Hervé Bazin

5.La Nouvelle Vague est un mouvement cinématographique apparu en France à la fin des années 1950. C’est une expression qui est attribuée aux nouveaux films distribués en 1959 et qui sont principalement présentés au Festival de Cannes de cette année-là. Elle regroupe les jeunes cinéastes qui font leur premier long métrage en 1958-1960 (Exemple Claude Chabrol, François Truffaut, Éric Rohmer,…). La nouvelle Vague se caractérise par une nouvelle façon de produire, de tourner, de fabriquer des films

grand-mère maternelle. A l’âge de 7-8 ans, il va vivre chez sa mère, il fait l’école buissonnière, vole une machine à écrire, se retrouve au commissariat puis dans un centre, s’enfonçant ainsi dans une petite délinquance. Il sera « sauvé » par André Bazin, auquel le film est dédié. Après différents petits métiers, il devient critique de cinéma. Après deux courts métrages, il réalise Les Quatre Cents Coups en 1958. Le film obtient le prix de la meilleure mise en scène au festival de cannes en 1959

L’école ne le passionne pas. Il préfère passer son temps dans les salles obscures ou le nez dans les livres (par exemple : Balzac, auteur qui le passionne). Il connaît les centres d’observation pour mineurs. Durant son incarcération, il rencontre André Bazin, qui décide de le prendre sous son aile. Truffaut devient critique cinématographique; le cinéma le sauve de la délinquance. Il finira par participer à l’émancipation du cinéma avec un cinéma plus libre. Puis, il finira par mourir en 1984 à Neuilly-Sur-Seine

Pen, Claude Chabrol participe en tant que critique de cinéma au lancement de la Nouvelle Vague française, aux côtés de François Truffaut et Jacques Rivette, ses collaborateurs aux Cahiers du cinéma. Dans la revue à couverture jaune, fondée par André Bazin et Jacques Doniol-Valcroze, il participe à la défense de la politique des auteurs et publie, en 1957 avec Éric Rohmer, un livre sur Alfred Hitchcock, celui qui a su imposer son style au système hollywoodien. Il a entre-temps épousé Agnès, une riche

presse[8], tout en agissant comme critique de cinéma dès l'aurore de la Nouvelle Vague française, aux côtés de François Truffaut et Jacques Rivette, ses collègues aux Cahiers du cinéma. De 1953 à 1957[6], dans la revue à couverture jaune, fondée par André Bazin et Jacques Doniol-Valcroze, il participe à la défense de la politique des auteurs et publie, en 1957 avec Éric Rohmer, un livre sur Alfred Hitchcock, le maître du suspense et celui qui a su imposer son style au système hollywoodien. Une autre rencontre

majuscules. Il vise essentiellement le cinéma littéraire, mais brocarde également l'académisme, le conformisme et l'esprit " petit bourgeois " du cinéma français. Qu'il disparaisse donc, au profit du cinéma d'auteurs. Malgré les tentatives d'André Bazin d'éteindre l'incendie, le feu se propage au sein des Cahiers du cinéma : la fine équipe gagne du terrain, et généralise la pratique des grands entretiens avec les cinéastes ; le contenu d'un film est désormais sa mise en scène. Qu'il s'agisse de critique

« un voyou de Pigalle ». Quand il avait 14 ans il a fondé un ciné-club et, endetté a cause de la chute de son club, s’est retrouvé au centre d’observation pour mineurs délinquants de Villejuif. Quelques années plus tard il a rencontré André Bazin qui est devenu son véritable père, en le logeant sous son toit et en l’encourageant de continuer à écrire sur le cinéma. Ainsi Truffaut devient le critique du cinéma et devient assez connu pour ses opinions aigües. A l’âge de 25 ans il tourne

finira par ne pas marcher pour programme non respecté. De 1948 1949 Truffaut est mis dans une foyer pour déclinquent mineur (car son beau père était mailer a une enquête de police, le commissaire a donc décider de le placer), à sa sortie André Bazin le fait travailler à la section cinématographique de Travail et Culture qui lui ouvre les portes de quelques magazines ( il rédige les premiers articles en 1950). François Truffaut publie des articles pour Les Cahiers du cinéma puis entre dans la revue

achevé est une déception pour Renoir, mais, dit-il, « le démon de la mise en scène était en moi. » La découverte, en 1924, du film d'Erich von Stroheim, Folies de femmes (Foolish Wives), l'enthousiasme, et décide de la suite de sa carrière. André Bazin, Jean Renoir, présentation de François Truffaut, avant-propos de Jean Renoir, éditions Champ libre, 1971 Claude Beylie, Jean Renoir, le Spectacle, la vie, Cinéma d'aujourd'hui, no 2, mai-juin 1975 Claude Beylie et Maurice Bessy, Jean Renoir, Pygmalion

exprimer ;ce n'est pas pour, après, organiser des primaires", s'exclame M. Copé, qui campe sur la même ligne que M. Sarkozy et veut à tout prix empêcher toute autre candidature à droite. Les deux téméraires – Alain Lamassoure, député européen, et Hervé Mariton, député de la Drôme – qui avaient osé se prononcer, ces derniers jours, pour l'organisation d'une primaire à droite ont donc pu, à leur demande, défendre leur position au bureau politique. Tous deux s'inquiètent du climat actuel dans la majorité