Horreur Sympathique

cycle de la section, celui du “spleen”. Quatre poèmes, au cœur de ce cycle (LXXV, LXXVI, LXXVII, LXXVIII), portent tous le même titre. Ils sont entourés d’autres poèmes aux titres tout aussi sombres (“Sépulture”, “Alchimie de la douleur”, “Horreur sympathique”). Après avoir posé l’ambition de l’inaccessible idéal, après s’être essayé aux tentations de la sensualité et de la spiritualité, le poète dresse le constat de la fatalité et du déshonneur de son être condamné à dire au mieux le vide de son

son tiraillement indépassable entre le spleen et l'Idéal, entre son désespoir et sa volonté de sublime. Justement, le poème qui nous occupe ici est le quatre-vingt-unième de la partie « Spleen et Idéal », situé entre « Le Goût du néant » et « Horreur sympathique ». Il fait voir le désespoir gagnant davantage le poète, au détriment de son ardeur pour l'idéal. Toujours tiraillé, c'est la présence morbide qui semble bien prendre le dessus, comme l'annonce l'antithèse du titre, puisque l'alchimie, plutôt

toutes les grandes traditions religieuses. Je suis assis entre 2 colonnes, sur un pavé mosaïque et j’ai au-dessus de moi un triangle et une équerre entrelacés avec une lette G au centre ... Curieusement je regarde vers le Nord. Moi qui ai en horreur l’esprit militaire, on dirait que je garde quelque chose de précieux ou de sacré, j’assure la défense d’un territoire ! celui d’une Loge ... On peut penser que j’ai, ici, une fonction de défense contre les assauts du mal, de l’intrus, de celui

montre dans ce poème, qu’il n’a plus de goût à rien, que tout lui parait sans saveur. LXXXI. ALCHIMIE DE LA DOULEUR L’auteur s’identifie à Midas (roi de la mythologie) et explique qu’il transforme tout ce qui l’entoure en déplaisirs. LXXXII. HORREUR SYMPATHIQUE Il semble montrer que c’est le malheur des autres (ou ce qui les rend malheureux) qui le rend heureux. LXXXIII. L’HEAUTONTIMOROUMENOS Le titre de ce poème se traduit par : « celui qui se châtie lui-même ». En effet, l’auteur semble se battre

fait innocente, comme la victime des dieux. Il insiste sur ses efforts pour surmonter cette passion quelle dnonce. Par leur mise en scne, ainsi que par la passion dHippolyte pour Aricie, qui le rend coupable envers son pre, il a rendu Phdre plus sympathique aux yeux du public. Tout cela traduisant le regard empreint de piti de Racine pour son personnage. Si lintensit des regards dans Phdre est relle, il faut prciser quelle est ngative. Le regard fait mal par lintensit de limage quil vhicule, par la

déçue. Invités mépris Bernard haute voix et partent. Mustapha Meunier censure livre remet cause course effrénée au bonheur. Lendemain, Bernard réconfort avec ses 2 amis misères: John sauvage et Helmholtz conflit avec autorité. Les deux se trouve sympathique car aimer littérature. Bernard jaloux. Henry propose cinéma sentant à Lenina décline invitation. Henry étonné. Lenina ne veut que John. Conseil Fanny, elle décide faire 1er pas + va chez Sauvage. John avoue amour, admiration Lenina accomplir

cependant qu'elle est gentille, loyale, dévouée aux animaux, qu'elle est superstitieuse et qu'elle ne se plaint pas de la violence domestique de son mari. Le fait que le narrateur la maltraite, elle et ses chats tant aimés, la rend encore plus sympathique et renforce notre avis négatif sur l'homme. Elle est une figure de bonté et de pureté totale et elle est également le point de référence par rapport auquel nous pouvons mesurer la détérioration morale et la descente en folie du narrateur. Le

II : Lecture analytique  « BELLE DU SEIGNEUR » , A.Cohen (1968) Objet d’étude : Etudier une scène de rencontre décalée PB : EN QUOI LE STYLE DE CET EXTRAIT EST IL NOVATEUR ? I-Un récit de rencontre singulier. A)Horreur, Répultion. Monologue interieur Anaphore : « atroce » (l1-2) Description de Solal tel que le voit Arianne « baissa le s yeux » (l.1) « sourrire sans dents » (l.1/2) Réaction physique « recula, recula » (l.14/15) « cris rauque » -> terreur « cette

lui est bon, pourvu qu’il pense faire rire les Argiens. C’est l’homme le plus laid qui soit venu sous Ilion. Bancroche et boiteux d’un pied, il a de plus les épaules voûtés, ramassées en dedans. Sur son crâne pointu s’étale un poil rare. Il fait horreur surtout à Achille et à Ulysse, qu’il querelle sans répit. Cette fois, c’est le tour du divin Agamemnon. Avec des cris aigus, il s’en va débitant contre lui force injures ‘ (Paris : Budé, pp.37-38). Déjà, c’est par rapport à Achille et à Ulysse, et

thèmes abordés sont l'immigration et les conditions de vie des travailleurs immigrés, l'industrie agroalimentaire, l'hypocrisie des cellules marketings. Les séquences d'abattages (oui car il n'y a pas beaucoup de trucage dans le film), sont vraiment sympathique comparé à celle du documentaire : We feed the world. Le film est relativement complet mais certaines scènes auraient pu être enrichie du petit détail qui aggrave le côté pathétique des pauvres mexicains. Les plans se succèdent mais la noirceur de