Hauts-de-chausses

l’époque qu’un commerce était là et que ses produits sont disponibles pour eux. On pratiquait aussi à Rome une sorte d’affichage politique puisque, en période électoral, les candidats à une charge placardaient des peintures qui mettaient en valeur leurs hauts faits. Au Moyen Age, alors que peu de gens savent lire et écrire, la publicité recourt à des crieurs publics payés par des commerçants et chargés de faire la promotion de leur activité. Les crieurs parcourent les rues, s’arrêtent aux carrefours

d’épousé Curley par amour, mais par obligation et besoin. Curley ) Curley est un jeune homme brun, aux yeux noirs et aux cheveux crépus. Il a la main gauche dans un gant de travail, garni de Vaseline, et comme le patron, son père, il était chaussé de bottes à hauts talons. C'est un ancien boxeur amateur. Il intervient 6 fois dans le récit. Il est l'un des salarié de l'entreprise de son père, c'est un opposant car il cause énormément de problèmes et de soucis au personnage principal. Dans son passé,

Oui. Les voilà. HARPAGON LA FLÈCHE : HARPAGON : LA FLÈCHE : HARPAGON : LA FLÈCHE : HARPAGON : LA FLÈCHE : HARPAGON : LA FLÈCHE : HARPAGON montrant les hauts-de-chausses de la flèche. : N’as-tu rien mis ici dedans ? Voyez vous-même. LA FLÈCHE : HARPAGON tâtant le bas des hauts-de-chausses de la flèche. : Ces grands hautsde-chausses sont propres à devenir les recéleurs des choses qu’on dérobe ; et je voudrais qu’on en eût fait pendre quelqu’un. à part. : Ah ! qu’un homme comme cela mériterait

décrit comme étant un « imposteur ». D’autant plus que lors de sa visite à Madeleine, celle-ci accentue son évolution dans la société par cette phrase : « Vous êtes plein de rubans magnifiques, Monsieur, et gras » et « Elle trouvait que ses hauts-de-chausses en satin bleu étaient trop serrés : quand il bougeait, ils moulaient ses fesses, marquaient les plis du ventre et le renflement du sexe. » Aussi le contraste entre le rouge et le noir, l’ascension sociale, le désir de vengeance par la musique

embrasures (ouverture faite sur toute l'épaisseur d'un mur) . Une tourelle d'escalier est accolé à l'est. La tour du Diable, cylindre de 11 mètre de diamètre projeté en avant sur l'angle éfilé de la courtine est équipé de 4 embrasures au rez-de-chaussé et est desservi par un escalier pris dans l'épaisseur de la courtine est. Les bâtiments intérieurs ne sont connu que par les gravure de Turin et Pinet (dessin 3 et 5) Il y a la grande caserne et aussi le logis adossé à la tourelle du front ouest

allégations de l’auteur pour pouvoir se moquer avec lui de la cible. Ainsi, Montaigne finit son chapitre « Des cannibales » par une pointe qui vise les nobles de son époque : « Tout cela ne va pas trop mal : mais quoi, ils ne portent point de hauts-de-chausses ! ». Le lecteur, au prime abord, peut croire que cette phrase rapportée sans guillemet est du fait de Montaigne. Or, il s’agit de discours indirect libre qui se fait l’écho des remarques des sujets du roi observant les Indiens ramenés du Nouveau

presque à l’identique. C- Comparaison des deux textes. Molière Plaute Les différences liées au contexte historique L’esclave est insolent Staphyla se plaint de la méchanceté de son maître Harpagon fouille les « hauts de chausse » de La Flèche. La tunique est le vêtement des esclaves. Les différences liées à la langue Enumérations Mots inventés (circumspectatrix) ou métaphores (lumbrice) « Les autres » permet un jeu de scène comique « La

individu placé entre deux mondes. On demandera à cette occasion aux élèves de relever quelques proverbes avec le terme « gris », tels que « la nuit, tous les chats sont gris » ou « faire grise « Quand j’ouvris les yeux, le carrosse était arrêté sous de hauts tilleuls, derrière lesquels un large escalier bordé de colonnes menait à un château magnifique. De côté, à travers les arbres, je vis les tours de Vienne. Les dames, apparemment, étaient descen- dues depuis longtemps, et les chevaux dételés. J’eus

façons (entre 14ème et 16ème siècle, elle passe de trois cent à plus de mille résidents) et dans cet univers clos, d'argent facile, de rivalité constante, naît la mode au sens moderne: La Bruyère: "Le courtisan autrefois avait ses cheveux, était en chausses et en pourpoint, portait de larges canons, et il était libertin; cela ne sied plus: il porte perruque, l'habit serré, le bas uni; et il est dévot! Tout se règle par la mode.." Le grand siècle voit grandir le pouvoir royal, et l'influence de la

mains. La Flèche Les voilà. Harpagon Les autres La Flèche Les autres ? Harpagon Oui. La Flèche Les voilà. Harpagon N'as−tu rien mis ici dedans ? La Flèche Voyez vous−même. Harpagon. (Il tâte le bas de ses chausses.) Ces grands hauts−de−chausses sont propres à devenir les receleurs des choses qu'on dérobe ; et je voudrois qu'on en eût fait pendre quelqu'un. La Flèche Ah ! qu'un homme comme cela mériteroit bien ce qu'il craint ! et que j'aurois de joie à le voler !