Gris

de sables à gros grains. Il s'agit de la couche la plus ancienne. La couche possède une couleur gris beige. Sa couleur avec le code de Seguy est : 2,5 Y 5 / 2 C'est une couche compacte qui possède une limite nette et rectiligne. Il y a une présence de débris de coquille cassés. * La deuxième mesure entre 2 et 4 cm ( voir log ) et est composée de sable fin et d'argile. La couche possède une couleur gris beige. Sa couleur avec le code de seguy est : 2,5 Y 4 /2 C'est une couche moyennement compacte

On peut également noter un contraste entre le chaud et le froid ; en effet le haut du tableau est composé de couleurs chaudes qui sont dans le ton jaune (pour le ciel par exemple) à l’opposé du bas avec des couleurs plus froides comme le noir ou le gris (pour les ombres). Il superpose les nuances par petites touches juxtaposées. Pour ce qui est de la lumière, on peut dire que c’est une lumière naturelle provenant du soleil. Les ombres au sol (de la haie, de la barrière, des arbres,…) sont des repères

de la guerre. Une guerre civil et une guerre qui oppose des camps adverse dans un même pays, donc ici les républicain ainsi que les nationalistes. ANALYSE ET DESCRIPTION DES FIGURES: Il s’agit d’un tableau composé de couleurs monochromes (blanc, gris, noir) qui représente une scène où l’on voit différents animaux et personnages déformés. Au premier plan on voit une femme avec un enfant dans ses bras, un taureau, un homme allongé avec une épée dans la main droite, un cheval, une lampe au plafond

membre de la Gestapo, vêtu du classique long manteau de cuir noir. Quant à son page, il a revêtu l’uniforme traditionnel d’un officier SS afin d’accentuer la figure oppressante qu’est Créon. En choisissant une thématique de couleurs froides (bleu et gris dominants), Nicolas Briançon facilite l’identification des personnages. Ainsi, Antigone (Barbara Schulz), vêtue d’une longue chemise de nuit grise est fortement différenciée de sa sœur Ismène, présentée de rouge. Les seuls personnages à ne pas mourir

quotidienne Cartier-Bresson illustre la spécificité du médium photographique, à savoir le fameux « instant décisif ». Ce dont il s’agit d’abord ici c’est d’un décor : les abords de la gare Saint-Lazare à Paris. Un paysage urbain plutôt triste. Le ciel est gris, le sol est inondé, sans doute à la suite d’une lourde averse. La chaussée est encombrée de détritus : amas de pierres, tas de boue, échelle, poutres, tuyaux, brouette… Sans doute l’endroit est-il en travaux. Et puis il y a cette grille qui barre l’image

L'oeuvre est surchargée par endroit mais le reste assure un certain équilibre grâce à sa simplicité. La palette de couleur de l'oeuvre varie du noir au blanc, en passant pas des couleurs pastelles, des gris, des bleus, des verts et du bordeaux. Celles qui dominent sont le bleu clair et le bleu gris. Le fond est blanc cassé, couleur de la toile. Les surfaces noires forment un contrastes avec les couleurs dominantes claires. La lumière du tableau vient des deux panneaux centraux car la technique utilisée

d'identité : -Type de l’œuvre / genre : c'est une œuvre d'architecture présentant un immeuble d'habitation collectif. -Titre de l’œuvre : « La cité radieuse » -Nom de l'artiste (et ses dates) : Le Corbusier de vrai nom Charles- Édouard Jeanneret-Gris est né le 6 octobre 1887 et mort le 27 août 1965. -Date de l’œuvre : elle a été édifiée de 1946 à 1952. -Lieu d'exposition / de 1ère création : à Marseille -Dimension / durée : 137 m de long ; 24m de large; 56 m de hauteur b) Description :

chaotique. Le cahot s’oppose à l’ordre. Tout le cosmos se ligue contre les hommes. Le champ lexical de l’hiver (« âpre hiver », « fondait », « avalanche », « la froide bise »). Insistance sur le blanc. Contraste entre le noir et blanc. Présence du gris (« Moscou fumant », « moustache grise »). La grisaille rappelle le flou des éléments. Acceptation de la défaite. Le silence et le noir et blanc permettent de mettre en place le cadre de la retraite. Silence qui rappelle la solitude et la mort (« les

est trop petite, s’il n’y a aucune t t tension, elle est trop grande. Le conseil Devred Concernant les coloris, la tendance est au noir et au marine. Le costume gris est un indémodable. Veste 2053479- Taupe 139e99 – 64% Polyester 34% viscose – 2% Elasthanne Chemise 2164114 – Bleu Ciel 100% Coton Nœud Papillon 2231226 – Chocolat 75% Soie – 25% Coton Pantalon noir – Coupe

inerte, la tête ensanglantée. Le regard fixe, il scrute le spectateur, tel un appel qu’il sait déjà vain. L’arrière-plan présente une fournaise infernale. 2) Couleurs Les couleurs sont contrastées et oscillent entre le gris foncé, clair et le rouge vif, orangé. Le gris marque les soldats, leur casque, leurs vêtements, leurs armes./ le blanc présente le néant consécutif au carnage, la mort. Le rouge est telle une fournaise, il souligne l’horreur de la guerre, son côté dramatique, le sang que