Homme de la rue

Chêne-Hêtre Date et heure : Vendredi 20 juin 2014 à 12h Présentation générale : Grand espace vert délimité par 3 bâtiments (Chêne , Hêtre et Merisiers) accessible en voiture par 2 entrées rue de Pfastatt et 2 entrées rue des Vosges ( voir vue aérienne ci joint) Nous arrivons par la première entrée rue de Pfastatt au niveau de la résidence des Merisiers. Nous voyons au loin le concierge qui est en train de nettoyer le local poubelle des Merisiers, il a l’air épuisé mais nous accueil avec le

édition Il nous faut demander pardon au public de lui donner ce livre, et l’avertir de ce qu’il y trouvera. Le public aime les romans faux : ce roman est un roman vrai. Il aime les livres qui font semblant d’aller dans le monde : ce livre vient de la rue. Il aime les petites œuvres polissonnes, les mémoires de filles, les confessions d’alcôves, les saletés érotiques, le scandale qui se retrousse dans une image aux devantures des libraires : ce qu’il va lire est sévère et pur. Qu’il ne s’attende point

quelque chose à faire.     La rue, sorte de boulevard planté d'acacias maigres, entre deux rangs de maisons inégales et différentes, des maisons de petite ville, montait une sorte de colline; et tout au bout on apercevait des arbres comme si un parc l'eût terminée.     De temps en temps un chat traversait la chaussée, enjambant les ruisseaux d'une manière délicate. Un roquet pressé sentait le pied de tous les arbres, cherchant des débris de cuisine. Je n'apercevais aucun homme.     Un morne découragement

C’est Momo qui parle, alors imite la façon de parler d’un enfant qui n’est pas courant car c’est un enfant de la rue. C’est plain de phrases un peu sans sens qui lui offrent un frais sens de l’humour. 2. RÉSUMÉ DU LIVRE Momo habite Belleville, au sixième sans ascenseur chez Madame Rosa, une vieille juive qui a connu Auschwitz, et qu’il y a longtemps se défendait rue Blondel. Elle s’occupe des fils de quelques prostituées qui vont voir ses gosses le week-end. Mais personne ne va

la liberté, bien qu’elle soit futile pour nous, peut rendre un homme heureux, le poème  C’est aujourd’hui dimanche  de Nâzim Hikmet illustre bien cette idée. Puis, avec le poème Ton sourire  d’Allain le Toullec et  Mon bras pressait ta taille…  de Victor Hugo, nous verrons qu’un sourire ou un regard peut nous remplir de bonheur selon sa provenance, bien qu’il soit si banal, et si simple a faire .Ensuite, les poèmes Les gosses de ma rue  et  Toi ( et combien d’autres )  d’Alain Le Toullec nous montrerons

penser à une tragédie à cause de l'histoire de tromperie) PERSONNAGES PRINCIPAUX - Auguste de Maulincour (baron) : 23 ans, officier dans la garde royale, amoureux de Mme Jules, élevé par sa grand mère la douairière, esprit de vengeur, homme mauvais, c'est à cause de lui qu'il y a des ennuis, il essaie de dire à Mr Jules que sa femme est infidèle. - Mme la baronne de Maulincour (la douairière) : Grand-mère de Mr de Maulincour, c'est son petit-fils chéri, elle ferait tous pour lui.

mère et tisse des liens avec elle de façon un peu maladroite. Souvenirs de balades ou de moments en familles, la petite fille garde un souvenir assez bon de cet endroit.   Le souvenir lié à son opération de la gorge a lieu dans l’appartement de la rue Flatters, boulevard Port-Royal chez son père. Elle souffre mais apprécie d’être un peu chouchoutée à cause de sa convalescence. À Kamenetz-Podolsk, elle se trouve avec sa mère chez Gricha Chatounovski, plusieurs souvenirs sont liés à ce lieu, les flacons

est loin d'être respectée. Bien que les femmes soient majoritaires à suivre des études supérieures par rapport aux hommes, elles ne se retrouvent que rarement à des postes d'encadrement ou de direction. La femme qui exerce le même métier qu'un homme gagne 21% de moins que celui-ci. Elles sont plus nombreuses à travailler à temps partiel (30% des femmes contre 5% des hommes) dont la cause est principalement familiale. Elles sont également plus sujettes à l'emploi précaire, et la modernité constitue

| |3 Les demeures de Balzac | |3.1 Les fastes de la rue Cassini | |3.2 Le 13 rue des Batailles | |3.3 Le château de Saché

représentant du mouvement naturaliste (mouvement littéraire qui cherche à introduire dans les romans la méthode des sciences humaines et sociales) au XIXe siècle. Il écrit son premier roman Thérèse Raquin en 1867 dont nous allons étudier l’incipit. Homme de combat, il s'engage en faveur de Dreyfus en publiant dans le journal de L'Aurore une lettre au Président de la République : elle est connue sous le nom de «J’accuse». L’extrait que nous allons analyser en détail ci-dessous constitue l’incipit du