Histoire de Florence

dans Nurgiyantoro (2014, p. 2) explique que la littérature est une œuvre imaginative proposant beaucoup de problème des gens, des humanités, et des vies. L’une des œuvres littéraires est un roman. Le roman est une prose de fiction qui possède une histoire pleine des éléments constitutifs (Aminuddin, 2014, p. 66). À travers d’un roman, l’auteur exprime ses pensées, ses sentiments, et ses idées sur les expériences qui se passent dans la vie. Il est également présente l’aspect psychologique de ses

devient l'amant d'Angela Pietragua, qu'il avait déjà rencontré en 1800, lors de son premier séjour à Milan. Sans doute inspirera-t-elle certains traits de la Duchesse Sanseverina, l'Héroïne de la Chartreuse de Parme. En septembre, il visite Bologne, Florence, Rome et Naples. 1812 Il travaille à l'Histoire de la Peinture en Italie. En Août, il se rend à Moscou. Il sera témoin de l'incendie qui ravage la ville. En novembre, lors de la retraite de Russie, il perd le manuscrit de l'Histoire de la Peinture

et du présent. A-t-il changé ? Si oui, dans le bon au mauvais sens ? Relatant son histoire à son ami, Philippe Strozzi, il emploie des comparaisons : « comme un enfant de dix ans… », … Cependant, dans cette quiétude apparaît un nouveau champ lexical autour de la violence et de la haine : « rage », « cadavres », « m’assommer », … Cette brutalité est nourrie par son envie d’assassiner Alexandre, le duc de Florence, qu’il considère comme responsable de son exclusion après l’avoir rabaissé en société

dans cette chambre par erreur. Garcin, à son tour, révèle qu’il était le chef d’un journal pacifiste et qu’il a osé écrire contre la guerre et c’est pour cette raison qu’ils l’ont tué. Tout à coup, Inès dit qu’ils doivent arrêter de raconter des histoires parce qu’ils sont entre eux, entre assassins. Et elle comprend pourquoi ils sont ensemble. Elle dit qu’il ne manque pas de bourreau parce que chacun d’eux est le bourreau pour les autres. D’où la phrase « L’enfer, c’est les autres ».Garcin a l’idée

injustifiées, leurs papiers d’identités sont soigneusement conservés, elles sont consignées à résidence et toute communication externe est proscrite. Si, toutefois, l’idée d’une fugue leur venait à l’esprit, leur famille d’accueil leur relaterait des histoires d’expulsions ou de prison pour les en dissuader. Enfin pour parfaire leur éducation, on les maintient dans l’analphabétisme et l’ignorance de leurs droits. C’est a l’abri des regards dans le huit-clos des maisons que s’exerce ce nouvel esclavage

Contrairement aux autres, elle ne se fait pas d’illusions sur l'endroit où elle se trouve et admet qu’elle a peur. Elle vivait dans un appartement avec Florence, la veuve de son défunt cousin et était employée des Postes. Inès se caractérise comme une femme "damnée", pour cause de son homosexualité, et méchante. Elle a eu une liaison avec Florence qu'elle a peu à peu détournée de son époux. Ce dernier finit par se tuer. Inès est donc la cause principale de ce suicide et elle reprochait à sa compagne

"Renaissance" montre que les artistes de cette période avaient la volonté d'être en rupture par rapport au Moyen Âge lieu d’émulation Florence et l'Italie, un lieu d'émulation artistiqueUn mécène :Laurent "le magnifique" Médicis Des artistes :Sandro Botticelli, Léonard de Vinci, Michel-Ange...· La cathédrale Santa Maria del Fiore à Florence achever a 1436. · Renaissance  : C'est une période de renouvellement de l'art des XVe et XVIe siècles qui trouve

Histoire des Arts Léonard de Vinci A) 1) Issu des amours illégitimes du notaire des lieux et d'une paysanne, Leonardo di ser Piero da Vinci naît en 1452 dans un petit village toscan. A quinze ans, il entre comme apprenti dans l'atelier de Andrea Del Verrocchio à Florence dont il reste sous la coupe jusqu’en 1476. Léonard y apprend l’orfèvrerie ; la sculpture ; la fonderie ; et acquiert une connaissance approfondie de la peinture. Les commandes de l’atelier sont composées majoritairement de fresques

 Histoire de la profession d’infirmière I- L’origine des infirmières L’antiquité : Pas de spécificité de la formation soignante, cela pouvait être la maitresse de maison aidée par des esclaves ou par des médecins, par des femmes de la noblesse qui allait soigner les malades (PAOLA et FABIOLA ce sont des romaines qui se sont convertie au christianisme «  notion de charité » elle organise les soins). Elle parle de la genèse de la pratique des soins élaborer par les hommes et les femmes.

sa compréhension. Scène 2 Garcin se retrouve seul et appelle vainement le garçon. Garcin est seul et il essaie de parler au garçon et de sortir de cet endroit. Scène 3 Inès entre. Confuse, elle demande à Garcin où est Florence. Garcin lui explique qu'il ne connaît pas Florence et qu'ils sont "logés à la même enseigne". Inès prend Garcin pour son bourreau. Celui-ci sursaute, rit, puis lui explique que non et tente un dialogue et des règles de vie comme la politesse. Réponses froides et brutales