Henri Barbusse

souffles de la mort nous poussent, nous soulèvent, nous balancent. On bondit ; on ne sait pas où on marche. Les yeux clignent, s'aveuglent et pleurent. Devant nous, la vue est obstruée par une avalanche fulgurante, qui tient toute la place. Henri BARBUSSE, Le Feu, Journal d'une escouade, 1916, © Flammarion, 1917.

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de la boue et des rats. Parfois les tranchées s’écroulaient. Les poux pullulent dans les tranchées des deux armées. Les poilus comptent les poux qu’ils débusquent dans les plis de leur chemise, repérant les plus agressifs, à tête rouge.(3) Henri Barbusse les compare à une « mie de pain mécanique » qui court dans la paille. (2) Le soldat Tjaden les fait griller dans le couvercle d’une boîte de cirage, placée au-dessus d’une bougie allumée.(4) Les cas graves sont hospitalisés pour épouillage : «

environ 20h, et certains le dimanche matin. Au sein de ces « supérettes », on retrouve 2 MDD : - Grand Jury - Reflets de France En plus des marques habituelles. Shopi de Malakoff : Le Shopi de Malakoff, situé dans le quartier Henri Barbusse, a été implanté vers 2005. Et depuis, sa clientèle est composée principalement de personnes âgées habitant les cités ou quartiers pavillonnaire alentours. ( Sa zone de chalandise : [pic] [pic]  Shopi [pic] Autres supermarchés, hard discount…

Le feu, Journal d’une escouade d’Henri Barbusse (1873 Asnière-1935 Moscou) Notre pagination renvoie à l’édition du Livre de poche et nous ne soulignons que les passages complémentaires à l’analyse d’Alain dans Mars ou la guerre jugée. Le livre parut en Novembre1916 aux Editions Flammarion et remporta le Prix Goncourt ; il raconte, souvent à la première personne ou par dialogues interposés, la vie quotidienne d’une escouade de fantassins alors que les combats ensanglantent déjà l’Europe

Haie Westhus : c’est un homme très costaud, il est ouvrier. Stanislas Katczinsky : c’est la tête du groupe, il est dur, rusé, roublard et il a beaucoup de flair. Il est appelé Kat. Franz Kemmerich : grand blessé a la jambe lors d’une des charges. Henri : c’est le cuisinier du régiment, il est appelé « la tomate »ou « cuistot ». Ce n’est pas un personnage principal. Kantorek : il n’est pas présent, c’est le professeur qui a enrôlé Paul et ses amis. Albert Kropp : il était aussi avec Kantorek et

Dossier Histoire des Arts, La première guerre mondiale mise en scène par les écrivains et les dessinateurs. Texte 1 : extrait de Le feu, journal d'une escouade, Henri Barbusse « Plus jamais ça », une dénonciation de la guerre. La visée (=le but) de ce texte est bien entendu la dénonciation de la guerre. Pour cela, il utilise différents champs lexicaux : celui de l'audition : « détonations épouvantables, monstrueusement retentissante, strident fracas, averses de tonnerre, effroyable rideau

Présentation rapide de sa bande dessinée C’était la guerre des tranchées. 1er axe d’étude : Imaginer et cauchemarder la guerre. ● Les souvenirs et les récits de sa grand-mère. ● Les oeuvres cinématographiques. ● Les récits des écrivains combattants : Barbusse, Cendrars, Dorgelès ou Céline. ● La peinture : Otto Dix ou Gus Bofa qui a illustré la revue La Baïonnette. 2e axe d’étude : Témoigner, documenter et sensibiliser. ● Importante documentation historique : lettres, carnets de guerre, témoignages du

Sujet II : commentaire littéraire Henri Barbusse, Le Feu (1916) I- Questions d'observation 1) Le pronom « on » ici désigne l'ensemble des hommes présents sur le champ de bataille : indistinctement les alliés et les ennemis du camp du narrateur. Le « on ne tire pas » signifie « personne ne tire ». Dans l'expression « on ira voir » le on désigne les hommes du groupe auquel appartient le narrateur. 2) Les négations sont nombreuses dans le texte : « pas un bruit, on ne tire

Guerre , éditions André Versaille , octobre 2008 Revues TDC n° 877 : la mémoire des guerres TDC n°1024 : la vie dans les tranchées Ouvrages d’histoire locale : Henri Michel : Une enfance provençale au temps de la première guerre mondiale , éditions c’est-à-dire Maurice Mistre : La légende du XV ème corps Romans : Henri Barbusse : Le feu (prix Goncourt en 1917) Roland Dorgelès : Les croix de bois, Erich Maria Remarque : À l'Ouest, rien de nouveau Sébastien Japrisot : Un long dimanche