Gustave Le Bon

Mlle Grilli Séquence 2 : le roman et ses personnages – visions de l’homme et du monde Premières Gustave Courbet Un enterrement à Ornans Lecture d’image. Courbet, Un enterrement à Ornans, 1849-1850, huile sur toile, 315 × 668 cm, musée d'Orsay, Paris. Gustave Courbet avait 33 ans en 1849-1850, lorsqu’il a peint Un enterrement à Ornans, un tableau de grande dimension (Six mètres par trois). Cette huile sur toile a été l’objet d’une vive polémique et a fait scandale lors de sa présentation

d’améliorer son contenu et sa qualité. Sans être exhaustive, nous remercions particulièrement : * Notre encadreur académique M. MBOTCHAK Clément qui nous a accordé son support et sa disponibilité ; * Notre encadreur professionnel M. KUATE Gustave pour sa grande disponibilité et pour m’avoir accordé une place de stagiaire dans son entreprise ; * M. Louise-Marie DJAMBOU pour avoir crée un cadre universitaire de qualité pour la formation des étudiants ; * Nos enseignants d’ESG en particulier

Pour un artiste, la création n'est pas un travail, c'est respirer, c'est exister. Gilbert Choquette Mon épouse et moi ne regardons jamais les mêmes vitrines... Jacques Delplan. Quand le vin est tiré, il faut le boire, surtout s'il est bon. Marcel Pagnol Le bonheur est une fleur qu'il ne faut pas cueillir. André Maurois Qui sait déguster ne boit plus jamais de vin mais goûte des secrets. Salvador Dali Le moment présent a un avantage sur tous les autres : il nous appartient

n'aura de cesse de clamer son admiration pour l'écrivain américain et deviendra son traducteur attitré. La connaissance des œuvres de Poe et de Joseph de Maistre atténue définitivement sa "fièvre révolutionnaire"8. Plus tard, il partage la haine de Gustave Flaubert et de Victor Hugo pour Napoléon III, mais sans s'engager outre mesure dans son œuvre (« L'Émeute, tempêtant vainement à ma vitre / Ne fera pas lever mon front de mon pupitre » - Paysage dans Tableaux parisiens du recueil Les Fleurs du mal)9

tableau de Courbet, Un enterrement à Ornans : Théophile Gautier est un poète romantique et un critique d’art français. Dans son article, paru dans le journal La presse[1] du 15 Février 1851, il adresse des critiques véhémentes à Gustave Courbet pour son œuvre Un enterrement à Ornans[2]. Il s’agit d’un tableau réaliste aux dimensions exceptionnelles, qui représente une cérémonie funèbre où les habitants d’Ornans sont réunis autour d’une fosse pour enterrer un des leurs. La toile est

Eustache Deschamps, le poète, témoigne de la société et des mentalités pendant la guerre de Cent Ans. Après la guerre de Cent Ans, le poète François Villon (1431–1463 ?) traduit le trouble et la violence de cette époque. Orphelin d'origine noble et bon étudiant, il est ensuite condamné pour vol et meurtre. Son œuvre à la fois savante et populaire exprime une révolte contre les injustices de son temps. Le théâtre religieux se développe tout au long du Moyen Âge, il met en scène les Mystères, c'est-à-dire

article plus général, voir Peinture française. Jusqu'au début du XIXe siècle, l'art pictural officiel en France est dominé par l'Académie royale de peinture et de sculpture, qui fixe, depuis sa création sous le règne de Louis XIV, les règles du bon goût, aussi bien pour les thèmes des tableaux que pour les techniques employées. L’Académie privilégie l’enseignement du dessin, plus simple à définir dans un corps de doctrine bien structuré pour lequel la copie des modèles de la sculpture antique

réalisme est un mouvement artistique moderne apparu en Europe dans la seconde moitié du XIXe siècle, notamment en Italie et en Allemagne. Celui-ci naquit du besoin de réagir contre le sentimentalisme romantique et contre « la sottise, le poncif et le bon sens ». Il cherche à dépeindre la réalité telle qu'elle est, sans artifice et sans idéalisation, choisissant ses sujets dans les classes moyennes ou populaires, et abordant des thèmes comme le travail salarié, les relations conjugales, ou les affrontements

qualifie d’incompréhensible sauvagerie humaine. Il s’installe ensuite à Paris où il est employé au ministère de la Marine pendant une dizaine d’années, période d’un incroyable ennui, mais durant laquelle il fréquente déjà les milieux littéraires. Gustave Flaubert devient son mentor, le guidant durement – il lui interdit de publier avant d’avoir atteint une certaine maturité – dans ses premiers pas de journaliste et d’écrivain. Il collabore à différents journaux à partir de 1878, et publie en 1880

Ce tableau est une oeuvre de Gustave Klimt (1862-1918), peintre et graphiste autrichien symboliste et représentant de l’Art nouveau viennois appelée Sécession. Klimt fut le fondateur de la Sécession, ce style ne définit aucun but artistique précis mais entend « arracher l’art au commerce » et créer un art de qualité, dans une conception géométrique et rectiligne de l’ornement, à base de carrés et de rectangles agencés selon un principe répétitif, le contraire de la structure organique et symbolique