Guerres puniques

poème va se renverser. II/ Un cri de colère 1/ L’irruption du mal Le basculement se fait au vers 37 avec un cri de douleur beaucoup plus rauque que tendre. La guerre fait irruption dans le bonheur amoureux et le ton change. La familiarité du début s’efface. 2/ Le procès de la guerre Le poète s’indigne contre la guerre qui détruit l’amour et la condamnation anti-militariste s’exprime avec une violence inouïe (= jamais vue) dans la langue française puisque le poète n’hésite pas à employer

économique ne repousse pas indéfiniment le basculement total des PME-PMI dans un schéma de réflexion IE. Elle est au contraire une opportunité pour elles de franchir un cap : • En adaptant leurs structures et leurs moyens de R&D aux défis des guerres économiques contemporaines et au climat économique de crise qui, par son extrême volatilité, rend fondamentale la recherche d’informations stratégiques et gagnantes, • En groupant leurs forces avec d’autres entreprises nationales du même secteur

ponctuation expressive. Il s'exclame : "Je refuse la guerre et tout ce qu'il y a dedans... je ne la déplore pas... je ne me résigne pas moi... Je ne pleurniche pas dessus moi...". L'antithèse lui et les autres fait référence encore une fois son égo démesuré. En effet, il explique : "Seraient-ils neuf cent quatre-vingt-quinze millions et moi tout seul". A la ligne 15, il répète ce que Lola a dit et dévoile son désintéressement pour la patrie. Il refuse la guerre et tout ce qui s'y accroche, c'est un personnage

sans un pouvoir commun qui les maintienne tous dans la peur, ils sont dans cette condition qu'on appelle guerre, et cette guerre est telle qu'elle est celle de tout homme contre homme. Car la guerre ne consiste pas seulement dans la bataille, ou dans l'acte de se battre, mais dans un espace de temps où la volonté de combattre est suffisamment commune; et c'est pourquoi, pour la nature de la guerre, il faut prendre en considération la notion de temps, comme on le fait pour le temps qu'il fait. Car,

Introduction : Thème, thèse, problématique → Dans Il faut défendre la société, Michel Foucault va s’interroger sur la véritable nature des relations de pouvoir. → Pour mener à bien cette enquête, Foucault va s’interroger sur la pertinence du modèle de la guerre pour analyser les relations de pouvoir, au détriment du modèle juridique de la souveraineté. Ce qu’il faudrait faire | Ce qu’il ne faut pas faire | - Etudier le pouvoir à partir de la relation elle-même. Il faut comprendre que le pouvoir est

les individus si c’est pour qu’ils se retrouvent broyés dans les guerres entre les États ? L’association des hommes exposée aux propositions 4, 5 et 6 est reprise mais cette fois-ci au niveau international, pour aboutir à la nécessité pour les nations, d’entrer dans une société (Cf. SDN) et d’élaborer un droit international. C’est une nécessité même en temps de paix car « Si vis pacem, para bellum » (Si tu veux la paix, prépare la guerre) : les préparatifs militaires, même simplement défensifs, coûtent

41/46) - singulier collectif : "pinus" v.37 La poésie contribue au lyrisme 3) Figures de style qui unifient le passage - anaphores de négations et de "nunc" - thème de la guerre omniprésent II L'Âge d'or 1) Par la négation ● Une nature préservée de ce que les hommes lui font subir → valorisation du passé → réprobation du présent

télévision n’est pas forcément une chose positive mais le côté négatif vient surtout du monde. Toutes ces guerres, tous ces attentats, toutes ces catastrophes mondiales ne proviennent en rien de la télévision, cet objet servant à diffuser des images de partout. Cela provient du monde et apparait à la télévision. A l’heure actuelle, nous voyons beaucoup de séries ou de films policiers, de guerres… Tous ces films ou séries possédant des scènes de violence. Nous pourrions affirmer que ce que nous regardons

parle de la guerre, et notamment de la réflexion sur la guerre qui était un thème souvent abordé par les philosophes (Candide, Micromégas). Ceux-ci dénoncent l’horreur, l’arbitraire ainsi que ceux qui la décide. I) Opposition guerre/paix - Paragraphe ouvert par une définition de la guerre (malgré le mot « Paix » du début). - Métaphore : guerre = maladie ; paix = santé Le paragraphe entier est basé sur ces deux notions antithétiques, l’une valorisée (paix) et l’autre dénoncée (guerre). -

Navarre. Déçu par l'abjuration de ce dernier (devenu Henry IV), c'est par l'écriture qu'il poursuit son combat : Les Tragiques, dont est extrait le texte qui suit, est une œuvre poétique de combat, liée à l'action du parti protestant au cours des guerres de religion. Le premier chant présente la tragédie de la France à travers une grande allégorie. ANNONCE DES AXES I - Un texte bâtit sur une allégorie de la France / mère II - Les procédés d'amplification III - L'engagement d'Aubigné en faveur