Grenouille des bois

d'amphibiens et près de 450 espèces d’oiseau. On trouve dans la forêt amazonienne des animaux typiques au milieu avec des jaguars, des primates (ex : Saki Satan) , des loutres géantes, des tapirs, des caïmans, des boas, dendrobates colorées (grenouilles), des coléoptères géants, des papillons morpho etc. → dendrobate colorée (http://leec.univ-paris13.fr/new/pages/devienne/photos_333x200/dendrobate_333x200.jpg) → papillon morpho (http://pguiza.free.fr/guyane/galeries_web_invertebres/galerie_

est à sec. -AHJO (tohjoi) v. fendre du bois : Pëpë wahjojai Je fends le palmier pëpë (pour faire une maison) ; Wapot ahjoi nïtëm Il est allé couper du bois ; Wapot wahjojai Je fends du bois ; Wewe ahjo Il a fendu le bois ; Wewe tohjoi Le bois est fendu. -AHJUMKA (tëhjumkai) v. faire son travail (en parlant du chamane) : Mïmnëtau mënëhjumke pïjai Le chamane travaille dans la cabane. AHKON n. bûche : Wapot ahkon bûche à brûler ; Wapot ahkon ëhektuhpolo Le bois est empilé ; Wëlïi wapot ahkonpëk nïtëm

Chantre, attacha au sol, par de tortueuses racines, toutes les Bacchantes présentes à la mort d'Orphée. Celles-ci ne purent bouger, attachées aux racines, elles ne pouvaient pas se débattre. Les racines commencèrent à grimper le long de leur corps, et le bois prit possession d'elles. Elles furent condamnées à devenir des arbres. Il circulait en Thessalie une légende au sujet de la tombe d'Orphée. Un oracle de Dionysos avait prédit que si les cendres d'Orphée étaient exposées au jour, un porc ravagerait

Voici l’orme qui balance Son ombre sur le sentier ; Voici le jeune églantier, Le bois où dort le silence, Le banc de pierre où, le soir, Nous aimions à nous asseoir. Voici la voûte embaumée D’ébéniers et de lilas, Où, lorsque nous étions las, Ensemble, ô ma bien-aimée ! Sous des guirlandes de fleurs, Nous laissions fuir les chaleurs. Voici le marais que ride Le saut du poisson d’argent, Dont la grenouille en nageant Trouble le miroir humide ; Comme autrefois, les roseaux Baignent leurs

C'est le printemps viens-t'en Pâquette Te promener au bois joli Les poules dans la cour caquètent L'aube au ciel fait de roses plis L'amour chemine à ta conquête Mars et Vénus sont revenus Ils s'embrassent à bouches folles Devant des sites ingénus Où sous les roses qui feuillolent De beaux dieux roses dansent nus Viens ma tendresse est la régente De la floraison qui paraît La nature est belle et touchante Pan sifflote dans la forêt Les grenouilles humides chantent Clotilde L'anémone et l'ancolieOnt

nombres 1 à 10 sur une page écrite Savoir dire oralement la suite des nombres de 1 à 10 (comptines 1 2 3 nous irons au bois) Savoir associer langage écrit et oral des nombres Attitudes :  Savoir réinvestir pour l’ensemble du projet ELMER notamment en informatique) Prérequis :    Les enfants connaissent la suite de nombre jusque 10 grâce à la comptine 123 nous irons au bois et aux rituels du matin concernant les jours du mois pour la date. Savoir s’exprimer oralement Savoir dénombrer jusque

› Retrouvez toutes nos séquences sur le site www.cercle-enseignement.com 1Le baron perché / Italo Calvino Séance 1 › Je circule autour de l’œuvre p. 2 Séance 2 › La petite et la grande histoire p. 3 Séance 3 › Le vivant témoignage des bois p. 4 Séance 4 › Le goût de la liberté p. 6 Séance 5 › Qui fait quoi ? p. 7 Séance 6 › L’arbre, au carrefour de l’art et du réel p. 8 Séance 7 › La Nature et la Raison p. 10 Séance 8 › Ralentir le temps p. 11 Séance 9 › Atelier d’édition

elle tomba dans un puits infiniment profond. Elle arriva dans une salle où elle vit une porte petite de quarante centimètres derrière laquelle se trouvait un vaste et merveilleux jardin. Elle vit alors, sur une table, un flacon portant l'étiquette « Bois moi ». Elle bu le contenu du flacon , rétrécit, et fut du coup à la bonne taille pour entrer par la petite porte. Mais elle avait oublié la clef sur la table désormais trop haute pour qu'elle puisse l'atteindre. Elle mangea alors un gâteau sur lequel

plein de jeunes arbres fleuris où nichent des oiseaux gais, vifs et de toutes les couleurs. Et il semble que ces jeunes arbres se moquent du vieux noyer. 5 - La biche - La semaine passée, nous avons marché longtemps, sous un soleil matinal, dans le bois. Au détour d'une allée déserte, nous nous arrêtâmes, nez à museau, devant une biche toute jeune qui s'arrête au lieu de s'enfuir. Elle haletait d'émotion et ses jambes fines tremblaient ; mais ses longs yeux exprimaient plus d'embarras que de peur

de l’oiseau solaire. Ils ne surent pas interpréter son langage ni ses manières, et l’oiseau du remonter vers les cieux. Les dieux lui ordonnèrent de retourner sur la terre pour donner sa nature de chaman à la première personne rencontrée. Près d’un bois, il vit une femme endormie sous un arbre. Elle avait quitté son mari et était seule. L’aigle transmis son essence à la femme. Enceinte, elle retrouva son mari et donna naissance à un fils, le premier homme chaman. L’aigle et le chaman servent tous