Herbert Samuel

La révolution facteur de progrès (Kuhn, La structure des révolutions scientifiques, 1963) Proposez un commentaire critique personnel et structuré de ce texte de Thomas Kuhn (maximum deux pages dactylographiées). Pourquoi l’entreprise scientifique progresse-t-elle régulièrement alors que par exemple ni l’art, ni la théorie politique, ni la philosophie ne le font ? Pourquoi le bénéfice du progrès revient-il exclusivement aux activités que nous appelons sciences ? […] Notons immédiatement qu’une

Le philosophe américain Thomas S. Kuhn dans son œuvre "la structure des révolution scientifiques" oriente sa réflexion sur la notion de paradigmes suggérant l'idée d'une science gouvernée par un ensemble de schémas conceptuels accepté par la communauté scientifique et même la société. Ainsi Kuhn réfute la prétendue neutralité d'une démarche scientifique et conçoit l'action probable d'un certain nombre de présupposés sur la recherche scientifique. Pour lui, l'histoire des sciences se résumerait par

Chapitre 1 : Les précurseurs à la révolution marginaliste Première école néo-classique : école autrichienne, une théorie subjective de la valeur Deuxième : école de Lausanne, Léon Walras, équilibre général sur tous les marchés Troisième : école de Cambridge, Marshall, situation d'équilibre partiel, analyse de l'utilité marginale Quatrième : école de Stockholm, Knut Wicksell I) La révolution marginaliste, une révolution scientifique? A) Qu'est-ce qu'une révolution scientifique? Karl

la contemplons, et de ce que Schiller appelle la “vie”, car nous la sentons » ( p.128, Friedrich Schiller de Sylvain Fort). Le romantisme anglais suit de près le romantisme allemand, où création littéraire et idées philosophiques se mélangent; Samuel Taylor Coleridge est l'un des précurseurs du mouvement en Angleterre. Ce poète s'est beaucoup intéressé à l'oeuvre allemande au cours de sa vie. Malgrè cela, l'influence de Schiller sur Coleridge ne se révèle pas autant que l'influence de ses autres

Introduction sur le sujet : Les États sont-ils indispensables ? Dans le but de bâtir une société politique organisée, des auteurs ont conceptualisé la théorie générale de l’État, en vue de passer d'une société naturelle à une société civile. Ainsi, l’État apparaît comme la forme normale d'organisation des sociétés politiques contemporaines. Son existence demeure indispensable en dépit de sa remise en cause à la fois au plan national et international. La notion d’État est une notion complexe

pouvoir législatif. Montesquieu, dans De l’esprit des lois, adjoindra ultérieurement un troisième pouvoir, le pouvoir judiciaire. Si la constitution américaine de 1787 s’inspire de ces deux philosophes, ainsi que des principes de droit naturel de Samuel von Pufendorf, longtemps ce courant n’aura qu’une influence très minime sur les institutions en France, En Angleterre même, il perdra de son influence à partir de la première moitié du XIXe siècle. Développement historique [modifier] L’État

sciences entre positivisme et sociologisme », Revue européenne des sciences sociales [En ligne], XL-124 | 2002, mis en ligne le 01 décembre 2009, consulté le 15 octobre 2012. URL : http://ress.revues.org/589 ; DOI : 10.4000/ress.589 Kuhn, Thomas Samuel, 1983. La Structure des révolutions scientifiques [1962, postface de 1969], Flammarion. Jorland, Gérard, « La notion de révolution scientifique aujourd’hui », Revue européenne des sciences sociales [En ligne], XL-124 | 2002, mis en ligne le 01

Rois (1) Premier livre des Rois Lire Détail Rois (2) Deuxième livre des Rois Lire Détail Romains Epître de Paul aux Romains Lire Détail Ruth Livre de Ruth Lire Détail Samuel (1) Premier livre de Samuel Lire Détail Samuel (2) Deuxième livre de Samuel Lire Détail Sophonie Livre du prophète Sophonie Lire Détail Thessaloniciens (1) Première épître de Paul aux Thessaloniciens Lire Détail Thessaloniciens (2) Deuxième épître de Paul

Cantillon (1660-1734). François Quesnay (1694-1774) devient leur chef de file incontesté après la publication du "Tableau économique" (1758) montrant la circulation des richesses dans l'économie. Malesherbes (1721-1794), Turgot (1727-1781) et Pierre Samuel du Pont de Nemours (1739-1817), Mirabeau (1749-1791) sont des physiocrates. Turgot, contrôleur général des Finances de 1774 à 1776, tente d’appliquer un programme de réformes, proche des idées des physiocrates : liberté du commerce et de l’industrie;

permettant d’éviter les disettes via une meilleure production et une meilleure répartition de la richesse. B- Auteurs physiocrates François QUESNAY (1758) ; Vincent de GOURNAY, Richard de CANTILLON et TURGOT, Lemercier de la Rivière, Pierre Samuel du PONT de NEMOURS, etc. II- ANALYSE PHYSIOCRATE Les physiocrates se sont d’abord intéressés à la relation entre la croissance économique (richesse des nations) et l’agriculture (La Terre), ensuite à la répartition de la richesse créée entre