Haarlem

Peu à peu les cartes de navigation portugaises classifiées sont copiées et arrivent dans les mains des autres puissances grâce notamment aux espions de ces pays. Jan Huygen van Linschoten est un marchand et navigateur hollandais qui naît en 1563 à Haarlem aux Pays Bas, puis avec sa famille il déménage dans la ville d’Enkhuizen où il mourra en 1611. En 1579, il part à Séville en Espagne pour vivre avec son frère ainé qui y est un marchand. Il y apprend l’espagnol puis en 1580 il va en Lisbonne, au Portugal

Situation du passage - c. Problématique - d. Annonce du plan a. "La Tristesse de Cornélius Berg" conclut les Nouvelles Orientales sur une note pessimiste. Marguerite Yourcenar y représente la vieillesse désabusée d'un peintre hollandais retiré à Haarlem. b. Dans l'extrait qui nous occupe, Cornélius est consulté sur la beauté d'une tulipe dont la contemplation lui rappelle d'autres beautés et bien des laideurs rencontrées au hasard d'une vie errante. La conclusion de cette méditation est pour le

Hartmann Schedel (1440-1514) l'un des premiers cartographes à utiliser les presses d'imprimerie. Alde Manuce, (1449, Bassiano dans les Marais Pontins - 6 février 1515, Venise), éditeur et imprimeur vénitien Laurens Janszoon Coster (né vers 1370, Haarlem – vers 1440), imprimeur néerlandais. Antoine Vérard, éditeur et libraire à Paris. William Caxton (v. 1422 dans le comté de Kent - v. 1491) imprimeur anglais. Johann Amerbach imprimeur suisse, mort à Bâle en 1515. Ottaviano Petrucci (18 juin 1466

rapport à l’ensemble du corps, son bras droit démesurément long, et ses mains trop imposantes, des formes qui ne sont pas sans rappeler le traitement des corps féminins à la fin du XVIe siècle, et au début du XVIIe, comme dans l’œuvre de Cornelis van Haarlem, Les Noces de Thétis et Pelée, peint en 1593, ou les tableaux d’Hendrick Goltzius représentant Vénus, cupidon et un satyre, vers 1600, et Danaé, en 1603.

puis départ pour Kinderdijk (820kms – 10h de trajet) aux alentours de 21h30. Mardi 6 Avril : Arrivée à Kinderdijk, arrêt pour petit déjeuner et visite libre des différents moulins à vent. Départ pour « Museum de Cruquius » (à proximité de Haarlem) puis visite du moulin à vapeur. Route vers Ijmuiden pour la procédure d’embarquement en gare maritime. Départ du bateau à 18h00, soirée et nuit à bord du bateau. Mercredi 7 Avril : Petit déjeuner à bord, débarquement à 9h00 puis route vers

Robert Henri (1865-1929) lui enseigna à représenter des scènes réalistes de la vie urbaine. Afin de compléter sa formation, Edward Hopper fit trois séjours à Paris, entre 1906 et 1910. Il visita plusieurs pays d’Europe : les Pays-Bas (Amsterdam et Haarlem), le Royaume-Uni (Londres), l’Espagne (Madrid, Tolède), l’Allemagne (Berlin) et la Belgique (Bruxelles). Il se familiarisa avec les œuvres des grands maîtres du Vieux Continent et produisit une trentaine d’œuvres, essentiellement sur Paris. C’est

antique et les œuvres de Michel-Ange. De part de nombreux dessins de ruines, de paysages et de sculpture antique, on voit bien qu'il est fasciné par l'Antiquité. Il fait d'ailleurs, bien plus tard, son Autoportrait devant le Colisée (1553). Installé à Haarlem, il peint de nombreux tableaux aux dimensions gigantesques traitant de sujet religieux ou mythologiques où son style s'affirme tellement que l'on a la sensation que certains de ces personnages sont en transe. Il s’apaise par la suite mais reste la

Henri (1865-1929) lui enseigna à représenter des scènes réalistes de la vie urbaine. Afin de compléter sa formation, Edward Hopper fit trois séjours à Paris, entre 1906 et 1910[4]. Il visita plusieurs pays d’Europe : les Pays-Bas (Amsterdam et Haarlem), le Royaume-Uni (Londres), l’Espagne (Madrid, Tolède), l’Allemagne (Berlin) et la Belgique (Bruxelles)[5]. Il se familiarisa avec les œuvres des grands maîtres du Vieux Continent et produisit une trentaine d’œuvres[6], essentiellement sur Paris.

allait même jusqu’à dire qu’il n’aimait pas peindre d’animaux puisqu’ils ressemblaient trop aux hommes. Il se mit donc à la nature morte, puis il fut employé à peindre, sur le mur de l’église, de fausses boiseries. Dans cette petite ville du nom de Haarlem se trouvait un vieux Syndic chez qui Cornélius allait parfois, une fois sa tâche accomplie, pour donner son avis sur les fleurs de cet amateur de tulipes. Le vieux Syndic se passionnait pour les fleurs et aimait chaque parcelle de couleur avec lesquelles

 Robert Henri (1865-1929) lui enseigna à représenter des scènes réalistes de la vie urbaine. Afin de compléter sa formation, Edward Hopper fit trois séjours à Paris, entre 1906 et 19104. Il visita plusieurs pays d’Europe : les Pays-Bas(Amsterdam et Haarlem), le Royaume-Uni (Londres), l’Espagne (Madrid, Tolède), l’Allemagne (Berlin), la Slovaquie (Bratislava) et la Belgique(Bruxelles)5. Il se familiarisa avec les œuvres des grands maîtres du Vieux Continent et produisit une trentaine d’œuvres6, essentiellement