Homme de la rue

Tout en cheminant, son regard est attiré par une bousculade qui se produit de l’autre coté de la rue. Sur le trottoir d’en face, une femme très joliment vêtue agite les bras et cris “AU VOLEUR! AU VOLEUR !”. Se détachant de la foule, un brigand regarde de droite et a gauche pour s’élancer a travers la rue. George Duroy qui n’a rien manqué de la scène, se dirige rapidement vers l’homme. Au moment où il arrive a sa hauteur, il bondit sur le voleur avec l’agilité de son entrainement, le plaque au

Hassin « Vivre dans la rue » du 30 Juin 2007 mettant en évidence le vécus de l’exclusion pour ces personnes exclues. L’extrait de la première partie, du deuxième livre « La Chute » chapitre 1 des Misérables de Victor Hugo « Le soir d’un jour de marche » montrant le repoussement des personnes non exclue face à ceux qui y sont. Le troisième document qui est un poème de Jacques Prévert qui s’intitule « La grasse matinée », poème dans lequel est évoqué la souffrance d’un homme sans abri/ Et le dernier

Titre : Prager strasse (La rue de Prague) Auteur : Otto Dix (1891-1969) Dimension : 101x81 cm (Huile sur toile & collage) Lieu de conservation : Stuttgart, Galerie der Sardt. Date : 1920. Courant artistique : Dadaïsme, mais plus penché vers l’expressionisme. Description La scène se passe dans la rue de Prager strasse (La rue de Prague), une grande rue commerçante de Dresde, ville où vécue pendant de nombreuses années Otto Dix. Au premier plan, on voit un homme riche mutilé (un cul de jatte)

symboliques Des choix esthétiques Une Vision du Monde BALZAC, LA MAISON DU CHAT-QUI-PELOTE Structure spatio-temporelle Pages Durée de la Narra-tion Lieux Repères temporels 14 31 PARIS Rue Saint Denis / rue du Petit-Lion MARS 1811 Un matin “ Un jeune homme ” examine une boutique descriptions portraits vie dans la boutique 32 33 36 Chez le peintre Le Salon Analepse “ Quelques mois avant ” un soir le lendemain Pendant 8 mois

les années 1800. Dans une rue de Londres ,la nuit , une petite fille est agressée, ses parents sont dédommagés par le même homme. Apprenant cette histoire au hasard d'une promenade , M. Utterson, notaire, s'attache à percer à jour le mystère de cette agression. Sa curiosité l'amène à découvrir qu'elle n'est pas sans rapport avec l'un de ses amis, le Dr Henry Jeckyll, qui héberge dans sa maison le terrifiant M. Hyde. Les raisons de cette curieuse solidarité envers un homme dont les malversations se

commerçants, la Bourgeoisie peu polisée de la rue Saint- Denis. Il appartient au milieu de la petite bourgeoisie provinciale. Balzac n’ait à Tours le 20 Mai 1799. La famille Balzaa s’installe alors rue du Temple, dans le Marais à Paris. Balzac s’inscrit à la faculté de droit de la Sorbonne et devient clerc d’avoué dans l’Etude de maître Guillonet Merville. En Mars 1818 il va quitter celle-ci pour entrer dans celle d’un notaire, Maître Passez, voisin de ses parents, rue du Temple. Il s’éprend de philosophie

argent de l’ecclésiastique, mais est bien vite arrêté par des gendarmes. L’évêque décide de plaider en sa faveur malgré le vol, et ce faisant, le sauve d’un emprisonnement. Cet acte de bonté décille enfin les yeux de Valjean, qui décide de devenir un homme de bien. Fantine est une jeune mère misérable. Elle doit élever seule sa fille Cosette. Une dispute lui vaut d’être arrêtée et interrogée très désagréablement par le commissaire Javert. Elle est cependant relâchée sous l’ordre de Monsieur Madeleine

LES CAPRICES DE MARIANNE – ALFRED DE MUSSET (1833) RÉSUME PAR SCÈNES Scène 1 (Devant la maison de Claudio) Ciuta interpelle Marianne alors que celle-ci se rend à la messe : elle lui apprend qu’un jeune homme prénommé Cœlio est éperdument amoureux d’elle. Marianne. Marianne refuse d’entendre ce fait, et menace d’en informer son mari. Apprenant la nouvelle, Cœlio est effondré, mais il doit sortir pour éviter de rencontrer le mari de Marianne. Claudio entre en scène, accompagné de son serviteur

assis sur un trottoir dans la rue.. Elle s'est approchée de lui et comme le pauvre est déjà habitué à être humilié par tous, il l'a ignorée.. Un policier, observant la scène, s'est approché : – il vous importune ? Elle a répondu : – d'aucunes façons, j'essaye de l'emmener jusqu'à ce restaurant, parce que je vois qu'il a faim et il est même sans forces pour se lever. Vous, la Police m'aideriez-vous à l'emmener jusqu'au restaurant ? Rapidement, le policier aida le pauvre homme qui n'en croyait pas ses yeux

de cette situation (ni d’aucune de celles qui la suivirent d’ailleurs). Mais j’avais au moins le mérite d’assimiler, une fois pour toute le sens du mot « drague ». Depuis ce jours là, et chaque fois que j’ai croisé ce phénomène, que ce soit dans la rue, dans des lectures, des films, ou encore des conversations tenues avec mon entourage, ma curiosité ne faisait que s’attiser encore plus quant à ce phénomène de société. Je me suis donc penchée sur ce sujet avec intérêt, en faisant des recherches