Herpès

microscopiques (candida albican, cryptococcus, aspergillus,…) • Soit des champignons saprophytes • Soit des champignon pathogène - classification des mycoses • Mycose superficielle Dermatophyties ou dermatophytoses - la peau (herpes circiné) - les lis (intertigos) entre les orteils - les zones pileuses (sycosis) - les cheveux (teignes) - les ongles (onychomycose) • Mycose cutanéomuqueuse Due au candida albican - muguet • Mycoses profondes

governments to develop responses to bioterrorist threats such as anthrax, smallpox, plague and other diseases. Researchers are also focusing on infectious diseases that affect millions of people all over the world – hepatitis, fungal infections, herpes, influenza, rotavirus, sepsis, sexually transmitted diseases, tuberculosis, urinary tract infections and many more. Pharmaceutical R&D has helped to produce medicines, which have improved life expectancy. According to the World Health Organisation

répercussions cutanées) d'hyperhydrose diffuse ou localisée ; Elles peuvent se superposer aux zones d'hyperesthésie cutanée. de dermatoses ; au niveau des zones cutanées perturbée par une excitation dentaire peuvent se greffer des dermatoses de type Herpès, Zona, Acné rosacée. 4 Troubles muqueux Fréquemment au cours de l'éruption d'une dent de sagesse inférieure apparaît une stomatite odontiasique. D'origine trigéminale, la stomatite odontisique est unilatérale et ne dépasse jamais la canine du côté

Puf Peteraf., M.A., (1993), "The Cornerstones of Competitive Advantage: A Ressource-based View", Strategic Management Journal, Vol.14, 179-191 Pfeffer J., Salancik G., (1978), The external control of organization, a ressource dependance perspective, Herper & Row, Publishers Pijnenburg, B., (1997), "Euro-lobbying par des coalitions ad hoc : une analyse exploratrice", Politique et management public, vol. 15, n°2, Juin Post, J.E. et al., (1983), "The public affairs function", California Management Review

retenu une définition des maladies vénériennes qui remontait à 1942 et qui visait essentiellement 4 maladies vénériennes dont certaines étaient en très forte régression mais une définition qui en revanche ignorait des germes beaucoup plus récents (herpès). On transmet donc au département en 1983 une compétence sur des maladies dont la définition est obsolète. C'est en 1992 qu'une actualisation des ces maladies a été faite. Actualisation qui prend en compte les maladies plus courantes aujourd'hui.

homme (bovidés.) 4) T. interdigitale: Transmission inter-humaine. 5) T. Schœnleinii: Transmission inter-humaine. 6) T. violocéum: Transmission inter-humaine. 3Epidermophyton: 1) E. flocosum. IIADIAGNOSTIC POSITIF : FORMES CLINIQUES: D. en peau glabre Herpès circiné M. canis. T. rubrum. T. mentagrophytes. T. verucosum. Plaques érythématosquameuses, arrondie, souvent papulo-vésiculeuses, à bords nets. Lésions D. des plis Dermatophytie des grands plis T. rubrum E. flocosum ♂ Macules roses, à bords nets

catégories : - les causes génétiques (anomalies chromosomiques) - les causes accidentelles ( traumatismes crâniens , syndrome du bébé secoué, chutes) - les causes virales et infectieuses ( méningite, encéphalite, toxoplasme, rubéole, herpès) - conduites addictives pendant la grossesse ayant des répercussions sur le fœtus (alcool et drogues entraînant des souffrances fœtales) - les causes non connues actuellement Ces éléments impliquent des lésions cérébrales qui peuvent être

ou une infection qui se transmet sexuellement ? 1 Oui 2 Non 3 [NSP] 4 [REF] SI IST1= 1 IST2 De quelles maladies ou infections s’agit-il ? ENQ NE PAS CITER - MULTI 1 Chlamydia/Chlamydiae/Chlamydiose 2 Gonocoque/Chaude pisse 3 Herpès génital 4 Condylome/crête de coq/Papillomavirus/HPV 5 Trichomonas 6 Mycoplasme 7 Syphilis 8 Hépatite B 9 VIH/sida 10 Mycose ou champignon ou candidose 11 Autre (préciser) 12 [NSP] 13 [REF]

Neisseria Rougeole 15 Montpellier 7 IPP 22 Pitié IPP Mycobactéries Lyon 8 8 Lyon 7 IPP 6 7 Strasbourg 4 Gif/Yvette 6 Lyon 5 >30 IPP Lille 5 Yersina 7 Toulouse Rage Herpès 23 Pitié Staphylocoques 4 IPP 5 Lille 7 IPP 5 Toulouse 7 Hélicobacter Bordeaux 7 IPP 4 Lyon 12 Grippe Bioterrorisme Marseille 84 IPP 64 Lyon 27 R. atb/ antibiotiques

22 Comportement  Avoir les mains propres. Les laver au savon avant de toucher la région anogénitale.  Ne pas toucher poignées, abattants des W.-C. publics et même chez-soi, avec la main utilisée pour l’hygiène locale (risques infectieux : herpès, verrues génitales, autres germes).  Ne pas s’asseoir sur l’abattant des W.-C. utilisé par autrui sans avoir pris la précaution de désinfecter ou de poser un système de protection intercalaire.  Après avoir uriné, assécher localement la vulve avec