Heaume

du lecteur, les actions se multiplient, avec la répétition de certains verbes comme « fendre » (vers 9 et 10). - le rôle des armes : les armes indiquent au lecteur la situation de l’action : il s’agit des armes d’un chevalier : l’épieu, l’épée, le heaume, les escarboucles et le haubert. Cette description réaliste donne au texte une certaine crédibilité. - le combat est violent : les parties atteintes chez l’adversaire sont précisément notées : le crâne et la chevelure, les yeux et le visage. - le

différents types de casques tels que : Le heaume désigne l’armure de tête, ce terme fait son apparition au XIIème Siècle. Vers le début du XIVème Siècle, le masque facial devint mobile, permettant d’avoir le visage à découvert lors de moments critiques. Cette évolution fit apparaître le bassinet qui est plus confortable (car plus léger), plus pratique pour dévier les coups et sa visière pouvant être relevée pour dévier les coups. A la fin du XIème Siècle, le heaume à « tête de crapaud » fait son apparition

Tout d’abord, « La mort de Roland » appartient au courant littéraire épique car le texte a des valeurs héroïques. Par exemple, le courage exemplaire du personnage Roland qui est retrouver dans cette citation : «Il en frappe le païen sur son heaume gemmé d’or, et lui fracasse l’acier, la tête, les os et lui fait jaillir les deux yeux hors de tête. » (Paragraphe 170, ligne 16-18). Le procédé qui est retrouvé dans cette citation est la gradation. La situation va du moins grave au plus grave. L’auteur

sur son front de couleur pâle. Ses grands yeux marron mettaient en valeur son côté attentif et calme. Son armure vermeille, de très grande qualité était très belle, le heaume et le haubert étincelaient. L’écu était gravé des initiales du seigneur pour qui il combattait et portait un blason de couleur rouge, bleu et or, ce qui signifiait le courage, la beauté et la richesse. Alard

techniques de combat utilisées. Il y a plusieurs soldats ,ainsi que des tours. On distingue aussi un prêtre .O voit aussi un chevalier qui est situé en haut de la colline. Les francs sont armés d’arc ainsi que les ennemies. Les chevaliers ont des heaumes et des armures, on ne voit pratiquement pas leur visage. Alors que les ennemies , ne portent pas de casques et ils portent la barbe. On distingue aussi des tours différentes ou est perché le roi ainsi que les ennemies. L’une des tours est en bois

jeune frère le voyant venir se munit d’une épée, et porte un coup fatal. La monture d’Yvain se blesse , le cheval se cabre et fait tomber Yvain . La chute d'Yvain étant puissante , elle lui cause une blessure au front . Le sang s’échappe de son heaume, ce qui lui laisse une visibilité très restreinte qui ne lui permet plus de voir que d’un œil. Yvain d’une force surnaturelle se relève et prend son épée, le plus jeune frère descend de sa monture. Le combat se prolonge au sol , Yvain est en mauvaise

se pâme. Voilà Roland, sur son cheval, pâmé, et Olivier qui est blessé à mort. Il a tant saigné que ses yeux sont troublés. Ni loin ni près il ne peut voir assez clair pour reconnaître homme mortel. Il rencontre son compagnon et le frappe sur son heaume gemmé d’or : il le lui tranche jusqu’au nasal, mais il n’a pas atteint la tête. À ce coup, Roland l’a regardé et lui demande doucement, amicalement : « Sire compagnon, l’avez-vous fait exprès ? C’est moi, Roland, qui vous aime tant ! Vous ne m’aviez

roi m'a chaussé l'éperon droit (c'est la coutume), j'ai été étonné de me faire chausser l'éperon mais aussi très content de vivre cet instant.Aussi, chacun des autres chevaliers a voulu me donner une pièce de leur armement, c'est-à-dire un écu, un heaume, un haubert, une épée...Il m'a conféré avec l'épée l'ordre de chevalerie, cela est très émouvant pour moi et je ressentais pleins d'émotions: la joie, le courage, l'espoir, l'enthousiasme mais aussi un peu de fatigue mais bon...Le roi m'a donné comme

croisé rouge, les hospitaliers un uniforme bleu-turquoise avec la croix de malte et tous les croisés portent une cote de maille lorsque prêts à guerroyer. Certains d’entre eux sont aussi protégés par un casque conique avec nasillard, d’autres par un heaume avec visière. Lorsqu’à cheval, les chevaliers ont des étriers. On remarquera, au début du film, un homme noir qui fait partie de la compagnie de croisés du père de Balian. Avec l’arrivée de l’armée de Saladin, M Scott inclura des chameaux ainsi que

l’incarnation du chevalier idéal. II. Aspects religieux 1. Valeurs chrétiennes des chevaliers. 2. Rapport de Guillaume avec la religion. 1. Histoire et culture des chevaliers. -Le chevalier est un homme d’armes. Armes : lances, épées, écus, hauberts et heaumes (doc. 4 p. 119). Il possède un cheval : un animal très rare et précieux (une fortune !). Un groupe de plus en plus fermé : - Vers l’an Mil, le chevalier est souvent issu de la paysannerie : exploits et bravoure individuels donnent accès à la chevalerie