Grand Seigneur Mechant Homme

d'exposition est joué avec originalité. Dom Juan nous est présenté par Sganarelle comme un anti-héros. Dans le portrait de Dom Juan, Sganarelle utilise (un homme de sa qualité !) un ton ironique comme si Don Juan n'avais pas sa place dans son rang. Dom Juan nous est présenté comme un personnage complexe à la fois méchant homme et grand seigneur. Originalité : Elle commence immédiatement par un dialogue qui n'a aucun rapport avec le théâtre (digression). Des metteurs en scène ont compris

Dom Juan Sujet : Sganarelle conclut le portrait peu flatteur qu’il trace de son maître en précisant à Gusman qu’un « grand seigneur méchant homme est une terrible chose » (Acte I, Scène I).Pensez vous que Don Juan illustre effectivement cette réputation redoutable ou bien qu’il s’agit là d’un portrait à charge, dressé par un valet envieux et rongé par le remords de devoir servir un tel maître ? Jean-Baptiste Poquelin dit Molière, dramaturge français (1622-1673) a mis en scène Dom Juan pour

JOB Poème didactique écrit en prose, il a été appelé "l'un des livres les plus difficiles de la Bible" I. Prologue Satan met Job à l’épreuve Job : homme très riche (« le plus fortuné des fils de l’Orient), intègre et droit, qui craignait Dieu et se gardait du mal. 7 fils, 3 filles. Ses fils invitaient chacun à leur tour les autres ainsi que leurs sœurs pour festoyer. A chaque fin de cycles, Job les purifiait de leurs pêchers et leur offrait un holocauste. Un jour où Satan va à la

trompeur de Séville et le convive de pierre) : le personnage principale de la pièce est Juan Tenorio, un jeune seigneur qui s'amuse à séduire les femmes en leur faisant croire qu'il les épousera quand elles sont libres, ou qui se plaît à les conquérir en bernant leur mari ou leur fiancé quand elles ne le sont pas. Déguisant son identité, il a pour complice son valet, Catalinón, un homme qui manque de courage et qui se montre parfois récalcitrant. Pour échapper à la vengeance de tous ceux qu'il a

élément d’intrigue déclencheurs et inabituels II – un grand seigneur méchant homme a- le portrait de dom juan par son valet : un blâme un réquisitoire, c’est un débauché impie ou athée ref au libertin qui au XVe siècle désigne des libre penseurs qui s’affranchissent la morale. b- Reprends les procédé blâme lexique dépréciatifs acc hyperboles exclamation montre un jgment très négatifs sur la grd puissance de son seigneur III- le portrait de sg et sa relation ambiguë avec son

portant au secours d’un homme attaqué par trois autres . Il serait intéressant d’analyser comment Molière montre-t-il la complexité du personnage de DJ lors de cette confrontation. Nous montrerons que la scène se révèle comme un affrontement manichéen entre DJ , le diable tentateur et le pauvre figure de la pureté . Cette scène très courte révèle une fois de plus le désir de domination qui anime le personnage ; la scène devient un affrontement social entre un grand seigneur et un misérable .

Le Seigneur est ma lumière et mon salut ; De qui aurais-je crainte ? Le Seigneur est le rempart de ma vie ; Devant qui tremblerais-je ? Si des méchants s'avancent contre moi pour me déchirer, Ce sont eux mes ennemis, mes adversaires, Qui perdent pied et succombent. Qu'une armée se déploie devant moi, Mon cœur est sans crainte ; Que la bataille s'engage contre moi, Je garde confiance. J'ai demandé une chose au Seigneur, La seule que je cherche : Habiter la maison du Seigneur tous

créée le 15 février 1665, est une œuvre marquante de la littérature française, à plusieurs égards. Texte censuré, peu représenté au XVIIème, il est inspiré de L'abuseur civil de Tirso de Molina et met en scène les tribulations (=aventures) d'un grand seigneur libertin et de son valet. → En quoi cette scène d’exposition inscrit-elle d’emblée la pièce dans un registre à la fois comique et polémique ? І- Une exposition atypique? On assiste à une double énonciation, en fait tous les informations

Beaumarchais : 1732 - 1799 . 18e siècle. C'est une suite d'aventures et d'intrigues où l'argent et l'amour tiennent une grande place. Pierre-Augustin Carron, boutiquier fut anobli par Louis XV. Il devient monsieur de Beaumarchais. Il fut horloger (il reçoit une charge à la cour), musicien (amuseur des filles de Louis XV), homme d'affaire (associé au financier Paris-Duverney = procès + prison), diplomate en Amérique, agent secret en Angleterre et en Allemagne, éditeur (entre autres les oeuvres complètes

filets. Regardant devant lui il vit un homme près de se noyer. Il était vaillant et agile ; il bondit, saisit un grappin et le lance, mais par malchance il frappe l'autre en plein visage et lui plante un crochet dans l'œil. Il le tire dans son bateau, cesse de tendre ses filets, regagne la terre aussitôt, le fait porter dans sa maison, de son mieux le sert et le soigne jusqu'à ce qu'il soit rétabli. Plus tard, l'autre de s'aviser que perdre un œil est un grand dommage. « Ce vilain m'a éborgné et ne