraisemblables nouvelles des abîmes du sadisme nous arrivent de tous les horizons et spécialement des plus inattendus

prophéties au sujet de l’avenir. Mais il est concevable que nous puissions avoir assez de bon sens, sinon pour cesser complètement de nous battre, du moins pour nous conduire aussi raisonnablement que l’ont fait nos ancêtres du dix-huitième siècle. Les horreurs inimaginables de la Guerre de Trente Ans ont bel et bien appris quelque chose aux hommes, et pendant plus de cent ans les hommes politiques et les généraux de l’Europe ont sciemment résisté à la tentation de faire usage de leurs ressources militaires