Horreur Sympathique

(trois phrases) rythme ternaire -> gradation -> impuissance, lâcheté, hypocrisie -> Dom Juan > volonté humaine - Dom Juan arrive-> comique -> Sganarelle vient d’avouer sa lâcheté et en fait preuve-> Comique du valet bouffon  2 personnages peu sympathiques -> Maître monstre, Valet ridicule -> Dom Juan nous inquiète, et nous ne faisons pas confiance à Sganarelle. Conclusion     Molière résout le paradoxe de la scène en mettant les propos dans la bouche de Sganarelle. Ceci permet de surprendre et

lourd…) . . . . . . .133 LXXIX. Obsession . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .134 LXXX. Le Goût du néant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 135 LXXXI. Alchimie de la douleur . . . . . . . . . . . . . . . . .136 LXXXII. Horreur sympathique . . . . . . . . . . . . . . . . .137 LXXXIII. L’Héautontimorouménos . . . . . . . . . . . . .138 LXXXIV. L’Irrémédiable . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .140 LXXXV. L’Horloge . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 143

personnages comme Louis Bouilhet et Flaubert, l’ami de la famille et l’ami de toujours. Il fera là ses premières classes littéraires. Alors, la guerre franco allemande de 1870 va débuter, et marquer profondément le jeune homme qui dira par la suite son horreur vis à vis de toutes ses guerres, de ceux qui les préparent et de ceux qui en vivent. « La vie si courte, si longue, devient parfois insupportable. Elle se déroule, toujours pareille, avec la mort au bout. On ne peut ni l'arrêter, ni la changer, ni

San Isidoro – 2008 63 Communiquer, c’est mettre en commun Le degré de sympathie de Mehrabian (1971) : Merhabian a travaillé expérimentalement sur les degrés de sympathie. Quand quelqu’un vous parle, quels sont les facteurs qui le rendent sympathiques ? • Appréciation verbale positive 7% (mots) • Appréciation vocale positive 38 % (manière) • Appréciation positive visage et expression 58% ( a voir Mehrabian) NB : 103 %(Appréciations cotées 2 fois et non départagées) Master 1 Patrick San Isidoro

c'est sans doute Jean Calvet qui est allé le plus loin dans cette voie. Si M Jadrin ne l'a pas cité, c'est donc certainement parce qu'il ne le connaissait pas; sinon il n'aurait pas manqué de faire un sort aux lignes suivantes : « Le personnage sympathique dans cette scène, c'est bien le Pauvre. [...] On lui demande un mot, que le bon Sganarelle considère comme une peccadillle, mais en refusant ce mot, il défend l'honneur de sa foi comme don Juan devrait défendre celui de sa race; plutôt que de le

jean-guy nadeau Il n’y a que la femme de Pilate pour tenter de faire échec à la volonté de Dieu en suggérant à son époux de libérer Jésus. Certes, on n’a pas coutume de lire ainsi le film de Gibson ou l’évangile, et la femme de Pilate y apparaît sympathique à Jésus. Mais son rôle y est néanmoins ambigu et porte à réfléchir. On pourrait même dire qu’elle risque de nuire à la mécanique du salut en marche dans le récit. Ne voit-on pas que si elle réussit à convaincre Pilate de libérer Jésus, c’est nous

............................................................ 111 LXXX. – Le goût du néant........................................................112 LXXXI. – Alchimie de la douleur............................................. 113 LXXXII. – Horreur sympathique.............................................114 LXXXIII. – L’héautontimorouménos ...................................... 115 LXXXIV. – L’irrémédiable .......................................................116 LXXXV. – L’horloge .............

............................................ 64 LXXX. – Le goût du néant ................................................................ 64 LXXXI. – Alchimie de la douleur ..................................................... 64 LXXXII. – Horreur sympathique ......................................................65 LXXXIII. – L’héautontimorouménos................................................65 LXXXIV. – L’irrémédiable................................................................ 66 LXXXV. –

............................................................ 111 LXXX. – Le goût du néant........................................................112 LXXXI. – Alchimie de la douleur............................................. 113 LXXXII. – Horreur sympathique.............................................114 LXXXIII. – L’héautontimorouménos ...................................... 115 LXXXIV. – L’irrémédiable .......................................................116 LXXXV. – L’horloge .............

» (l. 14). Le maréchal Ney est un général français qui a pris part au combat de la Révolution et de l’Empire. Fabrice, qui n’est pas français, ne l’a jamais vu et donc ne le reconnaît pas (l. 20-23). Parmi les horreurs du combat, la scène qui marque le plus Fabrice est celle du cheval éventré « qui se débattait sur la terre labourée, en engageant ses pieds dans ses propres entrailles » (l. 34-35). Fabrizio est convaincu qu’il ne pourra