Gréco-bouddhisme

savoir connaître des réponses. Il s'agit d'un ensemble d'axiomes et de processus qui permettent de résoudre les problèmes de l'existence. La Scientologie s'inspire de traditions religieuses datant de plus de 10 000 ans, notamment le taoïsme, le bouddhisme et le christianisme. La Scientologie démontre qu'il est possible d'atteindre les buts fixés par toutes les religions pour l'être humain, soit la sagesse, la bonne santé et l'immortalité. (HUBBARD, 2007, 25) La mission de la Scientologie est de

caractère du pessimisme. Nietzsche lui-même, en tant que lecteur assidu de Schopenhauer, va se ranger du côté du nihilisme. Mais il ne s’arrêtera pas là. Pour lui, la philosophie de Socrate, Platon et Schopenhauer, ainsi que le christianisme et le bouddhisme sont des pensées nihilistes. D’autres philosophes tels que Bertrand Saint-Sernin arrivent à déceler le nihilisme dans la tradition hindouiste, dans le scepticisme grec, ainsi que chez les grands mystiques. Nous constatons rapidement que cette recherche

pos"Exposé sur l’Inde ( devra durer 5 à 10 minutes ) Introduction : Nous allons vous présenter l’Inde qui a obtenu son indépendance en 1947. Ce pays a anciennement été colonisé par l’empire britannique. La capitale de l’Inde est New Dehli avec 14 000 000 habitants. L’Inde est le deuxième pays le plus peuplé du monde derrière la Chine. La constitution indienne reconnait 23 langues officielles en Inde. Mais au vu de l’administration, les deux seules langues officielles en Inde sont l’anglais et

« Il est d’une importance capitale non pas de faire une chose mais plutôt de ne faire rien […] Quand on fait taire le désir et que la volonté est au repos le monde en tant qu’idée devient mani-feste. » Par l’utilisation du Yi-King, Cage emprunte au Bouddhisme Zen le principe du non-agir. « C’est l’irresponsabilité qu’il nous faut. »[53] En tant que liée à la conscience de la position de l’homme dans le monde, cette recherche d’irresponsabilité est une marque de connaissance qui le conduit tout naturellement

le Grand Prix du théâtre, pour l'ensemble de son œuvre, Eric-Emmanuel Schmitt est l'auteur du théâtre contemporain du moment. C’est en 1997 où Schmitt écrit « Milarepa », le premier de la trilogie sur 3 grands courants religieux - le bouddhisme, l'Islam et le christianisme. Une fois, raconte l’auteur, un correspondant italien, à propos d’une de ses critiques, il a mentionné l’existence d’un sage bouddhiste du 12e siècle, un certain Milarepa. C’est l’histoire d’un pauvre berger Svastika

revendiquer le style de vie bohème des beats : stigmatisées, vues comme folles, certaines furent éjectées du mouvement. Il raconta ainsi l'histoire de la jeune « Hope » qui fut la première mentor de Kerouac et Ginsberg dans leur intérêt pour le Bouddhisme, leur faisant lire certains auteurs, dont Li Bai. Certaines parvinrent tout de même à se faire un nom au sein des Beats : Joyce Johnson, Hettie Jones, Diane Diprima.

Dissertation: L'habit ne fait pas le moine Il y a quelques mois , trois nouvelles plaintes pour abus sexuels ont été déposées au Canada contre le père oblat Eric Dejaeger, parti dans ce pays dans les années 70 et qui a depuis acquis la nationalité canadienne. Désormais, le nombre total de plaintes à son encontre dépasse la trentaine. Cet homme d'église, qui est censé être quelqu'un de droit, représentant un refuge, des valeurs spirituelles a pourtant commis des actes odieux. De là, on peut s’interroger

III-1-d.Bouddhisme Pour le bouddhisme, la mort n'est pas la fin du continuum de l'esprit d'une personne et, en conséquence, le suicide est déconseillé. D'une manière générale, le bouddhisme considère la suppression de la vie comme un acte négatif. En revanche, du point de vue du médecin, l'euthanasie peut être un acte de compassion, et son analyse devient délicate et complexe; la condamnation d'une euthanasie n'est pas automatique. De grands maîtres du bouddhisme tibétain comme Kalou Rinpoché

regroupement et les peuples s’identifieraient à des groupes culturels qui reposent sur la religion. » (Huntington S. 1997, p.40) Les différentes civilisations sont ainsi définies d’après leur religion de référence telle que le Christianisme, le Bouddhisme, l’Islam, etc. et selon Samuel Huntington, il n’y aurait donc pas de processus internationaux d’unification identitaire. Par conséquent, le principal moteur de conflits dans cette nouvelle configuration mondiale ne reposera plus sur la rivalité

dans la tradition et à l'époque contemporaine (quel élément de l'histoire est mise en valeur, abandonné,…) Le travail sur les contenus ne peut se faire sans une connaissance minimum de l'univers culturel dont sont issus les récits : influence du bouddhisme par exemple sur les contes originaux ou les versions vietnamiennes (qui prend dès lors une toute autre connotation : as-t-on connaissance de commentaires en lecture savante, populaire ou pédagogique… ?). Influence aussi des religions, des idéologies…