Hero Banal

DISSERTATION POUR APPRECIER UN ROMAN, UN LECTEUR A-T-IL BESOIN DE S’IDENTIFIER AU PERSONNAGE PRINCIPAL ET DE PARTAGER SES SENTIMENTS ? » Mon plan est: I)Le lecteur a besoin de s’identifier au personnage 1) Il s’identifie au personnage banal qui lui ressemble (romans réalistes) 2) Il s’identifie au personnage auquel il aimerai ressembler (ex: la princesse de Clèves) 3) Il s’identifie au personnage pour vivre de nouvelles expériences II) LE lecteur n’est pas obligé de s’identifier au personnage

roman, le héro, Hugues Viane, est plongé dans un mal de vivre et dans un interminable deuil suite à la mort de sa femme. Il se complet dans la douleur et , à moitié mort, ne voit dans le monde que ce qui peut alimenter son deuil. Les photos, présentes dans le livre ne sont pas là qu’à titre illustratif mais également pour montrer la mélancolie de la ville de Bruges pendant le deuil du héro. Le spleen et le mal de vivre, caractéristique du mouvement symboliste, pèse aussi bien sur le héro que sur le

Au retrouvera par exemple un personnage principal qui aura un destin exceptionnel. C’est le cas de Julien Sorel dans Le rouge et le noir de Stendhal dont le destin sera qualifié de destin Stendhalien. Le fait que ce personnage, que l’on appellera héro, ait un destin exceptionnel rendra sa vie différente de celle du lecteur et pas complètement comparable. Des personnages aux personnalités hors du commun vont également exister, caractérisé par une intelligence supérieur ou une facilité à raisonner

nécéssité, des personnages representant une humanité moyenne peuvent etre tout aussi interessants. En effet, les lecteurs ne sont pas dupes et savent que les personnages aux vertues extraordinaires ne sont qu'imaginiares. Comme personnage réaliste et banale, on restrouve Winston Smith, dans le roman 1984 de George Orwell, son travail consiste à remanier les archives historiques afin de faire correspondre le passé à la version officielle d'un Parti. Ce protagisme est un héros de roman et pourtant, il

sympathiques, si honorables quoi qu’ils soient des fripons. »Un personnage romanesque peut-il captiver le lecteur malgré une attitude immorale ? Dans un premier temps nous étudierons la fascination du mal puis le rejet de l’aspect empli de véracité du héro immoral. Certains auteurs partagent une conception du roman qui les amène parfois à concevoir des personnages mauvais et à les présenter comme un repoussoir, afin d’offrir au lecteur l’exemple à ne pas suivre. Choderlos de Laclos affirme avoir

que » montre une critique. Couple idéaliste (matérialiste). Inhabituel par rapport au héro classique, seul les valeurs marchande les interressent. IMPARFAIT= constat, habitude → enfermement dans la routine et le quotidien. b) Portrait comportemental Ils sont velleitaire (=vouloir mais ne pas faire). Le deuxième paragraphe (action) illuste le premier. (valeurs). Jérôme & Sylvie → banale → pas de nom de famille. Ligne 7: « souvent » adverbe qui indique l'habitude. Ligne

pu dire la nature". Les vêtements sont posés sur le lit, ce sont des "habits de tous les jours", ils sont "vilains comme les hardes de la Morgue", ils sont donc usagés et misérables. Ces indications de la vie quotidienne, ces détails en apparance banals prouvent donc au lecteur que Duroy vit dans une grande pauvreté. Il n'y a pas d'hygiène, car tout est sale, pas de confort car il possède peu de choses. On ressent donc de la pitié pour l'homme qui vit dans ces conditions. Pour finir, cette description

originalité (La bête Humaine, Zola). Cela peut être une sorte de héro négatif, qui n’a pas de sens moral, qui peut être un assassin ; le lecteur ne s’identifiera pas à lui mais sera fasciné par le personnage. C’est aussi par cet attrait vers le différent que le lecteur aime à s’évader. Dans ce cas, le lecteur ne s’identifie pas forcément au personnage principal et ne souhaite pas partager ses sentiments. Il veut juste vivre l’histoire avec le héro, partager un rêve ou une fiction, s’évader dans une autre

Un héro dans l’antiquité a des caractéristiques exceptionnelles, si bien qu’un héros peut désigner un personnage extraordinaire, mais aussi, uniquement le personnage principal du roman. En effet certains auteurs considèrent que le héros peut être n’importe qui, ainsi Zola a déclaré : «  Le premier homme qui passe est un héros suffisant » Le héros peut-il vraiment être le premier homme qui se présente ? Nous montrerons qu’un héros n’est pas qu’un être extraordinaire, puis qu’il peut être banal

publique.   → Les champions sont ainsi élevés au rang d’icônes, de stars mondiales, voir de héros mondialisés.    Par exemple, la coupe du monde de 2018 permet d’illustrer ça lorsque l’on regarde la sémantique utilisée dans les  médias: “héro”  Qu’est ce qu’un Héro?   Selon les grec et les latin, c’est un personnage mi-homme, mi-dieu auquel on prête un courage et des exploits  remarquables. (des personnes légendaires)  On entend aussi parler de mythe, qui est la mise en récit des personnages légendaire