Grégoire

s’intitule le Pacte d’Andelot et est extrait de l’Histoire des Francs (ou Dix Livres d'Histoire), l'œuvre majeure composée par Grégoire de Tours et qui a survécu à travers plusieurs manuscrits du Moyen Âge, dans des versions plus ou moins altérées par rapport à l'original. Elle comporte 10 livres, racontant l'histoire du monde, de la genèse à l'accession des Francs au pouvoir Grégoire de Tours (538 à 594 après Jésus Christ.), de son vrai nom Georgius Florentius Gregorius, naquit à Riom, près de Clermont

France car le roi veut dominer cette région. Malgré toutes ces attaques, le peuple gardait une profonde fidélité à leur croyance et préférait mourir plutôt que de renier leur foi. Ces attaques aboutirent à une sauvage répression des cathares. Grégoire IX, pape de 1227 à 1241 créa l’Inquisition, ce tribunal chargé d’enquêter et d’éliminer l’hérésie. (1231). Ces nouveaux juges de tribunal aux pouvoirs sans limite mirent tout en œuvre pour débusquer les hérétiques. Ces inquisiteurs s’installaient

orthodoxe, date où l’Eglise se sépare en deux : d’un côté les orthodoxes en orient et la catholiques, chrétiens en occident. Alors l’Eglise catholique cherchera a rassembler le plus de croyants possible. Ensuite, le Moyen-âge sera aussi composé du pape Grégoire VII qui exécutera de nombreuses modifications au sein même de l’Eglise. On peut se demander alors, quelle est la place qu’occupe la religion chrétienne dans l’Europe occidentale du XIe au XIIIe Siècle ? Il s’agit de commencer en premier lieu par

De la faide au temps du roi Dagobert (milieu 6e-milieu 7e) ! ! ! ! ! ! On a sur cette époque très peu de sources, et qui ne parlent que de meurtres et d’assassinats. Grégoire de Tours en est le principal auteur, ainsi que Frédégaire, deux sources largement postérieures aux événements qu’elles décrivent. On a aussi quelques actes administratifs de la dynastie mérovingienne, dont un diplôme de Dagobert Ier.! La période a fait l’objet de révisions historiographies récentes. Cette période

par Henri Grégoire, dit « l'abbé Grégoire », évêque constitutionnel de Blois, dans son rapport adressé à la Convention, où il utilise le mot pour désigner l'attitude destructrice d'une partie de l'armée républicaine. L’intervention du législateur dans la politique de protection du patrimoine sera alors plus active. Les débats des assemblées révolutionnaires ont dégagé la notion de patrimoine - étrangère à l’Ancien Régime - et ont conclu à la nécessité de le protéger ; l’abbé Grégoire déclarait en

l'un ni l'autre. Les figures saillantes de Frédégonde ou de Brunehaut, épouses des rois Chilpéric (561-584) et Sigebert (561-575), ont largement contribué à la vision virile et puissante de la femme mérovingienne. Par ailleurs, Venance Fortunat, Grégoire de Tours, auteur des Dix livres d'histoire - et ses épigones comme les chroniques de Frédégaire, s'intéressent plus particulièrement à ces figures féminines hors-normes, laissant ainsi les femmes plus ordinaires dans la pénombre. Seuls quelques textes

expresse faite en concile à une intervention du roi : une allusion très restrictive (pris à la lettre, elle ne permet au roi que de ratifier), visant un roi mérovingien, que l'épiscopat à préféré. b- La simonie On le voit par les récits de grégoire de tours (cf jean gaudemet clovis), mais aussi par certains canons des conciles et notamment ceux d'Orléans V. Le roi choisissait entre diverses candidatures sorties des influences locales, beaucoup de simonie. Svt il donné l'évêché comme une récompense

politique menée sous l'impulsion de la papauté. Si les historiens admettent que le pape Léon IX a commencé le redressement de l'Église, c'est pourtant le pape Grégoire VII qui a laissé son nom à la réforme. De plus, les efforts pour sortir l'Église catholique d'une crise généralisée depuis le Xe siècle se poursuivent bien après le pontificat de Grégoire VII. Ainsi l'expression « réforme grégorienne » peut paraître impropre puisqu'elle ne s'est pas limitée à quelques années mais concerne au total près de

On n'a pas toujours précisé le caractère original de l'Inquisition, forme de répression de l'hérésie établie par le pape Grégoire IX à partir de 1231. À cette date, la punition des hérétiques et l'anathème contre les ennemis de la foi étaient des faits déjà anciens, selon ce qui avait été en particulier prescrit par le deuxième concile du Latran (1139). Il appartenait aux évêques de rechercher les hérétiques, aux juges séculiers de les punir, aux rois et aux princes de prêter, sous peine de déchéance

 intransigeante  à  partir  du  XIè  siècle  ?     En  effet,  à  partir  du  XI  siècle  est  menée  la  réforme  grégorienne.  Elle  doit  son  nom  au  pape  Grégoire   VII  (1073-­‐1085)  mais  a  été  menée  par  de  nombreux  papes  jusqu’au  XIII  siècle.  Son  but  est   d’améliorer  le  fonctionnement  et  la  moralité  de  l’Eglise