Groupe Charles-Martel

par son père Charles 2 qui avait forcé les Sarrasins à quitter la Gaule et à se. replier en Espagne (...). Childéric fut déposé et Pépin élevé de la mairie du palais à la dignité royale. » D'après Eginhard, La Vie de Charlemagne, 826 1. Le dernier roi mérovingien. 2. Charles Martel. 1) Pourquoi le pouvoir des rois mérovingiens est il fragile ? 2) Qui détient en réalité le pouvoir dans le royaume mérovingien ? •Après sa victoire de Poitiers (732) contre les Arabes, Charles Martel apparaît comme

extrait de "premier exemple connu des semants vassalique", paru en 757. Ce dernier décrit la cérémonie de la mise en vassalité du duc de Bavière par Pépin le Bref (né en 715, il meurt le 24 septembre 7681 à Saint-Denis. Il est le fils cadet de Charles Martel et de Rotrude, et père de Charlemagne). Ici sont décrits les actes, les personnages (Pépin le bref - le duc de Bavière - les enfants de Charlemagne), et les dimensions touchées (religieuse,  domination, hérédité, …) par la cérémonie. L'auteur

L’administration et toutes les décisions dépendaient exclusivement des chefs de sa maison qu'on appelait les maires du palais. À l'époque du roi Childéric (1), cette charge était remplie par Pépin ; elle avait été exercée avant lui par son père Charles (2) qui avait forcé les Sarrasins à quitter la Gaule et à se replier en Espagne (...). Childéric fut déposé et Pépin élevé de la mairie du palais à la dignité royale. » Eginhard, Vie de Charlemagne, traduction L. Halphen, Paris, 826 Analyse du

carolingiens règne sur le territoire franc de 751 à 987. Ils prirent le pouvoir à la mort du dernier roi mérovingien, Charles, un descendant de Pépin l'Ancien et d'Arnoul devient Maire du Palais de l'ensemble des Royaumes Mérovingiens. Il est surnommé Charles Martel grâce à sa force physique, c'est le vainqueur des Arabes à Poitiers en 732. Pépin le Bref, le fils de Charles Martel, se fait couronner Roi des Francs avec la bénédiction du Pape Zacharie. Pourtant, la figure la plus emblématique de la

des hommes se distinguent. (Ex = Charles Martel début du 8éme siècle, qui est un immense chef de guerre et remporte d’énormes batailles) Lors de sa mort, il transmet sa charge à son fils, Pépin le Bref, qui devient à son tour maire du palais, il obtient alors d’énormes responsabilités, et hérite d’une énorme gloire militaire et de tous les réseaux qu’avait constitué son père. Les grands du royaume avait tourné le dos au Mérovingiens et c’était rapproché de Charles. Le roi de Pépin, Childéric III

Le Moyen âge : Clovis / Les Mérovingiens : (481 – 741) Véritable fondateur de l’identité Française (et non pas Vercingétorix). Converti au Catholicisme. Chef des Francs (partage égal des terres entre les fils du roi) Maire du palais : Charles Martel (acharnement politique, surnom « marteau » Pépin le Bref (741) Charlemagne (768) Charlemagne / Les Carolingiens : (768 – 987) Fils de Pépin le Bref. Empire Romain d’Occident. Empire se disloque à la mort de Charlemagne (pb de partage des

Il demeure difficile d'évaluer l'importance de l'habitat qui entourait la nécropole. De l’abbaye royale au caestellum Dès l'avènement des premiers Carolingiens, l'importance politique de Saint-Denis s'accroît. En 741, les funérailles de Charles Martel inaugurent une nouvelle série d'inhumations royales et, en 754, c'est dans la basilique que le pape Étienne II sacre Pépin le Bref. À l'ouest, l'édifice est précédé d'un massif d'entrée considéré comme l'agrandissement que Charlemagne aurait fait

par l'évêque Rémi de Reims, constitue l'acte fondateur de l'onction royale. Cependant, ce n'est pas un sacre. Le premier roi à être sacré est Pépin le Bref en 754 par le pape Étienne II. Ce rituel se perpétua durant quasiment un millénaire jusque Charles X en 1824. Ce texte est extrait de la ''Clausula de unctione Pippini regis'', qui signifie ''l'onction royale de Pépin le Bref''. Par la suite je dirais simplement la Clausula. En fait, ce petit texte est un colophon, c'est-à-dire la note ajoutée

disparaissent. Le constat de crise est évident quand le pouvoir politique entreprend d’y remédier. c) La réforme de l’Eglise (741-747) En 741, Charles Martel, maire du palais d’Austrasie, de la lignée des Pippinides meurt. Il avait hérité de la situation laissé par Pépin de Herstal en 714, c'est-à-dire de la suprématie Austrasienne sur le reste de la Gaule. Martel tient les Tria Regna et mène une politique de spoliation des biens de l’Eglise. Ses deux fils, Carloman et Pépin le Bref s’entendent sur un

nommé Hilariacum, à l’emplacement de Saint-Avold, avant de fonder le monastère de Sickingen. Saint Sigebaud, évêque de Metz, qui, vers 720, fait construire une abbaye sous le vocable de Saint-Pierre. Saint Chrodegang, évêque de Metz ministre de Charles Martel et Pépin le Bref, y introduit la règle bénédictine de saint Benoît. Il permet, lors d’un voyage à Rome, le 24 août 765, de transférer les reliques de saint Nabor. Le 24 août demeure la date de vénération et de pèlerinage. Une bourgade se développe