Horace Corneille Acte V

jour, celles-là dans la nuit. Il se faisait tant de bruit sur la terre, qu'il était impossible que quelque chose de ce tumulte n'arrivât pas jusqu'au cœur des peuples. Ce fut plus qu'un écho, ce fut un contre-coup. L'homme, se 7 Virgile, Enéide, Livre V : la composition de la foudre. 5 repliant sur lui-même en présence de ces hautes vicissitudes, commença à prendre en pitié l'humanité, à méditer sur les amères dérisions de la vie. De ce sentiment, qui avait été pour Caton8 païen le désespoir, le

les individus tragiques. La pièce s’achève la plupart du temps sur une mort violente, physique ou morale. Les registres dominants sont le pathétique (la terreur et la pitié) et le tragique (la fatalité). Les auteurs essentiels sont Racine et Corneille. Depuis l’antiquité, la tragédie a pour fonction de purifier les passions des spectateurs en montrant sur scène leur punition, c’est ce qu’on appelle la catharsis. La Comédie classique : Molière en est le meilleur représentant. Il s’agit d’une

société du moyen âge . Ce n'est pas un roman à proprement parler, mais un ensemble disparate de récits en octosyllabes de longueur variable et composés par différents auteurs, appelés dès le Moyen Âge « branches ». Les branches les plus anciennes (v. 1170) sont attribuées à un Pierre de Saint-Cloud. Dès le xiiie siècle, les branches sont regroupées en recueils, apportant une certaine unité. Le Roman de Renart En effet, la panse de Primaut était devenue plus large que son corps n'était long. Clopin-clopant

Sommaire XIIme Sicle P. 5 Corneille P. 6 Molire P. 13 Racine P. 26 La Fontaine P. 34 Madame De Svign P. 44 Madame De La Fayette P. 49 Boileau P. 55 La Bruyre P. 58 XIIIme Sicle P. 60 Montesquieu P. 61 Voltaire P. 64 Rousseau P. 72 Beaumarchais P. 75 XIXme Sicle P. 82 Chateaubriand P. 84 Hugo P. 87 Vigny P. 94 Musset P. 96 Lamartine

émotions de ce genre. » Aristote, Poétique, chapitre VI, traduction de M. Magnien, Le Livre de Poche. La tragédie classique (XVIIe siècle) La tragédie classique est composée de cinq actes (séparés par des entractes), et le nombre de scènes par acte varie. L’action (l’intrigue) est issue de l’histoire ou de la légende ; les personnages sont généralement illustres et sont tourmentés par de fortes passions. La tragédie classique avait ses règles, dont la fameuse règle des trois unités (unité d’action

qui signale le sort tragique des mortels Image du miroir : Mythe de Narcis (reflet insaisissable, il est fasciné par sa beauté) Les yeux de la beauté sont le mystère III.Echec quête poétique A. L’éternel et le mortel Echec du poète  mortalié V.1 De la matière   le poète est « muet » comme la « matière » Opposition avec la pureté de la beauté : métaphore « cœur de neige » « blancheur des cygnes » + adjectif « purs » dans les tercets  Image d’une divinité « je trône dans l’azur » B. Une

courant de pensée qui est très bien illustré par le Dom Juan de Molière. Celui-ci déclare agir « pour l'amour de l'humanité » et non plus pour l'amour de Dieu et « croi [t] que deux et deux sont quatre, Sganarelle, et que quatre et quatre sont huit » (acte III, 1). Une identité française Richelieu continue le mouvement amorcé au XVIe siècle et qui fait de la langue l'élément d'une identité nationale : il crée, en 1635, l'Académie royale, qui deviendra l'Académie française, pour veiller sur la langue

je riais, il se mit à rire ; je crois que nous devions ressembler aux aruspices de Cicéron. « Ce qu’il y a de bon, ma chère Mathilde, c’est que tu n’as plus besoin de rien m’expliquer. Écoute-moi bien ; voici exactement ce qui s’est passé. Ton fils Horace, cet égyptologue de grande espérance, qui me fait l’honneur d’être mon petitneveu, est en Égypte depuis deux ans. Il y a rencontré une belle blonde, et pour la première fois son cœur a parlé ; il n’a pu se tenir de t’en écrire, ses lettres sont pleines

III- Illustrations des Fables et images de l’Homme/Animal : 1- Etude de trois illustrations des Fables de La Fontaine…………………15 2- Réflexion sur la physiognomonie………………………………………..18 IV- Des animaux et de l’Homme : …………………………………………...21 V- Science : 1- Ethologie animale……………………………………………………….23 2- Ethologie humaine………………………………………………………24 VI – Révisions : définitions :………………………………………………….28 I – Les fables 1) Leurs origines1 : -La fable d’Esope, Pulex, qui signifie la

efficace : Recourir à la numérotation hiérarchisée. Celle-ci utilise deux principes : • un type de numéros différent selon le rang d'importance de l'idée • un décalage (blanc par rapport à la marge) rendant compte du rang d'importance de l'idée. V° LA NOMINALISATION ET LE REMPLACEMENT A. Procédé proprement dit de la NOMINALISATION Définition : La nominalisation est un procédé lexical qui consiste à tirer d'un verbe un nom de même famille (ou, quand le nom de même famille n'existe pas, un nom