Grande Loge unie d'Angleterre

folies, ses vux sont inscrits !... Jamais écrits !... Le plus nuancé poème du monde !... émouvant ! Gutman ! Tout ! Le poème inouï, chaud et fragile comme une jambe de danseuse en mouvant équilibre est en ligne, Gutman mon ami, aux écoutes du plus grand secret, c'est Dieu ! C'est Dieu luimême ! Tout simplement ! Voilà le fond de ma pensée ! A partir de la semaine prochaine, Gutman, après le terme... je ne veux plus travailler que pour les danseuses... Tout pour la danse ! Rien que pour la danse

.............................230 Livre quatrième – Javert déraillé ......................................... 237 Chapitre I Javert déraillé ........................................................ 238 –3– Livre cinquième – Le petit-fils et le grand-père ................... 254 Chapitre I Où l’on revoit l’arbre à l’emplâtre de zinc ............. 255 Chapitre II Marius, en sortant de la guerre civile, s’apprête à la guerre domestique ............................................................

de plète du marquis matériaux ayant été sans doute, n'est pas éloigné où, tous les points encore mysles d'éclaircir rassemblés, il sera possible sur lequel ont considérable homme d'un l'existence térieux de légendes. couru et courent encore un très grand nombre de et en France en années dernières ces Les travaux entrepris Allemagne ont dissipé bien des erreurs. Il y en a encore beau- bus X coup (1), qu'il faudra redresser. Donatien-Alphonse-I<>ançois, marquis et, plus tard, comte de une des Sade

transgresser, ce sont des lois fondamentales. Elles sont nées d'évènements jugés suffisamment important pour que la coutume se maintienne. Au moment de la guerre de 100ans, les lois de succession au royaume d'Angleterre faisait que le successeur du roi de France était pour les femmes le roi d'Angleterre. On ressort une vieille loi qui exclut les femmes de la succession royale. Les français ont donc décidé que les femmes seraient excluent de la succession. (pas de femme reine). Au XVIème siècle succession

Michel Chandeigne (dir), Lisbonne hors les murs. 1415-1580. L'invention du monde par les navigateurs portugais, Autrement, 1992, 285 pages Guy Martinière et Consuelo Varela (dir), L'État du monde en 1492, La Découverte, 1992, 638 pages J. Favier, Les Grandes Découvertes, Fayard, Paris, 1991. Pierre Chaunu, Conquête et exploitation des Nouveaux Mondes, PUF, Paris, (1969) 1991. (spécialiste de l'Amérique espagnole et de l’histoire sociale et religieuse de la France des XVIe-XVIIIe siècles). Michel Lequenne

sourire nos générations de libres aviateurs. Ce qui frappe sa vue ? En France, des masses énormes gravitant vers des casernes ; en Angleterre, des masses non moins Édouard Dolléans, Histoire du mouvement ouvrier, Tome I : 1830-1871 (1948) 7 grandes s'entassant dans des fabriques, ces casernes du travail. « Tout entière, constate l'historien, l'Angleterre d'elle-même y a passé et s'est enterrée là. Où est-elle, la vieille Angleterre, avec ses classes agricoles, le paysan, le gentilhomme de

une autorité imprévue. Acceptez donc ici l’hommage de ma gratitude, qui, si grande qu’elle puisse être, ne sera jamais à la hauteur de votre éloquence et de votre dévouement. GUSTAVE FLAUBERT Paris, 12 avril 1857 –4– À Louis Bouilhet –5– PREMIÈRE PARTIE –6– I Nous étions à l’Étude, quand le Proviseur entra, suivi d’un nouveau habillé en bourgeois et d’un garçon de classe qui portait un grand pupitre. Ceux qui dormaient se réveillèrent, et chacun se leva comme surpris

s'y connaît Chapitre X—Rentrée de l'enfant prodigue de sa vie Chapitre XI—Ébranlement dans l'absolu Chapitre XII—L'aïeul Livre quatrième—Javert déraillé Livre quatrième—Javert déraillé Chapitre I—Javert déraillé Livre cinquième—Le petit-fils et le grand-père Chapitre I—Où l'on revoit l'arbre à l'emplâtre de zinc Chapitre II—Marius, en sortant de la guerre civile, s'apprête à la guerre domestique Chapitre III—Marius attaque Chapitre IV—Mademoiselle Gillenormand finit par ne plus trouver mauvais que

moi-même comme une autorité impré-vue. Acceptez donc ici l’hommage de ma gratitude, qui, si grande qu’elle puisse être, ne sera jamais à la hauteur de votre éloquence et de votre dévouement. GUSTAVE FLAUBERT Paris, 12 avril 1857 À Louis Bouilhet 3 Partie 1 4 Chapitre 1 Nous étions à l’Étude, quand le Proviseur entra, suivi d’un nouveau habillé en bourgeois et d’un garçon de classe qui portait un grand pupitre. Ceux qui dormaient se réveillèrent, et chacun se leva comme surpris dans son

moi-même comme une autorité imprévue. Acceptez donc ici l’hommage de ma gratitude, qui, si grande qu’elle puisse être, ne sera jamais à la hauteur de votre éloquence et de votre dévouement. GUSTAVE FLAUBERT Paris, 12 avril 1857 À Louis Bouilhet – 5 – PREMIÈRE PARTIE I Nous étions à l’Étude, quand le Proviseur entra, suivi d’un nouveau habillé en bourgeois et d’un garçon de classe qui portait un grand pupitre. Ceux qui dormaient se réveillèrent, et chacun se leva comme surpris dans son travail