Henri de Toulouse-Lautrec

artistes de passage s'y produisent aussi, comme Buster Keaton en 1947, avec Beby Frediani, puis en 1952 avec sa femme Eleanor Norris, puis une dernière fois en 1954, et Fernand Raynaud (1956). Medrano inspira de nombreux artistes de Pigalle : Toulouse-Lautrec, Seurat, Renoir, Derain, Van Dongen ou Picasso. En 1956, les Gruss-Jeannet (Alexis Gruss Sr., André Gruss et Lucien Jeannet) arrêtent le "Radio Circus" en collaboration avec Radio Luxembourg et tournent un an sous l'enseigne "Medrano". Les

étendre le lectorat et optimiser la rentabilité. La formule, révolutionnaire est immédiatement copiée. La publicité média est née. L'affiche, donne au début du XXe siècle des réalisations qui atteignent l'état d'œuvre d'art avec Jules Chéret, Henri de Toulouse-Lautrec, Cassandre, Leonetto Cappiello, etc. Avec la radio, la publicité exploite le répertoire de la chanson et met au point l'association entre un slogan oral et un visuel (comme le célèbre « Dubo, Dubon, Dubonnet »). Le XXe siècle ouvre également

leurs recherches qui peuvent leurs passer à côté par la vision naturelle, ils sont face à une reproduction exacte d’un de leur fait d’étude et peuvent observer à la loupe les moindres détails qui la composent. C’est la constatation qui est faite par Henri Milne-Edwards en 1853 à l’Académie des sciences où il déclare « que les photographies zoologiques de Louis Rousseau sont riches d’une multitude de détails qui échappent à l’œil » et que « à l’aide d’une loupe, on y voit tous les détails que cet instrument

assuré par un orléaniste, le duc Albert de Broglie, qui tente de faire accepter au prétendant monarchiste (que les orléanistes ont reconnu puisqu’il n’a pas d’enfant et que la succession reviendrait au comte de Paris, soutenu par les orléanistes) Henri, comte de Chambord, petit-fils de Charles X (Roi de France de 1830 à 1848) le drapeau tricolore mais le comte préfère conserver le drapeau blanc. Faute de mieux, le duc de Broglie demande aux monarchistes de proroger les pouvoirs de Mac-Mahon afin

La fin du siècle (1880-1900) : vers de nouvelles avant-gardes… 1. Le post-impressionnisme ou l’éclatement de l’héritage impressionniste (1886) : Seurat et le pointillisme ; Van Gogh, Gauguin et l’Ecole de Pont-Aven ; Bonnard et les Nabis ; Lautrec ; Cézanne 2. Le symbolisme en France et dans les autres pays d’Europe L’Art « naïf » d’un inclassable : le Douanier Rousseau Conclusion : L’Art Nouveau (1890-1910 environ) : Art Nouveau, Jugendstil, Ecole de Glasgow et Sécession viennoise

Riesener, Jean-Henri (éb) Robert, Hubert (pt) Sené, Jean-Baptiste Claude (éb) Sheraton, Thomas (éb) Schinkel, Karl Friedrich (arch) Soufflot, Jacques-Germain (arch) Stubbs, George (pt) Thomire, Pierre-Philippe (orf, éb) Thorvaldsen, Bertel (sc) Wedgewood, Josiah (cé) Weisweiler, Adam (éb) West, Benjamin (pt) Littérature Beaumarchais, Pierre Augustin Caron de Chénier, André de Delille, abbé Jacques Diderot, Denis Fichte, Johann Gottlieb (phi) Holback, Paul Henri, baron d’ Jefferson

des pointes. Fin 19ème siècle, 1890 à 1914 : la Belle Epoque : on s’intéresse plus au petites danseuses qu’à la danse elle-même (Degas). folle ambiance des cafés concerts "Les Folies Bergères", French-Cancan qui fera le succès du Moulin-Rouge, Toulouse Lautrec immortalise la Goulue, danseuse de french cancan A Paris on s'amuse, à Saint-Petersbourg, l'école impériale de la danse prépare son triomphe... Marius Petipa (français parti travailler à St Petersbrg) créé des oeuvres célèbres : "La Belle au

ce qui constitue l'identité d'une culture, son patrimoine. Dans le langage courant, cependant, le terme s'applique parfois à d'autres types de déprédations volontaires. Le terme apparaît en 1793[1] pour être popularisé le 10 janvier 1794 par Henri Grégoire, dit « l'abbé Grégoire », évêque constitutionnel de Blois, dans son rapport adressé à la Convention, où il utilise le mot pour désigner l'attitude destructrice d'une partie de l'armée républicaine. L’intervention du législateur dans la politique

aussi l'Impressionnisme avec son amour des scènes familières, balançoire dans un jardin, enfants courant dans les prés ou mère près d'un berceau, et avec lui les artistes indépendants épris de " modernité ", comme Degas, Steinlen, Raffaelli ou Toulouse-Lautrec.    Pourtant, le mot Réalisme ne recouvre qu'un groupe assez étroit d'artistes qui gravitent, ou qu'une critique imprécise a fait à tort graviter autour de Courbet. Le mot même de Réalisme apparaît, en 1836, dans la Chronique de Paris, sous

journaux. En 1896, plus de 37% des recettes du Figaro sont dues à la publicité. De 1880 à 1900, on assiste à un phénomène appelé « affichomanie », c'est-à-dire que les affiches sont de plus en plus collectionnées, ce qui en améliore la qualité. Toulouse-Lautrec et Leonetto Cappiello y contribuent grandement en simplifiant, chacun à leur manière, les formes et les couleurs afin de rendre les affiches plus attirantes. Une affiche coûte en 1900 environ 12 francs 60, alors qu'en comparaison un quotidien