Grippe porcine

trépané un mois plus tard. Il se remet petit à petit de cette lourde opération et il continue d’écrire, il publie Calligrammes en 1918, et épouse Amélia Kolb, dite Jacqueline. A peine quelques mois après son mariage, il meurt le 9 novembre 1918 de la grippe espagnole, cette épidémie qui fait plus de mort que la guerre elle-même. Guillaume Apollinaire est enterré à Paris au cimetière du Père-Lachaise.

dirigée par Théodore Botrel. Après l'insuccès critique de Chantecler, Rostand ne fait plus jouer de nouvelles pièces. À partir de 1914, il s'implique fortement dans le soutien aux soldats français. Il meurt à Paris, le 2 décembre 1918, de la grippe espagnole, peut-être contractée pendant les répétitions d'une reprise de L'Aiglon. Il repose au cimetière Saint-Pierre de Marseille, sa ville natale.

seulement aux tués sur les champs de bataille ; il inclut également des soldats morts chez eux, gravement atteints par des maladies telles que la grippe espagnole, mais aussi des hommes ayant succombé aux séquelles de leur maladie. Ainsi, après la guerre, le nombre de soldats morts des suites de leurs blessures s’élève à environ 500 000 tandis que la grippe fit 200 000 morts supplémentaires en France Les soldats de retour du front étaient, pour une grande part[précision nécessaire], gravement blessés :

La guerre a pour la France des conséquences démographique catastrophiques. La violence des combats a causé la mort de 1.4 million de soldats. La plupart avaient entre 19 et 22 ans. Les pertes civiles sont également importantes. L’épidémie de la grippe espagnole a fait beaucoup de mort (autant que la guerre), accentués par le manque de rationnements alimentaire pendant et après la guerre. Ces pertes font la souffrance des fiancées et orphelins. Le traumatisme est immense, d’autant plus

publie le poète assassiné. L’expérience de la guerre est au cœur de Calligrammes, écrit en partie dans les tranchées et publié en 1918, année de la publication de la pièce de théâtre les mamelles de Tirésias. Apollinaire est emporté par l’épidémie de grippe espagnole qui sévit en novembre 1918.Son convoi funèbre traverse une foule en liesse : c’est l’Armistice. Guillaume Apollinaire faisait parti des poètes de « l’esprit nouveau » .Simultanéisme, discontinuité, fantaisie, surprise mais aussi lyrisme

de nouvelles armes comme les gaz, énormément de morts) Souffrances psychologiques (tristesse de la séparation, peur, cauchemars, mutineries - surtout en 1917) Civils Au quotidien : pénuries, hausse de la mortalité à cause des épidémies comme la grippe espagnole, grèves. Dans les zones occupées : pillages, viols, répression... III - Les conséquences de la guerre Un lourd bilan Humain: morts, blessés, mutilés et « gueules cassées », veuves et orphelins Economique : destructions, endettement

certaine foi en l'avenir. Cette même année 1918, l'œuvre de Schiele connaît un véritable succès à l'exposition de la Sécession Viennoise : la plupart des tableaux exposés sont vendus. Quelques mois plus tard, le 28 octobre 1918 Edith Harms meurt de la grippe espagnole – épidémie qui se répand alors dans Vienne et fait des millions de victimes à travers l'Europe – Egon Schiele succombera à cette même maladie trois jours plus tard, le 31 octobre 1918. 2 – Autoportraits Egon Schiele peut être considéré

seulement aux tués sur les champs de bataille ; il inclut également des soldats morts chez eux, gravement atteints par des maladies telles que la grippe espagnole, mais aussi des hommes ayant succombé aux séquelles de leur maladie. Ainsi, après la guerre, le nombre de soldats morts des suites de leurs blessures s’élève à environ 500 000 tandis que la grippe fit 200 000 morts supplémentaires en France. Source : Wikipédia Résumé du Livre : La chambre des officiers de Marc DUGAIN Dès le début de la

variables Disparité des problèmes de santé Rapidité de propagation des virus Les financement privés source de conflits d’intérêt? La mondialisation, facteur de risque? Développement: Les grandes épidémies, comme la peste, le choléra ou encore la grippe espagnole, ont toujours posé des problème d’ordre international. Pourtant, il n’y a jamais eu d’instances officielles jusqu’au début du 20ème siècle. Après l’horreur de la seconde guerre mondiale, la création de l’Organisation des Nations Unies (ONU)

dix millions de morts. Les victimes sont majoritairement des hommes jeunes, c'est-à-dire la classe mobilisable (20-40 ans). Par ailleurs, les civiles paient un lourd tribut à cette guerre suite aux disettes, aux opérations militaires ou encore à la grippe espagnole qui fait entre 30 et 50 millions de morts dans le monde. Des familles sont brisées: on recense quatre millions de veuves et huit millions d'orphelins. Cela constitue alors un cout supplémentaire pour des États ruinés par la guerre. Enfin