Hooligans

directement biaisé. Vient ensuite le traitement du supportérisme, dont il dégage certaines logiques, comme la différenciation des espaces dans le stade, ou celle des catégories de publics, entre « purs spectateurs », « supporters », « ultras » et « hooligans », dont les motivations dans la venue au stade sont on ne peut plus variables. Enfin, il s’agit de ne pas oublier que la très grande majorité des spectateurs n’est pas présente dans les enceintes sportives, mais perçoit la compétition par le filtre

point est né d'une contrainte imposée par le comité olympique pour le tournage des films amateurs depuis les gradins. Culture californienne années 1950: naissance d’un culte du corps sportifJO Mexico 1968: sport en mondovisionHeysel, Furiani, Hooligans… quand la dramaturgie vient des tribunes du stadeGo Pro: dans le corps du sportifE-sport: entrer dans la motricité de l’imageEye-Tracking: dans la motricité interactiveLes mythologies de Roland Barthes  Le sport fait partie des mythes (combats

directement biaisé. Vient ensuite le traitement du supportérisme, dont il dégage certaines logiques, comme la différenciation des espaces dans le stade, ou celle des catégories de publics, entre « purs spectateurs », « supporters », « ultras » et « hooligans », dont les motivations dans la venue au stade sont on ne peut plus variables. Enfin, il s'agit de ne pas oublier que la très grande majorité des spectateurs n'est pas présente dans les enceintes sportives, mais perçoit la compétition par le filtre

de l’autre, le fairplay ? Plusieurs raisons peuvent expliquer ces faits. La première est d’origine socio culturelle : c’est ce que Jean Yves Huchet nous explique dans son article « l’impuissance ou la gloire » : ces supporters effrénés appelés hooligans sont prêts à se battre, voir à mourir pour défendre leur équipe préférée, défendre leur honneur, leur réputation, leur territoire : ils ont mis un tel espoir dans leur équipe, de réussite, de gloire, de reconnaissance, de notoriété que tous leurs

morceaux de pains ; ça s'écrase sous les chaussures. » ; les verbes « piétiner » et « écraser » rappellent le mouvement de foule qui se produit dans le stade au même moment, des gens sont écrasés, piétinés par ceux qui veulent fuir les coups des hooligans. Un peu plus haut dans le texte une autre occurrence du mot « piétiné » mis en valeur par un rejet de phrase rappelle cela :  « l'herbe, le sable, le goudrons déserté, piétinés ». Cette phrase annonce déjà ce qui sera l'issue fatale d'un match pas

qui font des caprices de stars chaque semaine, ils en oublieraient parfois que ce sont des professionnels et que des millions de jeunes aimeraient leur ressembler. Par ailleurs, les valeurs d’unités sont aussi bafouées quand on voit les nombreux hooligans dans les stades ou bien les nombreuses violences entre supporters avant et après certains matchs. Enfin, vu que c’est le sport le plus médiatique, une petite incidence peut faire en quelques heures le tour du monde grâce aux médias. Alors, les valeurs

la rage de gagner. La violence sportive concerne plus les hommes dans les sports de hauts niveaux. La violence sociale, extérieur au sport (à Lima en 1964 : 354 morts), pour la foule les gens extériorise leur violence lors des matchs. Les hooligans : confrontation entre idéale démocratique et la réalité. Cette violence ressemble plus à de la frustration et l’impossibilité de transformer les inégalités. Comme ils sont en groupe, le passage à l’acte est collectif et non individuel, donc plus

la Juventus de Michel Platini et qui voit le club italien s'imposer 1-0 sur un penalty de son meneur de jeu français26, a lieu le drame du Heysel entraînant la mort de trente-neuf supporters27. À cause de cette tragédie, due en grande partie aux hooligans, les clubs anglais sont bannis de coupes d'Europe pour une durée de cinq ans. Le Liverpool Football Club devait être écarté des compétitions européennes pour une durée indéterminée. La sanction sera finalement de six ans28,29. Alors joueur et ballon

Intro Paris-Saint-Germain, Olympique de Marseille, Olympique Lyonnais : peu de clubs de football français ont été épargnés par la violence des ultras, frisant avec des comportements hooligans. Mais la politique de tolérance zéro mise en place il y a quatre ans pour chasser des stades les supporters les plus dangereux ne les a pas fait disparaître pour autant. Deux intellectuels débattent de ce que cela signifie d'être supporter aujourd'hui, de l'évolution de l'encadrement des foules qui se rendent

pouvoirs de police. La police doit se déléguer par principe par un acte unilatéral. C’est le cas du règlement de la fédération française de foot qui autorise les clubs à être chargés de la police du terrain, les clubs eux mêmes garantissent que les hooligans ne font pas de désordre avant pendant et après le match. (Avis 29/10/2007 société sportives professionnel Losc lille métropole) Les entreprises privées ont une mission de police administrative et lorsqu’elles font ce service elles le font grâce à